HUIZEN EN ERVEN,
CABARÊT
EENE Itl /.I lTi: RENTE,
B0SCHTAILLIE,
227 PLA.N TSO EN EN 5
Instel 2,050 francs.
2*n Koop. Een HUIS en ERVE, aen den
noordkaut van de Nieuwe-Houtmarkl, n° 33;
gebruikt door den heer Vanderveken, aen
2i5 francs 's jaers, boven de belastingen.
Instel 4,470 francs.
3°n Koop. Een HUIS en ERVE, aen den
oostkant van de S'-Jacobs-straet, n° 35 gebruikt
door Félix De Clein en anderete zamen mits
58 francs 75 centimen par trimester.
Instel 4,035 francs.
4" Koop. Eindelinge eene RENTE van
1,602 francs 65 centimen in capiiael, aen den
interest van 4 p. °j0 's jaers, mils betalende binneu
de maend na den valdag, ten laste van Constan-
Instel 1,100 francs.
(i) Mise prix 8,550 francs.
VERKOOPING
UN TRÈS-BEAU
FONDS-BATI ET JARDIN POTAGER,
chacun une boîte en fer-blanc. Une de ces boîtes
fût immédiatement ouverte; elle contenait un demi-
kilog. de poudre de chasse. Un autre panier a été
également saisi en ville. Ces deux chargements
contenaient 25 kilog. de poudre.
11 y a déjà eu plusieurs expéditions de fromage
de semblable nature, dirigées sur les environs de
Cbarleville.
Les personnes qui ont pris part h cette fraude
ont été immédiatement arrêtées et mises h la dispo
sition du procureur de la République.
Si le hasard n'avait pas fait découvrir ce moyen
de fraude, on eût pu faire passer 6 700 kilog. de
poudre d'une seule fois. Écho de Valenciennes.)
On lit dans le Lorientais, du 25
Jeanne Jugan est ici! Jeanne Jugan, la sainte
fille, qui, ne possédant rien que la confiance en
Dieu, a pu fonder h Saint-Servan une véritable
maison d'asile pour les pauvres abandonnés.
Il y a douze ans peineJeanne Jugan était
servante dans une maison où,depuis plusieurs an
nées, elle était a l'école des bonnes œuvres. Sa
maîtresse vint h mourir. Jeanne Jugan, pauvre
elle-même, s'adonne aux soins des pauvres, elle n'a
qu'une petite maison, sa maison servira d'abri
un, deux, trois vieillards infirmes.
Il s'en présente de nouveaux la petite maison
est comble, il en faut une plus grande, Jeanne la
loue. Au bout de quelque temps, celle-ci devient
trop petite comme la première. Des personnes
charitables de la ville en achètent une plus grande
encore et la donnent h Jeanne. Peu de temps après,
soixante-cinq malheureux y trouvent un abri. La
maison s'emplit, s'emplit toujours, et Jeanne
trouve moyen de loger, de coucher, de vêtir et
de nourrir tout son moude
Où sont donc ses richesses Elle n'en a pas
Elle demande et on lui donne. Elle va chercher
les restes des maisons riches, la part du pauvre que
lui réserve la marchande de légumes, la part du
pauvre que lui réservent le boucher, le boulan
ger.... Elle porte toujours un panier a son bras, son
panier est toujours plein lorsqu'elle rentre dans sa
maison bénie de Dieu.
Aujourd'hui Jeanne Jugan a fondé onze mai
sons, tant Paris qu'ailleurs. Ces. maisons sont
desservies par des religieuses qui ont pris le nom
de petites sœurs des pauvres et Jeanne Jugan
demande toujours, elle demande pour soutenir ses
maisons, pour en fonder de nouvelles, Jeanne
Jugan vous demandera votre obole, bienveillant
lecteur, mettez quelque chose dans son panier
Le Mémorial des Pyrénées, du 24, publie
l'article suivant, qu'il emprunte au Bagnèrais
La commune de Gerde, voisine de la nôtre, a
été, vendredi dernier, le théâtre d'un événement
étrange, et qui semble appartenir h un siècle et
surtout k une époque bien éloignés des nôtres.
Il existe, a quelque distance du village de
Gerde, sur le flanc de la colline qui ferme la vallée,
une grange isolée, dont le propriétaire habite notre
ville. A portée de vastes et riches pâturages, elle
donne'abri, la nuit, de nombreux bestiaux et
un fermier qui en a la garde. Ces bestiaux venaient
d'y entrer vendredi dernier, et la nuit arrivait k
grands pas, lorsque le fermier, qui préparait son
frugal repas, vit tout a coup sur le seuil de la porte,
qu'il avait laissée entr'ouverte, quatre hommes qui
entrèrent sans lui en demander la permission et
sans en dire le motif. Ils étaient tous les quatre
jeunes, robustes, et paraissaient déterminés; vêtus
presque uniformément d'un pantalon et d'une veste
de gros drap de couleur brune, coiffés d'un cha
peau noir large bord, armés d'un fusil k double
canon tout cela, loin de prévenir en leur faveur,
leur donnait plutôj l'aspect de brigands.
Le fermier, remis de l'étonnement où l'avait
mis cette apparitiou soudaine, demande aux visi
teurs suspects, ce qu'ils veulent. Ce que nous
voulons répondit l'un d'eux va dire a ton maître
que nous lui donnons trois jours pour qu'il nous
apporte ici la moitié de sa fortune. Nous sommes
les délégués de la grande bande composée de plus
de cinq cents hommes aussi braves, aussi résolus
que nous. Rien ne lui résiste. Si tu nous trahis et
que ton maître ne s'exécute pas, cous jurons que
toi et lui serez avant peu pendus k un chêne. Le
bandit accompagna cette menace d'un horrible
blasphème, et s'approchant du fermier plus mort
que vif, pendant que ses trois compagnons l'entou
raient, il le saisit d'une main au collet comme avec
une pince de fer, et le souleva de quelques pouces
au-dessus de terre. En cherchant k se retenir, celui-
ci avait saisi la veste de l'un d'eux. Ce mouvement
lui fit voir Une énorme poche en cuir, garnie de
pistolets et de poignards. Cette vue lui fit presque
perdre connaissance. Lorsqu'il revint a lui, l'hor
rible vision avait disparu. Un peu remis de sa
frayeur, cet homme est allé raconter ce fait d'a
bord k son maître, puis k la justice, qui se livre aux
plus actives recherches.
ÉTAT-CIVIL DE LA VILLE D'ÏPRES
Du *a Janvier au X" Février Inclus.
NAISSANCES.
5 Du sexe masculin, i
or, ciTotal, i3.
8 Du sexe lemiuiu,
Un mort-né du sexe masculin.
DÉCÈS.
1. Gillot, Clémence-Horteuse, âgée de 17 ans, dentellière,
S> Nicolas lez Y près.
2. Rits, Pi udence-Hortense, âgée de 17 ans 6 mois, sans pro
fession, rue de l'Espleuade.
3. DekeukelaereCharles-Louis, âgé de 33 ans, soldat, com
pagnie de réserve du 5°" reg' d'infanterie, célibataire, rue
des boucliers.
4. Tauoié, Virginie-Amélie, âgée de i5 ans, dentellière,
Plaiue d'amour.
5. VanOutrive Liévin-Fraoçois, âgé de 58 ans, ouré de la
paroisse S> Nicolas, rue au Beurre.
6. Ellebout, Aune-Thérèse, âgée de 60 ans, journalière,
épouse de Pierre-Victor Jaugea, rue de Meuin.
7. Gonders de Beauregard, Éliennc-Jacques, âgé de 44 ans>
journalier, époux d'Amelie-Françoise Grimmolprez, rue
de Lille.
ENFANTS AU-DESSOUS DE 7 ANS.
Masculin 4 ToUl...
reuiimii. 7
SCHOONE
jsiïtïtâïr
MITSGADERS
OPENBAERLYK TE KOOPEN.
ien Koop. Een HUIS en ERVE, aen den
ooordkant van de Recollettestraet, n° 9; laest be-
woond door den heer deurwaerder Casier.
tinus Candeel-Latour, binnen Ypre, en bezet,
in eersien rang, op zyn Huis en Erve, aldaer
gelegen, in de Kaeystraet.
Den ABSOLUTEN OVERSLAG zal ge-
beuren binnen de stad Ypre, in de estaminet
Parnassus-Hof, op de Lentemarkt, Woknsdag,
5tn February i85i om 5 uren 's avonds, in-
gevolge de voorwaerden, berustende ten kantoore
van den Notaris VANDERMEERSCH, le Ypre.
lh VI EM M
1 hectare 90 ares g4 centiares de PRAIRIE,
ière qualité, dite emplacement du Château,
centre de l'ancienne Seigneurie de Caneghem,
située contre la Place de Westoutre; dont le
rapport moyen net, des 3 dernières années, s'é
lève h 4 10 francs.
ADJUDICATIONPlace de Westoutre, le
12 FÉVRIER i85i, 2 heures de relevée.
M. Vanhouver-Salon, k Westoutre, est ré
gisseur de cette Prairie.
van
met i ù1
Staende op eene partie Bosch groot 1 h. 75 a.
18 C., gelegen te Brielen, wat noord-oost van de
kerke, by het hofstedeken gebruikt door Julianus
Logie.
Deze verkooping zal gebeuren binnen de stad
Ypre, in de Estaminet den Olifant, in de Dix-
niudstraet, ZATURDAG 8 FEBRUARY i85j,
om 1 uer namiddag. (1)
et
s1tcés
AU HAMEAD LE PONT-ROUGE,
A VENDRE PAR LICITATION,
Avec Gain de Mlae-A-prlx d'un 1 jt p. °j0.
En vertu de l'octroi du Tribunal d'Ypres, de
l'intervention de M* le Juge de paix compétent,
on vendra les Biens suivants, savoir:
1" Lot. Une très belle MAISON k usage
de Cabarêt, portant pour enseigne le Damier,
consistant en Place d'estaminet, Place k manger et
Cuisine, très-belle Cave, Voûte, Pompe et autres
commodités, érigés sur 3 ares 19 centiares de
Fonds et Jardin, située k Warnêton, Pont-Rouge,
tenant du levant la grand'route de Lille, du midi
la maison et jardin occupés par Leplat, de couchant
la terre de M. Delafonteyne et de nord la maison
de la veuve Castelain.
Le dit Fonds tenu en arrentement jusqu'au
1" octobre 1860 de M. Delajonleyne de Lille, k
7 francs par an, outre les contributions.
Les dits Biens sont tenus en bail par M. Du-
mortier, brasseur k Coinines et occupés en sous-
bail par Henri De/motte.
Et 2» Lot. Un FONDS-BATI et JARDIN
POTAGER, contenant d'après titre, 8 ares 72
centiares et selon cadastre 12 ares 3o centiares,
situés k Warnêton, au Pont-Rouge, tenant du le
vant aux enfants Cattelain, du midi k la Lys, du
couchant k la tête du Pont et de nord aux dits
Cattelain.
Occupés par Fleurice Philippo, k qui, la Mai
son y existant appartient, avec droit de bail jus
qu'au icr octobre i858, k 5o francs l'an et les