HUYS EN ERVE OVERSLÀG. FRANCE. Paris, le i7 août. ANGLETERRE. Londres, le 16 août. ALLEMAGNE. Francfort, 11 août. ETATS-UNIS. PATRIMONIEEL GELEGEN TER QEMEENTE CLERCKEN, OPENBAERLYK TE KOOPEN met gewin van eene premie van l/2 0/0 voor hoogsten instel. GEMEENTE YAN CLERCKEN. Eenigen Koop. Masse van de twee koopen maer ingestetd 3,000 francs. géant son argent. La pauvre femme très-effrayée, appela son domestique, qui dormait au grenier, mais celui-ci ne parut point. On lui imposait si lence sous peine de mort cependant elle ne vou lait point se taire. Alors un des bandits cria de la frapper h celui qui la menaçait, et en effet, elle reçut un coup si violent a la figure, qu'elle tomba sans connais sance; le sang jaillit sur ses vêtements et sur le berceau d'un enfant, placé près de son lit. Pendant qu'un des brigands maintenait la servants dans le lit qu'ellç occupait près de celui de sa maîtresse, un autre pillait le coffre renfermant le linge et l'argenU Les malfaiteurs ont mis plus d'une heure a per pétrer leur crime. Le lendemain on a trouvé la majeure partie du linge volé dans un champ de seigle nop loin dq la maison. L'argent et les ha billements enlevés avaient seuls disparu. Les magistrats instructeurs de Turnhout ont dû faire, de concert avec Ieu,rs collègues de Malices et de Louvain, diverses descentes de lieux. Elles ont amené l'arrestation de plusieurs individus, parmi lesquels la veuve Yan Noten a, dit-on, po sitivement reconnu le principal auteur. C'est un ancien repris de justice. Par décret du président de la République, en date <ïu 8 août, la garde nationale de S' Ceré (Lot), est dissoute. On écrit de Dijon, le 10 août Ûne scène de désordre a eu lieu dans la commune de Daix, le iq de ce mois, jour de la fête patronale. Dix mau vais sujets de Dijon s'étaient rendus 'a celte fête avec l'intèntion de faire du scandale, et ne l'ont que tit>p exécutée. Le garde'champêtre de Daix a été fort tfialtraité. A l'arrivée des jeunes gens du pays, les perturbateurs se sont enfuis et sont restés inéon'ous; t Un grand nombre de personnages apparte nant k la haute administration se préparent k as sister k l'inauguration du chemin de fer de Nantes. Uh premier convoi est parti hier au matin k huit heures; Aujourd'hui, k six heures x5 minutes du matin; M. le ministre des travaux publics et quel- ques-uus de sescollègues partiront également pour Nantes. Nous lisons dans le Journal de Chartres, sous la signature de M. Lequien. L'un des chefs du parti démagogique dans le département d'Eure-et-Loir, le sieur Lambert, de Bron, correspondant du Glaneur, vient d'être condamné par le tribunal correctionnel de Châ- teaudun, k .un an de prison et 5o fr. d'amende, pour escroquerie et abus de confiance. On lit dans le Bulletin de Paris: La journée d'hier (Assomption) a fourni aux Anglais qui se trouvent en grand nombre a Paris, un spec tacle édifiant et dont ils ont témoigné une vive sùrprise,: On sait que nos voisins d'outre-Mauche sont fort scrupuleux a l'endroit de l'o.bservance du dimanche et qu'ils considèrent les Français comme fort insouciants des devoirs que l'Église leur im- pose. Ces honorables étrangers ont été fort surpris, hier, lorsque, se présentant pour visiter nos églises, en simples touristes et amateurs des arts, Notre- Dame, la Madeleine, Saint-Sulpice, Saiut-Eusta- che, Saint-Germain, ils les ont trouvées tellement pleines, aux offices du matin, comme k ceux du soir, qu'ils ont été obligés de rester k la porte et de se borner k contempler les frontons des divers édifices. A Paris, la tranquillité est toujours parfaite, et n'étaient les avalanches de manifestes démocra tiques de toutes les couleurs qui remplissent les feuilles ultra-républicaines, les journaux de la grande capitale auraient bien du mal k remplir léurs colonnes. Nous avons reproduit Un fragment de la proclamation d'un nouveau comité intitulé Comité français-espagnol-italien, apparemment, dit un publiciste, parce que aucun Espagnol, aucun Italien, et peut-être aussi peu de Français en font partie. Quoi qu'il en soit ce manifeste a fait, comme ceux qui l'ont précédé, un fiasco complet. M. de Lamennais, qui en est le rédacteur, y a compromis le peu de réputation qui lui restait comme écrivain. Lourd, ténébreux et ridiculement emphatique, ce document n'a pas plus d'idées que de style, et, comme le dit l'Univers, ce n'est que le dernier effort d'une rhétorique éreintée. On ne sait vrai ment plus où s'arrêtera la manie des manifestes. Quelques mauvaises langues assurent qu'on ne pourra y mettre fin qu'en obtenant du citoyen Miot, secrétaire de la commission-Crémieux, la publication de la fameuse circulaire qu'il élabore depuis longtemps pour les peuples de la Cochin- chine. Il est vrai-qu'il restera encore les Osages et les Ilurons. L'Union déclare formellement que l'accord qui régnait entre MM. de Saint-Priest et Berryer, chargés de diriger ,1a droite, depuis les conférences de Wiesbaden, est désormais rompu M. de S'- Priest, dit l'Union, vient de se séparer de la ma jorité de ses collègues et de se déclarer en faveur de la minorité. C'est maintenant k la majorité de s'expliquer sur cette dissidence ainsi déclarée. Et l'Union faisant allusion k une convocation prochaine de la réunion de la rue de Rivoli, dé clare que jusque-là, elle n'a qu'une ligne k suivre, k savoir, de continuer défendre la politique pru dente, sincère,de la majorité, en se conformant k la lettre écrite de Venise k M. Berryer par M. le comte de Chambord. Une famille chinoise, qui a fait directement la route de Canton en Angleterre, pour visiter l'ex position, vient d'arriver k Londres; elle se compose d'un gentlemen chinois de haut rang, nommé Chung-Attaï, de sa femme Ahap, accompagnée de ses deux sœurs, et d'une domestique. Les trois dames possèdent au plus haut degré le véritable signe de distinction des dames du céleste empire, celui des petits pieds. Ces illustres voyageurs avaient espéré arriver k temps pour assister k l'ou verture de l'exposition, mais leur navire a été battu par des vents contraires. La reine leur a adressé une invitation de son château d'Osborne, où ils se rendront dans une couple de jours. Université catholique romaine. Les docteurs Cullen, Foran, Haly et autres membres du comité de l'université catholique romaine, ont tenu une réunion mardi et mercredi. Les secrétaires ont annoncé qu'il avait été reçu 1,000 liv. st. (25,000 fr.) de souscriptions volontaires. Morning- Chronicle.) La reine tiendra le 25, k Osborne, un conseil privé. L'exposition de Londres sera close définiti vement le 11 octobre. Le Times s'élève avec force contre toute réunion de Cuba aux États-Unis. L'intérêt de l'Espagne et ceux de la France de l'Angleterre s'y opposent. 1 Un incendie terrible a éclaté samedi dernier k Richinond. On a eu toutes les peines du monde k se rendre maître du feu et on n'a pu y parvenir qu'à l'aide de secours venus de Londres même. Enfin, k 9 heures, l'élément destructeur était vaincu. On a eu tout le mal possible k préserver l'église catho lique romaine, Nous apprenons qu'à la fin de cè mois le congrès des légitimistes se réunira k Wiesbade. L'arrivée du comte de Chambord et ses fidèles est fixée au 26 de ce mois. Nous extrayons le passage suivant d'une lettre du Père P.-J. Verhaegen, Jésuite belge, résidant a l'Université de Saint-Louis (Missouri, États- Unis), en date du 15 juillet 1851 Dans ma dernière lettre, je vous disais que le Père Christian Hoecken, de notre Compaguie, de vait accompagner le P. Desraet aux Montagnes Rocheuses. Ils partirent d'ici le 7 juin, et après avoir fait k peu près 5oo milles, le choléra éclata a bord du vaisseau qui les portait. L'épidemie em porta en peu de jours treize personnes. Le P. Desmet fut attaqué violemment des premiers symp tômes et recouvra la santé; mais le zélé et excel lent Père Hoecken qui, jour et nuit, soignait les malades et leur donnait tous les secours corporels et spirituels, eD fut atteint, et malheureusement il succomba le 19 juin. Il était âgé de <t3 ans et était né dans le Brabant septentrional. Quelle perte pour les missions des sauvages! Cet homme infa tigable accomplissait l'ouvrage de trois mission naires, et il faisait ce que d'autres n'étaient pas capables de faire; il parlait bien plusieurs langues indiennes. Patience Deus dederat, Deus ab- slu/it. R. I. P. ten dienstf. van BQEM.Ëjft] TOËEtftH Éen WOONHUYS, verdere GEBOUYYEN dienende voor BIERBROUWERYen mede- gaende ERVE en HOVENIER HOF, groot by titel 11' aren 87 centiaren en by cadastre sectie HN° 3oi A, 3oib en 3o2A, maer 9 aren 60 cen tiaren, omringt van ëene Doornbàege, hier mede- gaende, staende en gelegèn te Clercken op het gehuchte dé Çlerchen-Smisseaen de oostzyde van de Slypstraete, palende noord aen het laod vap d'heer Alexander SonDeville en medege- nooten, te Clercken, oost en zuyd aen sieur David Jotickheere, timmerman te Clercken en west aen de gezegde Slypstraete. Gebruykt met regt van pacht tôt den lesteu April 1856 aen 152 francs 38 centimen 'sjaers, boven de çonlributien door d'heer Desorgher aen wien bel Gebouw der Brouwery met Kelders eu Kuypen toebehooren. Den INSTEL zal gebeuren in de hostelry het Zweerd, op de Grooté Markt, te Ypren, Dinsdag, den 2d"n September, i85i, ten 2 uren naer mid- dag, precies. En de FINALE TOEWYZ1NG, ter zelve plaetse en ure, Dinsdag, den 1 §în der zelfde maend. De verkoopvoorwaerden en titelen berusten ten kanlore van den Notaris LAMBIN te Y'pren, Hond- straete, N° 21, belast met deze Verkopping die zal geschiedén ten overstaen van den heer Vrede- regter van het i5" canton der stad Ypren. (1) Elh zegge het voorts. Den Notaris VAN EECKEte Nieuwkerke, zal op DYNSDAG 26"n AUGUSTUS i85i,ten 4 uren nainiddag, in d'herberg genaemt Antwer- pen ter plaets van Dranoutre, overgaen tôt den OUERSLAG, zônder voorder uytstel, van de volgende GOEDEREN ien Koôp. - Een onlangs nieuw HUYS vari twee Stagienmet 10 aren GROND en HOF gelegen ter plaets van Dranoutre. En 2®n Koôp. - 32 aren, o5 centiaren ZAEY- LAND, palende van ooslen aen den voôrgaenden koôp. Gebruykt doôr d'heer Glorie. Handslag met de geldtelling, (i)

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1851 | | pagina 3