BOOMEN. 62 KOOPEN BOOMEN, BOOM-VENDITIE RENINGHELST, TE RENINGHELST, TE ZUYDSCHOTE. ANGLETERRE. Londres, 25 janvier. ITALIE. SCHOONE EYKEN, IEPEN, ABEELEN, POPELIEREN EN ESSCHEN SCHOONE VENDIT1E van met van Dienstig voor wagenmakerstimmerlieden, klompkappers en andere werken en een deel voor brandhont, ter hofstede bewoond door Callens hommes notables de Rouen lui ont offert leur concours. 11 y a quelques jours, le fils d'un riche né gociant de Bordeaux arrivait Paris pour y prendre sa première inscription de droit. Il était porteur d'une lettre de son père pour un de ses amis, M. D...., ancien fonctionnaire d'un ordre élevé qui, depuis les événements de février, s'est retiré dans un des vieux hôtels de l'île Saint-Louis. Le notaire et le négociant avaient été liés dans leur jeunesse de la plus étroite amitié, aussi celui-ci ne s'était-il pas fait faute de recommander chaleureusement sou fils son ami. La première pensée du jeune étudiant en arri vant Paris fut de se rendre chez M. D...., mais au moment de sortir de l'hôtel où il était descendu, ce fut inutilement qu'il chercha sa lettre d'intro duction. Il pensa l'avoir perdue en ouvrant son portefeuille durant le voyage, mais il s'inquiéta peu de cette perte, puisqu'il lui suffisait d'écrire a son père pour en recevoir courrier par courrier un duplicata. Cependant, ce jour-la même, M. D. recevait la lettre paternelle qui lui était remise par un jeune homme d'excellentes manières. Il accueillit avec une vive cordialité ce jeune homme; il le retint a dîner, lui parla longuement de son père, et finit par lui dire qu'il ne saurait lui faire un plus grand plaisir que de considérer sa maison comme la sienne. Le jeune homme parut enchanté; il accepta avec gratitude l'offre qui lui était faite, et se retira eu promettant de revenir le lendemain. Il revint, en effet, mais il n'était pas encore huit heures du matin, et le domestique, tout en le rece vant comme un commensal de la maison lui dit que M. D... était encore au lit. Ne le reveillez pas, je vous en supplie, répondit l'étudiant, j'ai plusieurs lettres écrire, et je vais m'occuper de ce soin en attendant le reveil de M. D... Le domestique, qui avait été témoin de l'accueil fait la veille 'a ce jeune homme, n'hésita pas h le faire entrer dans le cabinet de travail de son maître. Au bout d'un quart d'heure il en sortit, tenant plusieurs lettres la main, qn'il allait, dit- il, jeter h la poste. Mais le reste de la journée s'écoula sans qu'il reparût. Vers le soir, M. D... s'apercevait qu'on lui avait volé une somme assez importante. Il n'y avait point de doute, le voleur n'était autre que le jeune Bordelais, M. D... fut indigné, mais en considération de la vieille amitié qui l'unit au père, il s'abstint de porter plainte. Les choses se trouvaient en cet étal, lorsqu'à trois jonrs de distance, le véritable étudiant de Bordeaux reçut de son père le duplicata de la lettre de recommandation perdue. Il courut aus sitôt h l'adresse iudiquée, et demanda M. 0.. Monsieur est sorti, lui repondit-on, il dîne en ville, son domestique est également absent. Le jeune homme entrant alors dans la loge demanda une plume, du papier et écrivit son nom: Jules N..., de Bordeaux. Monsieur êtes-vous bien sûr de vous appeler Jules N... demanda le concierge en recevant le nom écrit des mains qu jeune hom me. Comment! si je suis sûr de m'appeler par mon nom Il me semble pourtant que vous êtes plus graud et un peu plus brun. Ce malheureux est ivre ou fou, dit le jeune homme en se dirigeant vers la porte de la rue; mais cette porte ne s'ouvre pas, et le concierge sortant de sa loge vient prendre l'étudiant au collet en appelant au secours Tenu en charte-privée jusqu'à minuit environ, heure où entra seulement M. D..., le pauvre jeune homme, malgré ses protestations, ne vit finir sa captivité que lorsque celui-ci, auquel on annon çait l'importante.capture que l'on avait faite, re connut l'erreur commise, en même temps que la fraude audacieuse dont il avait été victime. Un journal catholique anglais donne quelques détails sur une réunion qui a eu lien Londres, il y a quelques jours, pour chercher les moyens de remplacer par une vaste et belle église, la petite chapelle de S'-Palrick (Soho-Squarej.dans laquelle se réunissent tous les dimanches un bon nombre des pauvres Irlandais qui résident dans cette ca pitale. Des plans ont été adoptés et les frais de con struction doivent être très-considérables; cepen dant ceux qui sont la tête de cette entreprise n'ont pas un seul shilling pour mettre la main l'œuvre. La charité est ingénieuse et celle du pauvre Irlandais ne se ralentit pas plus que son courage la vue des difficultés. Le manque d'argent devait en cette circonstance lui paraître un obstacle in surmontable; il u'en fut rien. Quatre cents hom mes de bonne volonté se présentèrent et prirent pour l'espace de trois années l'engagement de tendre la mains 'a leurs amis et connaissances, se faisant forts de verser chacun pendant ce temps deux shillings par semaine dans la caisse de l'œuvre. Voila donc une somme de six mille livres ster ling (i5o,ooo fr.), dont les pauvres Irlandais résidant Loudres, vont se priver pour élever un nouveau temple la gloire de Dieu, sous l'invo cation de leur saint patron. Honneur ceux qui font preuve de tant de foi, de tant de générosité! Une assemblée général des actionnaires de la compagnie des Indes orientales est convoquée pour un objet qui ne manque pas d'intérêt. Il s'agit de délibérer sur une proposition des directeurs ayant pour butassure-t-on de déclarer le Grand- Mogol déchu de sa souveraineté, d'ailleurs pure ment nominale, et d'expulser sa mort sa famille et ses serviteurs du palais qu'ils habitent Delhi. Le grand Mogol dont la souveraineté a été so lennellement recennue pour lui et ses successeurs par lord Wellesley, allors gouverneur de l'Inde, quoique retenu prisonnier Delhi, sous la surveil lance du résident anglais, est de la part de tous les Mahométants l'objet d'un sorte de culte. Ce triste successeur de Tamerlan est censé recevoir de la Compagnie des Indes une pension annuelle de i3o,ooo liv. sterl. Mais cette somme est dépensée en réalité, sous son nom par le résident anglais, et S. M. I et sa famille sont réduites aux plus pénibles privations. Le seul fait d'une certaine gravité pendant ces derniers jours a été l'arrestation du courrier de Terracine entre les marais Pontins et Velletri. Ce courrier est celui qui apporte les dépêches venant de Naples. Sept hommes armés l'ont forcé s'ar rêter. Celui qui semblait diriger l'expédition a ouvert la portière de la voilure où se trouvaient trois voyageurs, les a priés poliment de descendre, en les assurant qu'ils n'avaient rien craindre ni pour leur personne ni pour leurs effets, s'est fait ouvrir les différentes malles, a tout visité, a enlevé les lettres, puisa fait refermer les malles. Pendant ce temps, un autre individu examinait scrupu leusement les divers compartiments de la voiture et en enlevait les lettres et les dépêches. Je ne sais si les plis du commerce et des particuliers ont été restitués; mais on assure que la correspondance adressée la commission des cardinaux et celle des diverses ambassades sont restées entre les mains des brigands. TE BY HET GEIIUCHT DE CLYTTE. iTiQ riï-» DONDERDAG naest 7- FEBRUARY i85o, een uer namiddag précis, ten behoeve van Mr Spillebout-De Baere, doctoor tôt Dadizeele, op zyne grasweide, genoemd d'Hooge fVeide, gebruykt door vrouw Marie-Francisca Van Eecke, weduwe van sieur Pieter-Joannes Ryckewaert gelegen in Reninghelst by het gehucht de Clytte, langst d'oostersche Clyttestraete, en op vyf mi- nuten der straete leedende van Yper naer Belle, KOOPD.AG VAN 48 KOOPEN Tyd van betaeling voor de koopsomme prin- cipael, mits stellende voldoende borg, gedomi- cilieert onderhet geregtelyk arrondissement Yper; den tienden penning en ander voorbesprek con tant te betalenin handen van den Notaris LUCIEN, te Reninghelst, belast met deze Ven- ditie en ontfaugst. i Elk zegghet voorts. ASSCHEN fVOENSDA G naest i5" Fe- bruary i85o, een uer namiddag, in het Gemeenle Huys, staende op de plaetse 1,929 PLANTSOENEN van 2 decimeters 7 centimeters dikte en daer boven29 ROONAERTS en 4t ESPEN, voor den ontbloot i85o, staende op 16 partien Bosch te zamen groot 6 H. 47 A. 83 C., gelegen iu Reninghelst, Vlamertinghe en Westou- tre competerende de Kerkfabriek van Renin ghelst en andere,op gewoonlyke conditien door het ambl van den Notaris LUCIENte Re ninghelst. Nota Dry partien zyn 'er om te kappen blanken Taillie; Pieter-Joannes en Ca- semir Saelen beide woonende te Reninghelst, zullen de bosscben aen de liefhebbers aen- wyzen. *(i) DYNSDAG 19" FEBRUARY i85o, ten 1 uren naer middag just, in de garzingen der hofstede gebruikt door Callensgelegen in Zuydscholelangst de straete leedende van Luxerné naer Noordschoote en iegen den Vaert, za! 'er Venditie gehouden wordeu van 62 koo- pen, Iepen, Popelieren en Wilgen Boomen, dienstig tôt verscheyde werken en ten deele voor brandhout. De aengelegentheyd van den Vaert en de na- byheyd van den steenweg op Yperen en Dixmude maken den transport zeer gemakkelyk. Gewoonen tyd van betaling mits bekende borge te stellen wonende in het arrondissement Yperen en aen de conditien te voldoen. (1) Elk zegge het voorts. Ypres, Imprimerie-Librairie de Désiré Lambin-Mortier, éditeur-propriétaire, rue de Lille, 10, près la Graud'Place.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1850 | | pagina 4