HOFSTEDEN, UITGEROEIDE SÏRUÏffl. TRÈS BEAUX ORMES, GRAZINGEN la aAisiiiLâïJtïmt, POPERINGHE. BOSCH VANJfOUTHULST. 75 PORTIONS SCHOOHE ieitîj 1 IM VAN GRAVE. Section du Spanbroekmolen. 6 GROS FRÊNES ET QUELQUES PEUPLIERS, A VENDRE, de l'arrêt; mais bientôt il a prolesté de nouveau de son innocence et a adressé de violentes apos trophes aux magistrats et aux jurés. Jacqueinard, s'est pourvu en cassation. On lit dans VIndépendant de Douai Un affreux malheur vient de frapper une des familles les plus anciennes et les plus honorables de notre ville, celle de \lme la comtesse de Guerne, et c'est encore un accident de chasse qui est dé plorer. M. Joies de Guerne, qui, il y a six ans, a peine, a épousé M"0 d'Aubers, petite fille d'un de nos an ciens premiers-présidées du Parlement de Flan dres, se trouvait, le jeudi 21 du mois dernier, au château de Sains, chez l'oncle de sa femme, M. Bacon de Sains. Ce jour-l'a, une. partie de chasse avait été organisée, et encore que M. de Guerne eût peu de goût pour ce genre de plaisirs, il y accompagna ses parens et ses amis. Déjà quelques battues avaient eu lieu pendant lesquelles M. de Guerne avait plusieurs fois dé chargé l'arme qu'il portait, lorsqu'une nouvelle occasion de tirer une pièce de gibier s'étant pré sentée, celte arme éclata et lui broya les chaiis de la main gauche. Le fusil avait-il été mal chargé, ou bien, en le posaut sur le sol, de la terre s'est- elle introduite dans le bout du cauon et l'a-t-elle bouché? Ou ne sait; mais c'est saus doute cette dernière cause qu'il faut attribuer l'accident. Quoiqu'il en soit, aux premiers cris du blessé, provoqués par la vive douleur qu'il ressentait, chacun était accouru, et après avoir tout d'abord enveloppé la plaie avec un mouchoir, on avait re gagné le château, où deux heures plus tard le médecin de la famille, appelé de la ville voisine opérait le premier pansement et reudait la sécurité tous en aunonçant que les chairs seules étaient atteintes et qu'il y avait lieu d'espérer une guérison prochaine. Pendant douze jours celte sécurité fut partagée par les deux familles, dont tous les mem bres avaient été successivement visiter le blessé, lorsque dimanche dernier des symptômes alarmans se manifestèrent tout a coup. Le lendemain matin, on s'aperçut avec effroi que la gangrène avait envahi la plaie, et le soir, ses progrès étaient tels, que tout espoir de sauver le malade était perdn. A cette nouvelle si terrible et si inattendue, M°" de Guerne, tous ses fils, sa fille, Mm° de Maingoval et son mari coururent au châ teau de Sains. Mais que pouvaient leurs soins réunis h ceux si touchanssi dévoués que prodiguaient a son époux, son fils, leur frère, sa jeune feinme qui n'a pas voulu le quitter un instant, la famille de M. d'Aubers et celle de M. Bacon, pour conjurer les accideus devant lesquels la science devait s'ar rêter impuissante? Il ne restait plus qu'à pensera Dieu, et M. Jutes de Guerne reçut les derniers sacremens avec la plus grande piété et la plus complète résignation. Dès le mercredi matin, ses souffrances avaient cessé; il remerciait Dieu, et dans la nuit suivante, il rendait tranquillement le dernier soupir au milieu des siens, dont il n'est pas besoin de dire la douleur et le désespoir. M. Jules de Guerne n'avait que 39 ans. A l'époque de son mariage il servait dans un régiment de hussards et c'était un des meilleurs officiers. On lit dans la Province, journal de Limoges: Mercredi dernier, une cérémonie bien belle avait lieu dans la chapelle des Pères Oblats. Pourquoi les feuilles publiques n'ont elles pas plus fréquem ment de tels faits reproduire? Quatre-vingts soldats de la garnison de Limoges, qui depuis longtemps suivaient avec l'attention la plus docile les instrutions de ces bons religieux, approchaient de la Table sacrée; cinquante-un d'entre eux recevaient la confirmation. Mgr Buis- sas, qui officiait, était, nous dit-0d, très émn des pleurs mouillaient ses yeux.- Elles devaient être douces au coeur du prélat,ces larmes; larmes sans doute de reconnaissance vive pour Dieu, qui don nait son Eglise d'aussi délicieuses consolations; larmes aussi d'espoir pour l'avenir de la France! Qu'ils sont, en effet, dignes de respect; qu'ils se ront puissans ces soldats venant apprendre leurs devoirs une aussi sainte école! Quelle formi dable, quelle invincible barrière trouveront en eux les doctrines du brigandage et de l'extermination Une cérémonie extrêmement intéressante vient d'avoir lieu dans les montagnes du Morvan, sur la paroisse de Sainl-Léger-du-Fourcheret (Yonne). Une petite colonie de nouveaux enfants de saint Benoît, établie depuis quelques temps au milieu des bois, sur un terrain dû la munificence de M. de Chastellux, après un essai de la vie la plus austère et la plus laborieuse, s'est définitive ment consacrée Dieu en revêtant l'habit monas tique. Les autorités municipales, les gardes na tionales, l'affluence empressée des populations voisines venant témoigner leur sympathie la concrégatiou naissante, ont donné un grand éclat cette solennité, qui a laissé dans le pays une pro fonde et religieuse impression. OPEINBAER TE VERPACHTEN te 1 o 1 VRYDAG S"" JANUARY i85i, ten 2 uren na middagin d'herberg het Groot S1 Jooris op de Groote Markt te Poperinghe, zal er door het arnbt van M1" GHELEIN, Notaris residee rende tôt 't zelve Poperinghe, worden overgegaen lot de OPENBAERÈ VERPACHTING voor negen naer een volgende jaren, van schoone HOFSTEDEN, GRAZINGEN en ZAEILANDEN, toebehoorende de Borgerlyke Gasthuizen der stad Poperinghe; gelegen tôt 't gemelde Pope ringhe fVatvu Proven en Uaringheby de uitgegeven plakbrieven verdeelt in 35 loten. De voorwaerden dezer Verpachling berusten ten kantoore van den bovengenaemden Notaris GHELEIN. (1) Elk zegge het voorts. Studie van den v NOTARIS VANDENBOOGAERDE, Resideerende te Poperinghe. MAENDAG 25on DECEMBER i85o, ten 11 ueren voor middag precies te beginnen, op de Vettevveide toebehoorendeaen Mr Vanalleynes- Schockeel, huidevetter te Yperen, gelegen tôt het zelve Yperen, op 1 kilométré afstand van de stad, langs de Meenen calchiede, by d'herberg het Smiske, en digt agter het kasteel van Mr Malou, op 200 meters der zelve calchiede, zal den Notaris VANDENBOOGAERDE resideerende biunen de stad Poperinghe, door het ininisterie van bevoegden ambtenaer, openbaerlyk verkoopen, 90 allerschoonste koopen BOOMEN, bestaende namentlyk in Abeelen,Iepen, Esschen, waer onder verscheide Abeelen van 2 3 meters dikte, dienstig voor aile slag van vvetken. Deze venditie zal gebeuren met langen tyd vau betaeling inits goede borge te stellen en de bespreken comptant te be- taelen in handen van den voornoemdeu Notaris VANDENBOOGAERDE. (4) MIN1STERIE VAN FINANTIEN. dur RÉGISTRATIE, DOME1NEN EN BOSSCHEN. jDircctie nati tDfôtnlaenîierfn. van WOENSDAG 18'0 DÉCEMBER i85o, ten 10 uren voor middag men zal beginnen op de Melaene onder Merckein regenoten den bosch van d'heer Dekoninck, vau daer op de Oostaverne langst de Oroene dreef; van daer onder Clercken 00k langst de Groene en de Melaene dreeve, 00k op den Zanddam om te eindigen in de Braembeeke langst de groote sperreo. Den DONDERDAG tg"1 DÉCEMBER 00k ten io uren voor middag, men zal beginnen langst de Via dreef onder Zarren, van daer op Schraveus Eeke; en op den middag van den zelven dag men zal verkoopen langst de Hooge' dreef en langst de Perde dreef, na by het Meunenken. De boschwagters zullen de koopen aen de lief— hebbers aentoonen. De verkooping zal geschieden met gereedt geld, met tien per cent verhoog van den principaelen koopprys voor al onkosten. ÏPERES, U Décember 4 85*. De Inspecteur der fVateren en Bosschen in de tivee Flaenderen Vu et approuvé par le Directeur de l'Enrégistrement, des Domaines et des Forêts dans la province de la Flandre occidentale, soussigné A BIU1GE8, le It Décembre ISS*. (t) VERDESSEN. COMMUNES de WULVERGHEM ET WYTSCHAETE, Sur les fermes occupées par Jacques Heugiie- baert et Albert Joye, un kilomètre de la nouvelle route de Neuve-Église Ypres, de dont une dixaine a fines feuilles, Le LUNDI 3o DÉCEMBRE i85o, dix heures du matin, avec long crédit, pourvu d'établir bonne caution. Cette vente commencera sur une pâture près de la ferme occupée par Heughebaert; Le Notaire VERMEERSCH Neuve-Église en est chargé. (1)

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Le Propagateur (1818-1871) | 1850 | | pagina 3