W 3 Kantoor van den Notaris VAN EECEE, te YpER. OOSTVLETEREN. z m g CC - S ce o a te z z ce z ce o tfi -e ce S S fi fi ce I - S Q- •8'rS a .2 g s s fi .2 fi fi a S o .2 .2 s fi 1 fi fi .fi s s* i 3 g I E Studie van den Notaris LAMBIN, TE YPREN. OVERSLAG, FRANCE. On lit dans l'Union du 19 mars En rapportant dans notre numéro d'hier les circonstances de la tentative de meurtre dont a été victime, dans la soirée de dimanche dernier, la dameS..., marchande de vins, nous mentionnions que l'auteur présumé de ce crimeaprès avoir passé la nuit dans le logement de sa mère, en avait disparu avant le jour, mais que les mesures prises pour assurer son arrestation étaient si bien prises que, selon toute probabilité, la journée ne s'écou lerait pas sans qu'elje fiât opérée. En effet, lundi dans la soirée, Étienne T... a été arrêté par des agens du service de sûreté, au moment où il venait s'enquérir de l'état de sa victime près d'une personne liée avec les époux S..., et qu'il savait s'être rendue dans la matinée près de la malade a son domicile, rue de Rivoli. Étienne T.,. est un jeune homme de vingt-six ans, de très petit taille (un mètre et demi tout au plus); il est originaire du département de la Meur- the et n'est que depuis peu de temps Paris, où dès son arrivée il est entré au service des époux S... en qualité de garçon marchand de vins. D'après ses déclarations faites a M. Dourlans, commissaire de police de la section Mazarine, devant lequel il a été d'abord conduit, son intention ainsi qu'il l'avait annoncé a sa victimeétait de se suicider; mais le courage lui a manqué pour se précipiter h la Seine, et il n'avait pas d'arme ni d'argent pour en acheter et mettre fin h ses jours eu se brû lant la cervelle. 11 ne peut, du reste, expliquer les motifs qui l'out porté attenter la vie de la dame S... C'est un moment de folie dit-il; il ne peut se rendre compte de ce qui s'est passé en lui; mais il en éprouve un vif repentir. On lit dans 1 e, Journal de la Nièvre, arrivé, le 19 au malin Au moment de mettre sons presse, non» ap prenons que l'ordre aurait été gravement troublé h Saint-Amand-eu-Puisaye samedi dernier, jour des opérations du tirage au sort des jeunes gens de la classe de i85o. Voici comment les choses se se raient passées M. le maire avait remarqué, depuis plusieurs jours une agitation peu ordinaire dans la popula tion. Il était informé que les socialistes de l'endroit avaient formé le projet de faire du scandale le jour du tirage, par les moyens en usage parmi ces messieurs, c'est a dire promenades bruyantes, chants soi-disant patriotiques, etc., qui ont partout le privilège de jeter l'inquiétude et le désordre. M. le maire avait donc pris un arrêté pour in terdire toute manifestation bruyante. Au mépris de cet arrêtéune manifestation pacifiquec'est le terme a la mode, aurait été organisée. Une troupe d'individus, précédés d'emblèmes séditieux, tels que niveaux égalitaires, devises tirées des doctrines plus ou moins socialistes, aurait parcouru la ville, hurlant la Marseillaise et vociférant toute espèce de cris. M. le maire, contre lequel la colère des grou pes paraissait être dirigée, aurait été contraint de se retirer chez lui et de s'y barricader pour résister a l'irruption des gens qui voulaient violer son do micile. Des arreslations auraient d'abord élé faites, mais l'autorité et la force publique auraient été outrageusement méconnus et les prisonniers dé livrés. M. le préfet, accompagné d'un peloton de chasseurs, est parti le 18 au matin pour Cosne, de là il doit se rendre Saint-Amand. Nous ne dou tons pas que la force ne reste bientôt la loi, si déjà tout n'est rentré dans l'ordre. L'arrondissement de Cosne a sur les autres arrondissemens le triste avantage d'être sans cesse travaillé par l'esprit de rébellion, qui se traduit souvent en émeutes et en scènes scandaleuses de tous genres. C'est ainsi qu'il y a peu de jours la ville de Cosne offrait le hideux spectacle d'une mascarade dégoûtante, mettant en scène le chef de l'État, auquel on faisait subir les insultes les plus ignominieuses, scènes qui se seraient prolongées toute la journée, si, dès l'origine de cette sale or gie, l'autorité n'avait fait arrêter les principaux acteurs de la mascarade. Vers la fin du mois de janvier dernier, les journaux rapportèrent qu'une jeune fille d'une beauté remarquable, vêtue avec une certaine re cherche, mais dont les traits et la démarche an nonçaient la folie, avait été rencontrée dans la rue des Martyrs. Un homme honorable habitant ce quartier, M. Laville, avait soustrait cette infor tunée l'indiscrète curiosité de quelques jeunes gens, et, l'ayant amenée dans sou domicile, l'avait confiée sa femme, qui lui avait prodigué lessbins les plus empressés. A toutes les interrogations sur son nom et sur sa famille, la folle était restée muette. Elle s'était placée un bureau et s'était mise composer et écrire des vers qui trahissaient une brûlante pas sion, cause probable de sa démence. Quelques jours plus tard, M. Leville écrivait au journal le Constitutionnel, qui avait raconté les détails de ce fait, une lettre annonçant que la jeune fille recueillie par loi était morte. Une seule fois, dans l'espace de soixante-douze heures, elle avait couseu 1 i prendre de la nourriture. Les efforts de la science avaient élé impuissans pour triompher de sa résolution, et après deux heures d'affreuses convulsions elle avait succombé en pro nonçant le nom de Robert. La seule indication recueillie sur son indivi dualité était la marque de son linge formée des initiales E. B. Nous sommes en mesure de donner aujourd'hui de nouveaux détails qui complètent cette touchante et dramatique histoire. Emilie B..., fille d'un riche maître de forges de Belgique, devait, par ordre de sou père, épouser le fils d'un brasseur de Louvain, dont la fortune répondait la sienne. Mais déjà la jeune fille avait disposée de ses affections. L'objet de son amour était un jeune homme nommé Robert D..., la fois écrivain et peintre, mais peu favorisé sous le rapport de la richesse. Emilie s'occupait elle- même de littérature. Elle était d'un esprit exalté et d'un caractère romanesque; elle passait une grande partie de son temps écrire. Quand son père, dont elle connaissait l'inflexible fermeté, lui signifia qu'elle devait renoncer ses idées de roman pour épouser, dans un court délai, le fils du brasseur, elle fit part au jeune artiste de cette fatale injonction. Ils cherchèrent ensemble le moyen de l'éluder. Emilie n'en trouvait pas d'autre qu'un double suicide. Robert, auquel venait de surgir une autre pensée, la pria d'attendre encore avant de mettre exécution ce funeste projet. Le soir même qui suivit la confidence qu'il avait reçue, il se dirigea vers un estaminet où il savait qu'il rencontrerait le fils du brasseur. Une que relle éclata entre les jeunes gens. Un soufflet reçu par l'un d'eux fut suivi d'un duel, qui eut lieu, et dans lequel Robert fut tué d'un coup d'épée reçu en pleine poitrine. Le lendemain de cet événement, Emilie D... dis paraissait du domicile paternel, en emportant ses bijoux et une petite somme d'argent. Toutes les recherches faites en Belgique pour la découvrir restèrent sans résultat. Quand le fait d'une jeune fille folle trouvée dans la rue des Martyrs et la lettre de M. Laville qui lui succéda, passèrent sous les yeux de M. B... dans un journal de Paris qu'il recevait, il lui sem bla que le sigualeinent et les indications données s'appliquaieut sa fille. Il prit aussitôt la route de Paris et parvint connaître la demeure de M. Laville; celui-ci lui montra les effets et les vers laissés par la folle. Tous les doutes de M. B... tombèrent, des larmes douloureuses s'échappèrent de ses yeux, il parut en proie au plus profond chagrin, s'accusant d'a voir causé la mort de sou enfant. Il fit voir M. Laville une lettre touchante qu'Emilie avait laissée avant de partir, ainsi que des poésies qui révélaient dans cette jeune fille un véritable talent. Malgré les instances de l'homme généreux qui avait recueilli sa fille, et quoique assez gravement malade par suite d'aussi cruelles émotions, M. B... a voulu repartir immédiatement pour la Belgique. [Gazette des Tribunaux de Paris.) OVERSLAG op Ie11 APRIL i85i, ora 2 ueren namiddag in het Zwêerd te Yper van: 1® Eene partie BOSCH te Gheluwe, groot 85 a. 90 c. Staet op 660 francs. 2°Éene partie PLANTSOEN BOSCH te Woesten, groot 2 H. 82 A. 20 c. Staet op 3,050 francs. 5® 1 H. 4i A. 4o c. ZAEYLAND en GRAS te Zonnebeke, by den Verlooren hoek. Staet op 2,500 francs. 4° 5i A. 5o c. LAND te Meessen, gebruykt door Romanus Deconinck. Staet op 1,200 francs. 5® 1 H. 79 A. 20 c. GRAS en LAND, ge bruykt door Pieter Ameloot. Staet op 4,480 francs. 6®1 tr. 07 A. 80 c., twee partien ZAEY LAND, gebruikt door Joseph Riem. Staet op 1,800 francs. 7®82 A. 60 c. ZAEYLAND, gebruykt door Jean But. Staet op 1,800 francs. Elit tegge het voortw. m u S —H e o te a .2 2 - H S W B sa e m m 9 B B x s Q C/3 te Q ce ce tfi S z o «e c- S O ce a. S co "O 2 te g- te I 3 1 *0 a 3 -2 v C3 -O .(T> M X 2 fi o S S Q. Q, fi *0 es 2 .CS _r 3 o O 3 a va> v E :2 'x s -o 3 «C T3 S fi .es ,vfi fi en 613 2 S" w B a O 3 u u «3 rt es 3 O en o s- cu en S* A g S -s 0) fi en 3 X S g ej o J S 1 <r> O u S <D O «2 O» i* J eC3 «B o •- 22 S z en B - cT 3 es w cr 3* a g ût *"3 es o -O fi "3 c -o 2 es (-5 S - V fi fi TD S fi Jfi fi O Sa» 7* 3 X 3 8 .«5 'fi fi 3 tl s o o a sfi 10 2 .Os C en o s-1 O a. a* 3 H I S fi J2 S Z s a. i 3 o h a 0 s 3 -o 0 fi en o 613 es 3 0 a go ci O w 73 a C3 O o C3 en fc- 3 (D H en H 3 Een schoon groot HUYS en ERVE met ACH- TERHUYSJE komende in het Marolle straetje en Koetspoort komende in het Gouden Konin straetje; staende en gelegen te Ypreu aen de noordzyde van de Lombaert straete N° 26. Het groot Huys is laetst gebruykt gerveest door Juf. de weduwe Walwein; het kleen Huysje is gebruykt door de weduwe Pieter Coester, 6 francs te maende. Maer ingesteld m masse, fr. 11,000 00. WOENSDAG, 26enMAERTE i85i,ten 5 uren naer middag in de estaminet den Salon d'A pollon Lombaert straete, te Ypren. (2)

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1851 | | pagina 3