&aa®B«aa. HOFSTEDEKEN GEMEENTE BIXSCHOTE. FRANCE. Paris, 6 juin. PRUSSE. Berlin, 4 juin. DANEMARCK. v SUÈDE. AUTRICHE. Vienne, 30 mai. HONGRIE. ETATS ROMAINS. Ingesteld in masse fr. 11,325-00. Ingesteld fr. 1,250-00. La police informée du fait, a immédiatement arrêté quatre personnes sur lesquelles planaient des soupçons, mais le coupable, qui se trouvait au nombre des arrêtés, a immédiatement avoué son crime; sur cet aveu, les trois autres ont obtenu leur liberté, et l'assassin a été mis a la disposition du procureur du roi. On écrit de Ciney Dimanche après-midi, sur un rayon partant de la commune d'Hamois et se prolongeant jusqu'au delà d'Havelange, mais dans une certaine largeur, toutes les récoltes ont été ravagées par la grêle. On a trouvé des grêlous de la grosseur d'un œuf de poule. chronique judiciaire. Le conseil de discipline de la garde civique d'Ixelles, dans un jugement longuement et très bien motivé, qui servira de précédenta décidé que la garde civique n'était pas assimilable h l'armée pour les peines disciplinaires. En fait, il a été décidé que c'était a tort que des arrêts avaient été infligés au capitaine inculpé, et par suite a déclaré qu'il n'y avait pas lieu de le poursuivre pour ne pas les avoir observés. On lit dans le Toulonnaia Constantine, 22 mai. La plus vive agitation règne parmi les Arabes. Ils ont formé, assure-t-on, le projet d'attaquer El Arouche et d'autres points de nos possessions africaines. Les Kabyles sont disposés tenter l'at taque de Constantine. Ils ont déjà désigné le jour et l'heure du commencement des hostilités. Âlais pour prévenir toute tentative de leur part, une expédition sérieuse va être immédiatement dirigée contre eux, et toutes les dispositions sont prises pour résister a l'attaque si elle a lieu. Toutes les troupes de Bone sont arrivées h El Arouche et Smeuden. Le 16 mai les généraux de Salle et de Sévry sont partis pour Hilah, avec un détachement de chasseurs et de spahis, a Le bruit s'est répandu qu'une rupture avait éclaté entre le gouvernement égyptien et le consul général de la République qui avait menacé, si*on ne faisait pas droit a ses justes prétentions, de demander ses passeports. Dans tous les quartiers, dans toutes les classes de ses habitants, Paris est en proie h une forte recrudescence du choléra. Presque tous les cas sont extrêmement graves, et la mort est fou droyante. Les faubourgs de Paris, que l'on appelle banlieue, sont loin d'être épargnés; outre les Batignoles, l'épidémie sévit avec violence sur Bercy, Clamart, Bleudon Montmartre, etc. M. Proudhon a été arrêté hier, a huit heures du soir, au moment où il arrivait Paris par le chemin de fer du Nord. Soit que sa prochaine arrivée a Paris fût annoncée, soit qu'il ait été tout simplement reconnu au moment où il mettait pied a terre dans le débarcadère, il est certain qu'il a «té suivi par un officier de paix jusqu'à la porte de la caserne du faubourg Poissonnière. Arrivé l'a, l'officier de paix, qui était vêtu d'une blouse, s'est fait reconnaître par l'adjudant de service et l'a requis de lui prêter main-forte. L'officier de paix a déclaré alors a M. Proudhon qu'il était son prisonnier, et l'a invité a entrer dans la caserne, afin de lui épargner le désagré ment d'une arestation sur la voie publique. M. Proudhon a compris que toute résistance serait inutile une voiture a été appeléeet il y est monté accompagné de l'officier de paix de l'ad judant et de deux sous-officiers. M. Proudhon a été aussitôt conduit la préfec ture de policeoù il a été remis entre les mains de M. Cartier. M. de Lesseps est arrivé hier a Paris, et sa présence a fait tomber les bruits calomnieux répandus sur son état moral. M. de Lesseps a, comme le démontrent les débats qui ont lieu aujourd'hui, conclu avec la République romaine un traité de paix qui n'est pas ratifié par le gouvernement. Tout au contraire le ministère, aussitôt que cette nouvelle lui est par venue, a envoyé au général Oudinot l'ordre 4e recommencer les hostilités contre la République romaine. Il y a de cela dix jours. On dit que M. de Lesseps a été pour ainsi dire embarqué de force par le général Oudinot pour avoir signé un traité qui ne serait qu'une lâcheté après le ton hautain affecté d'abord par le négociateur français et presque une trahison si l'on considère la teneur des instructions venues de Paris. La sœur Isodore, née Louise Hésard, de Montereau, attachée a la maison de secours de Saint-Séverin, et dont le Constitutionnel a fait un bel éloge après les fatales journées de juin, pour avoir assisté alternativement les blessés du Petit-Pont, de la rue Saint-Séverin, Saint Jacques, place Mauberr, etc., vient de mourir, trente-un ans, du choléra. Huit heures avant sa mort, elle soignait encore des malades et servait de mère aux cinq jeunes enfants d'un pauvre ouvrier de la rue de la Parchetuinerie, qui fondaient tous en larmes son enterrement. M. le curé de Saint-Séverin a prononcé, sur la tombe de la jeune religieuse, quelques mots bien sentis et que tous les malheureux du quartier, venus h cette triste cérémonie par devoir et par reconnaissance, ont.écoutés avec attendrissement. La Bavière a demandé le secours de troupes prussiennes, et un corps prussien aux ordres du général de Herschfeld va franchir la frontière du Palatinal. Le corps bavarois concentré près de Nuremberg, fort d'environ i5,ooo hommes, se mettra eu mouvement vers le Palatinal en même temps. Nouvelle Gazette prussienne.) On écrit d'Altono, le 4 juin la Gazelle de Cologne Nous recevons de Copenhague une nouvelle qu'il ne faut admettre qu'avec précaution. Le Roi, dit-on, refuse de reconnaître et de signer la Con stitution adoptée par la Diète la troisième lecture; des troubles sérieux ont éclaté par suite de ce refus. Les journaux de Stockholm disent que l'on a expédié Calscrona l'ordre d'armer au plus vite plusieurs grands vaisseaux de guerre, indépendam ment de la flottille qui doit prendre la mer ce mois-ci. Les insurgés se sont avancés de Neutra jusqu'à Freistadtce qui a forcé une brigade de l'aile gauche de l'armée jmpériale qui avait occupé cette dernière ville se retirer promplement h Szered au-delà du Waag. On lit dans la partie officielle de la Gazette de tienne S. M. l'Empereur a accédé la demande du feldzeugmeisler baron Welden d'être déchargé du commandement en chef des troupes impériales en Hongrie et en Transylvanie, demande basée sur la faiblesse de la santé de ce généralet a confié ce poste au lieutenant feldmaréchal Haynau que S. M. a nommé en même temps feldzeugmester. On dit toujours que l'Empereur de Russie va venir Vienne; le maréchal Radetzky arrivera en même temps, afin de donner son opinion, si importantesur les opérations en Hongrie. Les deux monarques ne négligeront rien pour engager le vieux maréchal se charger du commandement en chef. On prétend que le lieutenant feldmaréchal Giulay a apporté la nouvelle que le maréchal Ra detzky se montre assez disposé se charger du commandement de l'armée de Hongrie dès qu'il aura pris Venise, qui ne peut plus tenir longtemps. La Reine de Grèce est arrivée Vienne par la voie de Trieste. On dit que la paix entre l'Autriche et le Piémont est conclue et qu'il n'y manque plus que la ratification de l'Empereur d'Autriche. Gazelle cl'Augsbourg.) On écrit deTrévise, le 3o mai, au Lloydde Vienne La tête du pont du chemin de fer, près de Venise, dont se sont emparées les tronpes impé riales, forme pour elles un excellent rempart, d'où le bombardement de la ville a commencé le le 29 au soir; il a été continué toute la nuit. Le maréchal Radetzky, arrivé au camp des assiégeants, dirige lui-même les opérations avec une activité infatigable. On écrit de Presbourg, le 3i mai Dix mille russes sont entrés Neustadl sur la Waag. Des transports de grains et de bétail pour cette ville ont été ordonnés, et une brigade russe entrera ces jours-ci Presbourg. Le général-major Zeisberg est désigné comme devant être chef de l'état-majer du feldzeuginestre Haynau. On écrit de Diskovar, le 19 mai Le géné ral Jovic, qui, l'année dernière, commandait et a vendu aux Hongrois la forteresse d'Esseg vient d'être ameué ici enchaîné avec plusieurs hussarde hongrois prisonniers, parmi lesquels se trouve la rédacteur de VAmi du Peuple d'Esseg. Ils seront transférés demain Altgradiska, où l'on prononcers sans doute leur sentence. On lit dans le Corrier merconlile On veut que l'Assemblée, cause de la marche des Autrichiens, désire s'arranger avec l'envoyé français; le triumvirat s'y oppose. Il en résulte une lutte qui finira, ce que l'on prévoit, par la démission du triumvirat et le choix d'un nouveah pouvoir exécutif. L'Italia del popolo annonce que les Au trichiens sont entrés dans Sinigaglia. On lit dans la Gazette de Milan du juin L'attaque dirigé par les Autrichiens contre Aucône y a produit la plus grande désolation et une confusion générale. Les habitants se sont réfu giés sur les hauteurs voisines pendant que le tocsin sonnait en ville b toutes volées. Dans la journée, la ville a rendu les otages qui étaient jusqu'ici en prison et, enlr'autres, le comte Mastaï Ferretti, parent de Sa Sainteté, que l'on a rendu la frégate française a vapeur Panama, l'ancre dans les eaux d'Ancône. Le commandant de la frégate Panama a refusé de se charger de ces otages et il les a remis au commandant de la frégate autri chienne Bellona. Les habitants sont très-décou- ragés. On lit dans le Slalulo de Florence, sous la date de Rome, le 28 mai Un grand mouvement se prépare dans l'As semblée de Rome contre le trinmvirat. Elle est maintenant en séance secrète pour discuter, dit-on, la proposition nouvelle d'un arrangement inspiré par plus de condescendance envers les Français. On ne connaît pas encore le résultat de la séance. TE ZATERDAG i6*n JUNIUS t84g ten 4 uren des na micldags in Parnassus Hof op de Kleene Markt le Ypre, zalgebeuren den OVERSLAG van een sc/ioon Behuist en wel Beplant HOF STEDEKEN grool in Lande 6 hectaren 12 aren 5o centiarengelegen te Bixschote zuid by de Plaelse Molen, gebruikt door Petrus Phlypo a fr' 414-oo 's jaers met regt tôt Baefmisse i85i. Item eene partie ZAF.YLAND daer nevens grool 60 aren 61 centiaren gebruikt door den zelven Phlypo ten pryze van fr* 5o-oo by de jare met regt lot Bavo voorzeid. Den Notarié TITECA te Boesinghe is gelast met de voorhandige Ferkooping. (1}

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1849 | | pagina 2