maison de campagne mmm overslag. TE YPREN. PRUSSE. Berlin, 24 mai. PIEMONT. AUTRICHE. HONGRIE. TOSCANE. ETATS ROMAINS. VEREOOPISG van TA» M£ÏIA<S1!I2» VROUWKLEEDEREN ek ZILVERWERK, A LOUER POUR UN PRIX MODIQUE l'ne AYANT Maer ingesletd 1,300 francs. Ingestcld 500 francs. Masse Ie" en 2e" Koop. Maer ingesteld 1,820 francs. 3"" Koop. 10 aren LAND, by d'Hoogezil, palende oost en noord 't land weduwe en kinderen Taccoen. Ingesteld 320 francs. En 4" Koop. 4i aren 3o centiaren LAND, 00k by d'Hoogezil, hy de plaets van Wytschaete. Maer ingesteld 1,400 francs. Le Roi est retourné de Petsdam au château de Charlottenbourgoù il compte passer une grande partie de l'été. Le premier bataillon de la landwehr de Berlin a reçu l'ordre de partir pour la forteresse de Luxembourg. Le 23 au soir et le 24, on a opéré h Berlin de nombreuses arrestations; on parle de 3o, et l'on ajoute que parmi les personnes arrêtées se trouvent MM. Berends, ex-député; Pfeiffer, commissaire de justice; Waldeck; l'écrivain Gubitz; un M. Petersen et un des frères Schonemann. On ne doute pas que ces arrestations ne se rattachent k celle de l'ex- député Waldeck. Berlinle S S mal. Des personnes qui ont puisé des renseignements h bonne source, assurent que le gouvernement prussien n'a pas reçu du gouvernement français de note protestant contre l'intervention russe en Hongrie. A la réquisition du général de Wrangel, les i5 personnes arrêtées hier ont été enfermées k la prison militaire. On a, en outre, arrêté hier un grand nombre d'individus dans la partie de la ville située du côté de la porte de Hambourg et de la porte Rosenihal, et habitée en grande partie des prolétaires; on parle de 5o. Le Dr Gerke a été arrêté hier h la Conver sations-Halle. Au nombre des papiers saisis sur lui, il en est plusieurs dans lesquels on a cru dé couvrir une conspiration bien organisée. C'était, suivant la Correspondance démocratiqueun plan organisé par le parti démocratique de Berlin. On l'avait déjk exécuté en partie; les listes des 120 hommes de confiance du cercle et du comité plus intime des douze s'y trouvaient jointes. Ce comité se réunit avant-hier soir a la Conversations-Halle, et fut forcé par la police de se disperser. Le Roi de Sardaigne est toujours sérieusement malade. Par décret du 21 mai, S. M. a investi son frère le duc de Gênes de l'autorité royale pendant sa maladie. La Gazette piémontaise du 22 mai, croit devoir démentir les bruits journellement répétés par les journaux de l'opposition sur la prochaine conclusion d'un traité d'alliance offensive et défen sive entre le Piémont et l'Autriche. Elle ajoute que de pareils bruits ne sont inventés que pour troubler le peuple et l'armée, et ajouter ainsi aux embarras du pays. Le pourvoi du général Ramorino a été rejeté. La cour de cassation a déclaré que les sentences militaires rendues en temps de guerre ne sont pas sujettes h cassation que l'existence de l'armistice ne change rien k ce principe, l'armistice étant une convention purement militaire. En conséquencele général Ramorino a été fusillé le 21 k 6 heures et 172 du matin, En descendant de voiture, il a traversé la place d'un pas ferme et très-accéléré. Arrivé k l'endroit où il devait être exécuté, il s'approcha de l'officier qui était k la tête du détachement et le pria de le laisser commander lç feu. Le général Ramorino a subi la mort avec le courage et le sang-froid d'un vieux soldat. Il est resté debout et a commandé lui même le feu. Avant le dernier commandement, il a dit d'une voix forte Après s'être incliné devant le guêtre, qui lui donna sa bénédiction, il fit uu signe aux soldats, jeta son chapeau k terre, ouvrit sa poitrine et dit Soldats, soyez fidèles k votre Roi... Feu! Il reçut, debout et sans avoir les yeux baudés, six balles dans la poitrine. On écrit de Trieste le 20 mai, au Lloyd Le vapeur français arrivé de Venise k l'instant même, amène des passagers qui rapportent qu'on bombarde très-vivement Malghera. On est con vaincu k Venise que celte forteresse ne pourra plus tenir deux jours. A Venise, l'excitation s'accroît de jour en jour parmi le peuple, et les chefs ont beaucoup k faire pour maintenir la tranquillité Vienne, tO mal. Les Hongrois se retirent. Ils ont abandonné la rive droite de la Waag, et toutes les positions depuis le Schiitt jusqu'à Coinorn. Leurs tentatives réitérées sur Bude qu'il cernaient avec 3o,ooo hommes, n'ont eu pour résultat que de réduire une partie de Pesth en ruines. Henzi veut se défendre jusqu'k son dernier coup de cauon. Kossuth a pris lui-même le miuistère de la guerre. Klapka diiigera sous lui, une partie des affaires. La République a été proclamée k Kaschau. On sait maintenant le chiffre officiel des troupes russes venant au secours de l'Autriche. Il est de 106,600 hommes d'infanterie, de 20,000 de ca valerie, de i,5oo sapeurs et de 2Ôo pièces de canoueu Hongrie, de 3o,000 fantassins, de 12,000 chevaux et de 72 bouches a feu dans la Transyl vanie, total i8i,83o hommes et 3i2 canons. Six corps de réserve de 220,000 hommes sont sur les frontières. A I.ivourne, k la date du i3 mai, le calme était complètement rétabli. Toutes les boutiques sont ouvertes, le commerce et le travail ont repris leur cours ordinaire. On dément les assertions du Cor- riere mercantile de Gênes, jourual ultra-démo crate, qui a prétendu que plus de deux cents personnesavaientété fusillées dans la ville. D'après une note officielle publiée k Florence, les troupes autrichiennes ont pris possession de la ville sans résistance sérieuse et elles n'ont commis aucun excès. On a fait prisonniers quelques individus, la plupart étrangers. Les chefs et un grand nombre de factieux ont pu se réfugier k bord des navires de diverses na tions. Quelques hommes armés qui s'étaient retirés dans la cathédrale ont eu la témérité très-inutile et très-fatale pour eux de faire feu sur les soldats qui occupaient la grande place. Cinq de ces hommes, d'autres disent huit, ont été pris et passés par les armes comme coupables de guet-apens après la reddition de la ville. Telle est la dernière relation de ce fait que nous avions déjk rapporté. On écrit de Rome, le 17 mai, k la Gazette piémontaise Aujourd'hui a été publié le décret suivant Sont suspendues les hostilités entre la Répu blique romaine et la France. Donné k la résidence du Triumvirat, le 17 mai 1849. Les Triumvirs. L'envoyé extraordinaire de France M. Les- seps, a demandé une conférence avec trois membres de l'Assemblée et le général Oudinot. En ce mo ment, la demande est communiquée officiellement a l'Assemblée et l'on nomme les trois commissaires Suivant la Speranza du 17 mai, une division de douze mille hommes était partie de Rome pour aller attaquer les Napolitains k Albano. Mais les Napolitains n'auraient pas attendu les républicains et auraient quitté leur position k Albano. C'est le 16 mai, k cinq heures du soir, que les troupes autrichiennes ont pris possession des portes de Bologne, et qu'elles ont occupé la Mon- tagnola. L'entrée s'est faite très-tranquillement; la garde civique et les troupes de ligne ont remis aux Autrichiens le poste de la grande-garde, au palais apostolique. Les armes pontificales y ont été relevées. La ville de Bologne a été mise aussitôt en état de siège; la presse a été soumise k la censure préventive; les réunions publiques et les rassem blements sont défendus; les corps francs sont dis sous; la garde civique est mise hors d'activité; les armes et les munitions doivent être rendues dans un délai déieiminé. Op MAENDAG 4" JUNV, 1849, ten 10 uren voor-raiddag, zal er voor het Huys N" 5 in de Meenen slraete te Ypren door den Notaris LAMBINgeprocedeerd worden tôt de opcn- bare Veikooping van de MEUBELEN EN EF- FECTEN VAN MENAGIE, KLEEDEREN, LIN- WAET, 2 zilver Lepels eu Fourchetten, 5 zilver Koffy Lepeljens en zilveren Serviette Ring; af- hangende van de successie van Jufve NaTALIE Denys Schoolonderwyzeresse overleden te Yprtn, hnysvrouw van d'neer André-Xavier Delettré, te Parys gehuysvest. De Verkooping zal geschieden met gereeden gelde en verhoog van den io'n penniuk. (i) Elk zegge het voorls. 3ûr&m Jpotager rt b'2lgrfment, Située contre le pavé d'Ypres Menin, k Ghe- luvelt au Cruys-Eeke. S'adressera Ypres, rue S1-Jacques, t4. (2) Op DONDERDAG 7'» JUNY i849, ont 4 uren nainiddag, in d'heiberg het Hoektje, be- woond door sieur Charles Van de Lanoilte, te Wytschaete plaets, zal er door het ministerie van Meester NEVEJAN, Notaris te Messen, ge- procédeerd worden tôt den DÉFIN1TIVEN OVERSLAG der volgeude Goedereu, gelegen te Wytschaete, te weten Koop. Een schoon groot HUIS met G aren GROND en HOFter westzyde van de plaets gebruikt door den vetkooper Francis Beun, tôt iea Mey i85o, mits te betalen voir pacht prestatie 100 francs en de lasten. 2'a Koop. 11 aren 70 centiaren LAND, palende oost den voorgaenden koop. De voorschreven Landen zyn gebruikt by Bei n voornoemd om door den kooper daer aen hand te slaen met 't weiren der vruchten. (1)

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1849 | | pagina 3