HOFSTEDEKEN,
HUIS EN ERVE,
mmm
SUISSE.
ITALIE.
iPAtmaaiDïtitâait
HUIZ.ËN EN HOOILAND,
TI K@@PSIM
TE LAWGEMARCK.
LANGEMARCK, Sectie B.
LANGEMARCK, (Wyk Poelcapelle.)
LANGEMARCK, (Dorpplaets.)
instel penning te winhen.
TE KOOPEN
van het
MAEIGRAS,
OP DE PADDEVYVERS, (nevens ypre.)
dessein que l'on multiplie ainsi l'infini des Diètes
qui ne seront en quelque sorte que des conseils
généraux de départements. Tous ces détails d'or
ganisation découlent du plan général de centra
lisation; il n'est donc pas probable que le cabinet
puisse accorder autre chose que des modifications
accessoires. Ce projet dont je viens de parler, pré
senté immédiatement après l'abolition de la ligne
douanière austro-hongroise, dénote de plus en
plus l'intention de centraliser vigoureusement
toutes les directions. On m'assure que M. Bach,
Ministre de l'intérieur, espère avoir terminé dans
trois ou quatre mois au plus tard l'œuvre de l'or
ganisation nouvelle de toute la monarchie.
On répand le bruit que l'Empereur Nicolas
aurait offert h la Banque d'Autriche une avance
de ôo millions de florins. Je ne vous garantis pas le
fait.
Berlin, le 11 Juin.
Il résulte de toutes les nouvelles que la manière
dont le gouvernement met h exécutition sa der
nière ordonnance sur la presse est réellement une
croisade coutre la liberté de la presse. Les trois
quarts des journaux succomberont, la poste refu
sant de les transporter.
La Correspondance générale annonce que
le choléra s'est déclaré a Polsdam et qu'il a pris
dès le premier moment un caractère très-fâcheux.
La famille d'un confiseur, composée de neuf per
sonnes, a été enlevée par ce fléau dans l'espace de
quelques heures.
On élabore dans ce moment une loi élec
torale et une loi sur la presse, qui seront soumises
au Parlement de l'Union.
On écrit de Fribourg h VObservrteur de Ge-
nieve
L'exil pèse encore sur MM. Fournier et ASbi,
sur Mgr. Marilleysur plusieurs des prévenus
d'octobre, qui ne peuvent se résoudre h rentrer
dans leur patrie, h une condition que leur con
science réprouve; enfim, si bon nombre de victimes
viennent d'échapper h la persécution par les bons
offices fédéraux, il en est d'autres qui continuent a
être en butte aux mesures les plus vexatoires. Ce
sont de pauvres religieux, des prêtres catholiques,
des curés qu'on arrache de chez eux, au milieu des
larmes de leurs paroissiens. Deux, MM. P. et L.,
sont morts déjà dans la force de l'âge, minés par
le chagrin, et loin de leurs chères ouailles. Dom-
didier Villars, Tours, Sales, MontetBillens,
Bellefaux, Villarepos et bien d'autres paroisses,
malgré leurs réclamations réitérées, n'ont jamais
pu obtenir le retour de leurs pasteurs chéris.
Cette semaine encore le curé d'A faillit
partager le sort de ses confrères. La sentence d'exil
lui était notifiée. Cependant les instances de ses
paroissiens ont pu cette fois se laire entendre des
autorités. Cette exception des actes aussi arbi
traires ne nous donue aucune garantie pour l'a
venir.
w Par une nouvelle inconséquence, ceux-là
même qui décriaient les Jésuites comme étrangers
au canton et la Suisse (erreur grossière, mais cal
culée), les remplaceront aujourd'hui par des réfu
giés politiques, des professeurs étrangers. A peine
quelques chaires sont-elles occupées par des Fri-
bourgeois. Les écoles primaires de la ville, l'école
secondaire des filles, le lycée de Morat, l'école d'a
griculture, l'école normale et l'école cantonale,
sont envahis par des Suisses de tous les cantons,
voire même par des fugitifs italiens ou polonais.
L'un occupe la chaire de physique et de mathé
matiques, l'autre celle de chimie. Tous s'y engrais
sent de nos deniers, et le budget de l'instruction
publique atteint déjà le chiffre de 100,000 francs.
En 1847, il n'était que de 32,000 fr.
Mais on ne trouve pas, dit on, de Fribourgeois
capables d'enseigner? Et pour quelle raison C'est
qu'on n'en veut que d'un parti, et ce parti, c'est la
minorité Dans un petit État de 100,000 âmes, on
en exclut 75,000 de tous les emplois. Aussi, lors
qu'il s'agit dénommer un professeur, un juge can
tonal, un président du tribunal, un syndic de la
ville, doit-on faire cinq ou six élections avant de
rencontrer un homme qui se sente capable d'ac
cepter les fonctions dont il est revêtu.
La semaiue dernière, M. Minguely, curé d'Au-
tigy, reçut tout coup communication d'un arrêté
du conseil d'État qui l'éloignait s quatre lieues de
sa paroisse; il lui était donné terme jusqu'à sa
medi pour faire ses préparatifs et évacuer la cure;
cette mesure était motivée sur ce que M. le curé
était Vagent le plus dangereux de la réaction
dans la contrée. La paroisse toute entière, sans
distinction de parti, désolée de la perle dont elle
était menacée, envoya Fribourg une dépulation
nombreuse, composée également de radicaux et de
conservateurs, son syndic eu tête, pour obtenir du
Conseil la révocation de cette mesure. L'autorité
civile, reconnaissant qu'elle avait été trompée par
de faux rapports, suspendit indéfiniment l'exécu
tion de son arrêté, et M. Minguely put rester dans
sa paroisse. Mais cela ne paraît pas faire le compte
du Confédéré, qui est exaspéré de cet acte de fai
blesse.
La Patrie dit avoir lu une lettre de Rome, en
date du 10 juin, dans laquelle se trouve ce qui suit:
Un événement encore mystérieux a produit
une vive émotion dans toute la ville. On raconte
que, dès le même jour de la dernière procession,
le souverain pontife avait été averti par un billet
anonyme, que trois assassins étaient chargés par la
faction révolutionnaire de Rome, d'attenter ses
jours pendant la procession du corpus Dumini;
bien que ce billet donnât le signalement exact des
assassins; le Saint-Père n'y avait point ajouté foi
et voulait sortir comme d'habitude.
Heureusement, une pluie torrentielle vint met
tre un obstacle invincible son projet, en empê
chant la procession de sortir de Saint-Pierre.
Cependant, un individu vêtu l'italienne, capote
de velours noir et chapeau plumes, qui se faisait
remarquer par Pirrévérence de ses manières, ayant
refusé plusieurs fois de se découvrir au moment où
passait le Saint Sacrement sous le péristyle et in
jurié l'officier français qui lui avait enjoint d'ôler
son chapeau, fut mis en état d'arrestation par ses
ordres.
Les suisses, qui appartient la police du pa
lais, l'ayant conduit leur corps de garde et fouillé,
le trouvèrent porteur de deux pistolets chargés et
armés; cet homme a été immédiatement mis au se
cret, et il paraît que son signalement est tout fait
conforme celui d'un des individus désignés daus
le billet qui avait été remis le matin même au
Pape.
Met het honden van twee zitlingen waervan de
eerste zal dienen tôt den INSTEL den VRYDAG
28*° JUNY 185o, ten 4 uren namiddag ter herberg
genaemd den IVildenmanby de plaets van Lan-
gemarck en de tweede tôt den OVERSLAG
VRYDAG i2,n JUL1US daernaer 00k ten 4 uren
namiddag ter herberg bewoond door de kinderen
Rigal op 't Kaelspel te Langemarck, zal'er over-
gegaen worden tôt de Verkooping van
1"1 Koop. Drie HUIZEN met Scheur en
Koeystal alsook 4i aren, 70 centiaren ERF onder
Grond vau Gebouwen, Hof en Boomgaerd, bekend
by cadaster nummers 198 tôt en met 2o4, abou-
terende van zuiden de Galgstrate, nog zuid en
oost 't land Mevrauw Decarnin, noord den vol-
genden koop hage mede en west 't gars gaende
met den Roobaerdnolen competerende de weduwe
en kinderen Karel Donse, voetweg mede.
2,n Koop. Den nomber van 72 aren ZAEI-
LAND, bekend by cadaster nummers 2o5, 206,
207 en 2o8,strekkendezuid en noord,aboulerende
van onsten Mevrauw Decarnin en den 4,n koop,
zuid koop 1, west de voornoerade weduwe en
kinderen Donse, Philippus Logie en Christiaen
Defranck en noord den 3,n koop.
3"n Koop. Nuramer 275, eene partie ZAEI-
LAND groot 35 aren, 60 centiaren, aboulerende
van oosten den 4e" koop, zuid den 2"1 koop, west
eu noord Jacobus Vanacker-Steelandt.
4*° Koop. Nummers 270a, 276 en 277
27 aren, 84 centiaren ZAEILAND, strekkende
zuid en noordaboulerende van oosten en zuiden
't laod Mevrauw Decarnin, west den 2en en 5,a
koopen en noord 't hofstedekeu dito Vanacker-
Steelandt.
MASSE. De 4 voorenbeschreven Koopen
t zamen uilmakende een behuid en beplant
HOFSTE DE KEN gelegen te Langemarck by
den Roobaerlmolen, in 't geheele groot 1 hec
tare, 77 aren, i4 centiaren zyn in pagt ge-
houden (behalvens de twee Huizen onder de
nummers 200 en 201, de welke alsnu onbewoond
zyn) door Philippus Logie, eenen pagt van 3, 6
°f 9 jnren ingang genomen Bavo 1848, tegen
170 francs by jare, zullen by zamenvoeging
te koop geveild worden.
5"n Koop. Een perceel HOOILAND groot
by titel 44 aren, 10 centiaren, gelegen te Lange
marck, aboulerende van oosten en zuiden d'hof-
stede landen van Mevrauw Delaroyère te Cortryck,
west 't hofstede land Mynheer Frennelet en noord
de strate van Langemarck naer Poelcapelle, daer-
over den boomgaerd en gars hofstede Mr Frennelet.
Gebruikt door Joannes Verslyppe, zonder titel.
6*n Koop, Een HUIS dienende voor eeoe
wooning met Werk en andereu Winkel, Houlstal
en voordere gerieven, raitsgaders 4 aren, 26 cen
tiaren Erf ermedegaende aen de westzyde der
Plaets van Langemarck, abouterende van oosteu
't huis en erf Virginie Soenen, zuid en west den
eigendoin kinderen sieur Engel-Albert Van Eecke
en noord de kalsyde van de Dorpplaets door
Bixschote naer Smisken.
Gebruikt door den eigenaer Lodewyk Bauwen.
De voorwaerden der Verkoopinge en eigendoms
bewyzen zyu 't elks bezigtiging berustende ten
kantoore van den Notaris COMYN te Langemarck.
(1) Elk zeg' het voorls.
SCUOOft
Een HUIS en ERVE, aen den noordkant van
de Korte-Thourout-straet, n° 5g; binnen Ypre;
alwaer de weduwe van Gerardus Buseyne, on-
langs overleden is.
Ingesteld 2,620 francs.
Den ABSOLUTEN OVERSLAG zal ge-
beuren binnen de stad Ypre, in de estaminet den
Olifant, in de Dixmud-straet, MAENDAG i*a
JULY i85o, ont 6 uren s'avonds, ingevolge de
voorwaerden, berustende ten kantoore van den
Notaris VANDERMEERSCH. (1)
VERPAGTING
fVOENSDAG, 26 JUNY i85o, des na-
middags om 3 uren. (1)