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HOFSTEDE, HERBERG,
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ERKOOPIING
ERVEUI, ZAEYLANDEIII EN
WEYDE,
La proposition d'abroger les lois de
bannissement contre les deux branches de
la famille de Bourbon dont il a été ques
tion entre quelques membres de la com
mission de permanence, a dit on, préoccupé
le conseil tenu l'Elysée. Tout naturelle
ment le président ne verrait pas sans in
quiétude cette proposition recevoir un
accueil favorable de la part de l'assemblée
législative. Les auteurs de la proposition
comptent sur la discussion de ce projet de
loi, un des premiers porté la tribune,
comme occasion de débats violents et pas
sionnas. (Bulletin de Paris.)
ITALIE.
La Gazettepiémontaise dément ce qu'avait
On lit dans la Campana de Turin
CALIFORNIE.
TE GHELUWE, DADIZEELE EN ROL-
LEGHEM-EAPELLE.
Si nous exceptons l'assemblée ecclésiastique qui
se réunit Paris en 1811 dans laquelle figuraient
6cardinaux et 98 évêqnes de l'empireet du royaume
d'Italie, parce que cette réunion fut dissoute bru
talement par le chef de l'État, la France n'avait pas
eu de conciles provinciaux depuis 1 725, et le siège
de Sens en particulier, qui occupa une si belle place
dans l'histoire de l'Église, qui donna de si grands
exemples la chrétienté par dix conciles tenus dans
la ville archiépiscopale, n'avait pas tenu de concile
h Sens depuis le 22 mai de l'année i320.
M. le général Changarnier a passé la journée
d'hier Chainplâtreux, chez M. Molé.
On attend M. de Metternich prochainement
'a Paris. Le célèbre homme d'État se propose de
passer l'hiver prochain dans la capitale de France.
On assure que le prince de Canino, ancien
Président de la Constituante romaine et cousin du
Président de la République, vient d'être formelle
ment autorisé demeurer en France. On dit que
pour obtenir cette faveur il s'est engagé, par écrit,
rester complètement étranger h la politique.
L'Académie du Gard propose, pour sujet du
concours l'éloge du P. Brydaine. Elle demande,
avec une biographie exacte du célèbre missionnaire,
une appréciation litériàire de l'orateur chrétien. Le
prix sera une médaille d'or de 3oo fr.
Le nommé Saunier raccolait les passants sur"
la voie publique, rue de Rainbuteau, et les invitait
b monter chez lui pour y apprendre leurs destinées
futures. Malheureusement pour lui, Saunier adressa
ses propositions a deux agents qui s'empressèrent
de le suivre h son domicile. Quand ils eurent gravi
ciuq étages, ils trouvèrent au fond d'un corridor
une porte au-dessus de laquelle était une plaque
contenant ces mots Saunier, cartomancien, suc
cesseur du célèbre Moreau.
Les visiteurs furent introduits dans une pièce
obscure d'où s'exhalait une odeur insupportable.
La cause de ces émanations leur fut révélée bientôt
par la présence d'une deini-douzaine de chats-
huanls, dont les yeux phosphorescents luisaient
dans les ténèbres. Ces lugubres oiseaux vinrent se
poser en cercle sur la table près de laquelle la
Décromant avait asseoir ses gens. Au milieu de la
table figurait un cercle de métal, h l'intérieur dn-
quel étaient gravés les caractères de l'alphabet. Un
fil noir descendant du plafond et terminé par une
boulé de verre remplie de mercure tombait au roi-
lieu du cercle. La boule, mise en mouvement par
le consultant, allait frapper les lettres tracées sur le
cuivre, et ces lettres recueillies et interprétées par
le magicien formaient l'oracle demandé.
Satisfaits des heureuses destinées qui venaient
de leur être prédites, les agents payèrent le prix
de la consultation et se retirèrent; mais bientôt ils
revinrent accompagnés du commissaire de police,
qui saisit les hiboux, le cercle de enivre, des cartes,
des tarots et une baguette divinatoire en racine de
coudrier. Pourquoi Saunier ne s'était-il pas prédit
lui-même sa mésaventure
La petite commune de Troussencourt (Oise)
vient d'être le théâtre de scènes horribles, hideuses
et menaçantes, produites par une triste victime de
la rage.
Le nommé Lépine, fils, âgé de 26 ans, garde-
bois sur les propriétés de M. de Laval Montmo-
reucy, reçoit chez lui, vers la mi-juin, un joli chien
de chasse, pensant faire une bonne trouvaille. Ce
chien était hydrophobe. Aux caresses que lui donne
son nouveau maître, il répond par une morsure.
Lépine le chasse, et, sans pourtant trop s'épou
vanter de sa blessure, fait le nécessaire pour arriver
une prompte guérison. La plaie est cautérisée; et
quelques semaines après, elle ne présente qu'une
légère trace rougeâtre, mais deux mois plus tard,
lorsqu'il ne restait plus dans l'esprit de Lépine que
de vagues craintes, il sent dans tout son corps une
révolution et un changement complets; la décom
position était opérée, l'hydrophobie avait fait ir
ruption, mal épouvantable et sans remède.
Lépineavec son reste de raisonet sentant le
mal dominer son être, prévient sa famille et ses
voisins: on le lie, on l'attache avec des cordes.
Dans le plus grand paroxisme de sa rage, il rompt
cordes et liens, et parcourt comme un furieux
plusieurs rues, paraissant chercher une victime,
mais heureusement personne n'est a sa portée. Tout
le village en émoi, poussé par la frayeur échappe
ses regards. A cette première crise succède le
calme. L'infortuné Lépine, pleurant sur sa funeste
et pitoyable position, demande lui-même qu'on le
garotte, non plus avec des cordes, mais avec des
chaînes pour ne pas laisser avec lui les tristes fruits
de sa mortelle maladie. Les accès de rage augmen
tent pendant une nuit et un jour, et vendredi der
nier il expire dans les tourments les plus cruels de
la fureur. Il laisse après lui une femme et 3 enfants.
Le Journal de Rome du 29 août publie deux
notifications; la première, émanée du ministère des
finances, annonce l'émission des ceriificats de cré
dit sur le trésor public pour la somme en capital de
cinq millions d'e'cus, portant intérêt 5 p. c., afin
de distraire promptement de la circulation la ma
jeure partie du papier monnaie. L'autre notification
émane de la commission spéciale pour l'amortisse
ment du papier-monnaie contenant le règlement
qui doit être observé au sujet de l'émission de ces
certificats.
Arrivé a Bologne le 3o août, Mgr. Wiseman,
vicaire apostolique de Londres, est parti de cette
ville le 3i pour Rome. Le grand-duc de Toscane
a passé Bologne le 3o. Les journaux de Florence
annoncent qu'il est arrivé dans cette ville, avec
toute sa famille, dans la matinée du 3i août.
On a vu dans une des dernières correspon
dances de Rome, que les démocrates de cette ville,
qui se servent aussi volontiers de la torche que du
poignard, avaient mis le feu a la demeure d'un
notaire, dans l'espoir que les litres de propriété
qui s'y trouvaient deviendraient la proie des flam
mes. Pour laver leurs frères et amis de ce crime,
certains journaux italiens, reproduits par certains
journaux français, ont imaginé une fable qui met
dans tout son jour leur mauvaise foi, ainsi qu'on
va le voir par la réponse suivante que leur adresse
l'Observalore romano
Nous avons dit comment le feu a été mis
l'office du notaire Pomponi. Ce sont, disent cer
taines gens, les réactionnaires qui ont commis ce
crime, afin de faire disparaître le testament de
Mgr. Corboli Bussi. En ce cas les réactionnaires
sont bien mal avisés, puisque le testament ayant été
publié, toutes les dispositions en sont connues et
qu'il en existe plusieurs copies authentiques.
Voici en quels termes les feuilles révolution
naires ont rapporté une des dispositions de ce tes
tament Je lègue M. Pie'ri la somme de i,5oo
piastres, en reconnaissance des services qu'il m'a
rendus comme secrétaire pendant la mission
officielle que m'avait donnée Sa Sainteté
après la défaite de Charles- Albertafin de
Vengager soutenir l'indépendance ila-
tienne.
Or, voici quels sont les termes du testament,
comme chacun peut aller le vérifier chez le notaire
Pomponi Je laisse b titre de legs, b mon ami le
professeur Julien Piéri, i,5oo écus, c'eSt-b-dire
la tabatière dont me fit don le Roi Charles-Al-
bert, qui je fus envoyé par Sa Sainteté, afin
de concourir la ligue douanière, et 600 écus
sur la cassette de mes épargnes.
Telle est la loyauté et la bonne foi des feuilles
révolutionnaires.
dit le Courrier de Lyon que le Ministre de la
guerre du Piémont, venu b Lyon pour compli
menter le Président de la République française,
avait demandé sou intervention après de la cour de
Roine.
Le comte de Sales, dernier survivant de là
famille du saint évêque de Genève, est mort le 27
août en sa terreb la Rocheprès d'Annecy. Les
obsèques ont eu lien le lendemain. Les cordons du
poêle étaient portés par quatre chevaliers de Saint-
Maurice. Un clergé nombreux et les Capucins du
monastère de la Roche précédaient le corps. Parmi
les congrégations religieuses et les confréries, on
remarquait quatre religieuses du couvent de la
Visitation, d'Annecy, qui, malgré la clôture,
avaient obtenu la permission de venir, au nom de
leur Ordre, rendre un dernier hommage au petit-
neveu de leur fondateur. Mgr. l'Évêque d'Annecy
a fait l'absoute; une foule immense était accourue
de plusieurs lieues b la ronde pour assister aux ob
sèques.
M. le comte de Sales avait été ambassadeur a
Vienne, b Saint-Pétersbourg et b Paris. Il était
décoré du grand collier de l'Annonciade et d'un
grand nombre d'ordres nationaux et étrangers.
«r C'est un fait pleinement confirmé que
S. M. le cardinal Antonelli a adressé aux
diverses puissances des notes énergiques
où il s'attache démontrer qu'il ne s'agit
pas entre Rome et le Piémont d'une affaire
locale et particulière, mais bien des bases
fondamentales du droilinternational com
mun. Il s'agit de savoir si le gouvernement
piémontais peut abolir les concordats entre
leSt-Siégeetla Sardaigne,sans même avoir
pris la peine d'en prévenir le St-Siége. Si
la foi des traités peut être rompue vo
lonté, quelles règles régiront désormais les
rapports réciproques des États? et sur quoi
les Etats divers pourront-ils compter? On
ajoute que le cabinet de l'Elysée a fait d'é
nergiques représentations celui de Turin,
et que Borne espère que ces représenta
tions produiront quelque effet.
Un arrêté du i4 juin, pris par les autorités de
San-Francisco (Californie) au uoin du peuple, in
terdit la construction de maisons en bois ou en
tonte autre matière combustible, ayant plus-de i5
pieds d'élévation au-dessus du solsous peine
d'une amende de quatre cents dollars et de cinq
cents dollars pour chaque récidive.
VAN EENE
Den Nolaris DUFORT, te Ledegliem, zal op
Donderdag i 9"n September i85o, ten dry
ueren namiddagin de herberg de Dry Ko-
ningen, bewoônd doôr Joannes-Aloysius fVai-
gnein, ter plaets van Dadizeele, ten overstaen
van den heer Fredereg ter. bygeslaen door den
lieer Greffier van het kanton van Meenen.
VOLKOMENLYK. TOEWYZEN de Goederen
volgende, te weten
5 Eerste Koopen. Eene HOFSTEDE
bekleed met fVoônhuys, Koeyslal, Schuer en
Ovenbuer, grool 5 hectaren 56 aren 4o cen-
tiaren, te Ghelutve, verre noord des zelfs kerk,