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ÉTAT CIVIL D'YPRES,
EN EFFECTEM VAN MENAGIE
JOAILLIER ET HORLOGER.
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tuante. L'autorité est décidée sévir contre ces
tentatives d'embauchage d'un nouveau genre.
Nous lisons dans la Constitution d'Orléans
que le jeudi 1" novembre a eu lieu, dans la
chapelle sépulcrale de Dreux, l'inhumation d'un
enfant mort-né du prince de Joinville. La trans
lation a eu lieu par les soins du général de
Chabannes, ancien aide-de-camp de l'ex-roi
Louis-Philippe.
Le président de la république est parti le 4
h dix heures du matin pour Versailles, afin d'assis
ter h de grandes manœuvres de cavalerie comman
dés par le général Corle, un des meilleurs manœ-
vriers de l'armée.
Il était accompagné du général Changarnier et
de trois de ses officiers d'ordonnance: MM. Ney,
Persigny et Fleury. Le ministre de la guerre de
Belgique, le général anglais Fox, et lord Cardigan,
colonel de hussards, accompagnaient également
le président. A onze heures et demie il est arrivé
dans la vaste plaine de Satory, où les troupes étaient
rangées en bataille. Six régiments de grosse cava
lerie et de cavalerie de ligne des garnisons de
Paris, Versailles et Saint-Germain, avaient été
convoqués pour prendre part aux manœuvres.
C'étaient les lr et 2° cuirassiers, les rr et 2° dra
gons, les ir et 5" lanciers.
Ces six régiments, formant vingt-quatre esca
drons, présentaient plusieurs lignes de l'aspect le
plus imposant. La vue de ces beaux régiments rap
pelait ce mot célèbre Ce sont de ces troupes
qu'on peut montrer également ses amis et
ses ennemis.
L'arrivée du président a été saluée par les vives
acclamations officiers et soldats ont été unanimes
dans l'expression euthousiaste'de leurs sentiments.
Une foule immense s'était portée sur le champ de
manœuvres et encadrait pour ainsi dire, ce tableau
militaire, et mêlait ses acclamations avec celles des
troupes.
HONGRIE.
On annonce d'Arad que le colonel hongrois,
Koezinczy, a été fusillé, le 25 octobre, h Arad;
12 autres magyars insurgés, déclarés coupables
d'avoir pris part l'assassinat de prisonniers croates
au commencement de la guerre, ont été pendus le
même jour Guns.
ITALIE.
La commission des cardinaux a relevé le général
français Levaillaut du commandement des troupes
pontificales qui se trouvent h Rome. C'est le 28
que le décrèt des cardinaux a paru, et il a été fait
droit.
C'est le colonel Pellegrini, qui commandait la
cavalerie romaine, qui est, dit-on, nommé général
commandant la première division de Rome.
On écrit de Naples, le 3o octobre, au
Journal des Débats
Le Saint-Père est parti ce matin pour Bénévent,
où il passera quelques jours. Il veut, en allant
ainsi chez lui, comme il le dit lui-même, témoi
gner de son désir de rentrer bientôt Rome. Il
considère le dernier vote de l'Assemblée législa
tive comme rendant son retour possible au Vatican
et comme lui imposant même le devoir de ne pas
rester plus longtemps éloigné de ses sujets. Il s'est
donc engagé h s'occuper sérieusement de son
départ définitif pour Rome aussitôt après son
retour de Bénévent.
Le prochain retour du Pape Rome est
généralement admis comme très-probable par les
correspondances des journaux de Florence et de
Turin. Nous remarquerons en outre que cette
nouvelle devient presque officielle par la publicité
que lui donne la Gazette de Bologne du 3o
octobre, feuille soumise la censure et rédigée
sous l'inspiration du légat pontifical, monsignor
Bedini. Ce journal assure même que le retour du
Pape aura lieu dans la première quinzaine de
novembre. Il ajoute que la garnison française de
Rome sera relevée par les troupes de la même
nation qui ont occupé jusqu'ici les cantonnements
extérieurs.
Le commandant des troupes romaines, qui avait
été exercé jusque-là par un général français
passe désormais aux chefs militaires du gouvene-
ment pontifical. Le ministre de la guerre, prince
Odescalchidésignera un commandant eu chef
parmi les officiers généraux romains. Cette mesure
a été publié par un ordre du jour du 27 octobre.
Du S§ Octobre au lO Novembre iuclus.
naissances.
6 Un sexe masculinrr, i r
r» e> Total, i5.
9 Du sexe teminm
mariages.
z. Verfaillie, Désiré-Jean, âgé de 38 ans, commis d'inspec
tion, et Vauhoutte, Marie-Adéle-Jeauue, âgée de 3i ans,
particulière.
2. Tyteca, Charles-Louis, âgé de a3 ans, journalier, et
Duruez, Rosalie, âgée de 25 ans, dentellière.
3. De Wilde, Henri-Albert-Joseph, âgé de 3o ans, ébéniste,
et De WaeghemaeckerJacqueline-Thérèse, âgée de 71
ans, boutiquiére.
décès.
X. De Jonghe, Pauline, âgée de i5 ans, dentellière, céliba
taire, rue de Menin.
2. Le Conte, Jeanne-Thérèse, âgée de 693ns, journalière,
veuve de Thomas Treve, rue de Menin.
3. Bout y, Joseph-Constantin, âgé de 58 ans, journalier, époux
de Jeauue-Thérèse Lagas, rue des Chieus.
4. Poupart, Jeau-Baptiste-Émile-Alphonse, âgé de 35 ans,
écrivain, célibataire, Marcbé-au-bois.
5. Vlaeraynck, Sophie-Mélanieâgée de 8 ans, S1 Jean lez
Ypres.
6. Deroubais, Amélie-Cornélie, âgée de 22 ans, dentellière,
célibataire, S1 Pierre lez Ypres.
7. Demeuuiuck, Calhériue-Sophie, âgée de 55 ans, sans
profession, épouse de Eerdiuand-Jacques Pieters, rue de
Lille.
8. Yauueste, Flotimand-Amand âgé de 39 ans, compagnon-
imprimeur, célibataire, rue de Menin.
enfants au-dessous de 7 ans.
Masculin 8
Total... 10.
Féminin. 2
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DOOR STERFGEVAL.
OPENBARE VERKOOPINGE
VAN
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FRÉDÉRIC US-JUDOCUS REYPHESS.
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Op DINSDAG 20"° NOVEMBER i849, en
volgenden dag noodig zynde, telkens ten 9 uren
voorraiddag te beginnen, zal'er ten sterfhuyze van
genaemden heer Reyphinster plaelse van de
gemeente van Pollynchove, geprocedeert worden
tôt de openbare verkooping van het door hem
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De koopen tôt de 10 francs inclus gereed te
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confiance des premières maisons pendant les quinze
années que j'ai exercé ma profession.
J'ose espérer, M., que le goût exquis de mon
travail, joint la modicité de mes prix, me feront
mériter votre confiance.
Veuiflkî agtcet mes SafutationJ distingués,
(s) F. HENNION.
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