HOFSTEDE, YETWEIDEN, FRANCE. Paris, 30 janvier. ANGLETERRE. Londres, 31 janvier. SCHOONE alsmede Elsten, Hovingen mitsgaders EEN HUIS MET ERE, gestaen en gelegen in de gemeenten van Adin- kerke, Veurne seclien Hewesten Beoosler- poortSteenkcrke en de slad Veurne, TE VERKOOPEN. Donderdag 26eu February 1852, om 9 ure 's raorgens te beginnen, ter herberg ge- naemd S* Sebasliaen, bewoond door sieur Franciscus Olleviergestaen binnen de ge- meente van Adinkerke, ter dorpplaets al- daer, zal in eene zitting overgegaen worden tôt de verkooping der volgende Goederen: GEMEENTE VAN ADINKERKE. 5° h. 2-i8-5o ZAEILAND, ten dry percee- len, gebruikt door den voornoemden sieur Guil leman, tôt den laetsten september 18Ô2. GEMEENTE VEURNE, belge du 21 juillet 1844, ne pourra être augmen- tée, ni par la suppression de la déduction de 10 p. c. établie par l'art. 4 de ladite loi, ni par toute autre mesure. La prorogation provisoire du traité du 29 juillet i846 a cessé de produire ses effets le jour de l'échange des ratifications du traité du 20 sep tembre s851 ce dernier est, en conséquence, ap plicable partir du 1" février 1802. Il a été convenu entre les deux gouvernements que la qualité de 7,3g4,ooo kil. de café mentionnée au 4 de l'art. i4 du traité du 20 septembre i85i continuerait, pendant l'année t852 h se répartir dans la proportion établie par l'arrêté royal belge du 26 mars i84g,et qu'avant le 31 décembre i852 un accord interviendrait pour fixer la répartition qui sera appliquée pendant la durée ultérieure du traité. Certifié par le secrétaire général du minis tère des affaires étrangères. C. Materne. 1 Le Courrier de la Gironde du 27 janvier donne les détails suivants sur les effets du tremblement de terre Bordeaux et dans la Gironde Il est difficile de se faire une idée de la surprise mêlée d'épouvante qu'a excitée h Bordeaux cette secousse inexplicable pour le plus grand nombre, qui est venue se produire ainsi inopinément au milieu de la nuit. Le sentiment général a été celui de quelqu'un qui se sentirait dauser dans son lit plusieurs per sonnes out cru que des voleurs, cachés sous leur couchette, attendaient le moment favorable pour opérer un coup de main; elles se sont levées dans cette pensée, se sont armées du premier objet venu, et se sont escrimées dans le vide coutre le prétendu malfaiteur; un plus grand nombre ont mis la tête h la croisée, en demandant de quoi il s'agissait. Dans le poste de la garde municipale, les fusils se sont mis h s'agiter dans le râtelier avec un bruit tel que quelques muuicipaux se sont levés en croyant qu'on pillait le corps de garde. Le factionuaire de service, au moment de la secousse, a la porte de l'hôtel du général en chef, s'est lâché contre les mauvais plaisantsqui, disait il, le faisaient danser dans sa guérite et essayaient de la renverser. La commotion a aussi donné lieu des acci dents plus graves. A peu de distance de la barrière, la diligence de Toulouse, qui arrivait Bordeaux, a été ébranlée par les vibrations du sol les chevaux, effrayés, se sont emportés, et la voiture a été ren versée; les voyageurs en ont heureusement été quittes pour quelques contusions. M. Souquet de la Tour, curé de Saint-Tho mas d'Aquin, a légué en mourant une somme con sidérable pour étabfir dans sa paroisse une grande école de frères de la doctrine chrétienne. En exé cution de ce legs, les exécuteurs testamentaires font terminer, en ce moment, un vaste édifice de 5o mètres de développement, rue de Grenelle- Saint-Germain. Cette école pourra loger 3oo 4oo enfants. On lit dans la Liberté de Lille du 28 janvier Par arrêté du préfet du Nord, la Société de l'Humanité, établie Lille pour le commerce de la boucherie, est dissoute. Les scellés ont été apposés hier au siège principal de cette association rue du Priez. Ils seront également apposés sur la maison de la rue de la Monnaie et sur celle située Wa- zeratnes, qui sont aussi occupées par celte Société, aussitôt que les comestibles en vente auront été évacués. Le 25 de ce mois, les négociants patentés de Toulouse devaient procéder l'élection des mem bres sortants du tribunal de commerce. Mais, sur environ t,6oo électeurs inscrits, 12 seulement se sont présentés pour voler. Dans deux des trois sen tions dont se composait le collège électoral, il a été impossible de former le bureau. L'élection n'a donc pu avoir lieu. Up journal publie les détails suivantes sur Cayenne Pendant la déportation de fructidor, les prê tres et les religieux français et belges donnèrent l'exemple d'une sainte résignationet plusieurs d'une application intelligente au travail. M. Barbé- Marbois, en faisant une excursion dans le canton d'Iracoubo, rencontra 5 déportés ecclésiastiques répartis sur 5 petits habitations. Connue Philipœ- men ils reconnaissaient l'hospitalité reçue par les services qui dépendaient d'eux. Ils s'occupaient de la garde du bétail ils instruisaient les enfants. Un Frère chartreux, Xavier Clavier, de l'abbaye de Sept-Fonds, avait formé non loin de Sinnamary un petit établissement. «Je vis, dit M. de Marbois, soti âme paisible comme la retraite où il vivait, et uu homme soumis sans ostentation et avec une religieuse résignation a son sort. Celui-I'a ne faisait pas sou salut pour être regardé. En revenant Cayenne pour s'embarquer, M. de Marbois s'égara dans les forêts. Il cherchait sa route lorsqu'une voix humaine parvint jusqu'à lui c'était celle de l'abbé Wagner, prêtre déporté, établi sur une habitation. Il chassait les boeufs et les vaches et les rassemblait dans le parc. La sueur et la poussière le rendaient méconnaissable. L'abbé lui dit On m'a donné, sans condition, l'hospi talité; j'ai cru devoir reconnaître ce bienfait et me rendant utile. Beaucoup de prêtres déportés b Cononama, canton malsain, apprirent h leurs compagnons d'in fortune a supporter les plus dures privations, la maladie et enfin la mort. Les plus jeunes, les plus robustes disaient aux hommes politiques déportés comme eux L'infortune est un habile précep teur l'émigration a rapproché les doctrines. Nos pertes sont immenses; mais nous voyons encore dans l'état présent des choses des objets dignes de notre ambition, et des moyens honorables de réta blir une puissance évanouie. Si la nation nous redemande, nous serons re- commandables par la pratique des vertus chrétien nes; nous deviendrons des agents de paix, des méditateurs et des conciliateurs entré des citoyens que tant de causes divisent nous aurons appris ici nous imposer les privations. Nous espérons re conquérir par la pratique des vertus un empire plus durable et plus glorieux que celui des richesses. Je dirai ce que j'ai vu quelque temps après la déportation de fructidor. C'est beau comme Thé- inistocle et d'Assas. La fièvre jaune lut importée dans la colonie par un bâtiment de commerce admis en libre pratique. Par une circonstance singulière, tout l'état-major des troupes formant la garnison fut moissonné le premier, de même b peu près que, dans une marche militaire, il prend la tète de la colonne. Une des premières victimes fut le général de Gouges, fils de la fameuse Olympe de Gouges qui s'était offerte b la Convention pour défendre Louis XVI, et périt peu après sur l'échafaud révo lutionnaire, pendant que son fils se signalait dans les rangs de l'armée. Bientôt l'hôpital de Cayenne se remplit de soldats, de marins et même d'habitants. Plusieurs sœurs hospitalières succombèrent. Tout le clergé de la colonie consistait en sept ou huit prêtre, de venus déportés volontaires après avoir été déportés forcés. Le poste était des plus périlleux. J'ai vu des officiers qui avaient bravemeut fait les campagnes du Rhin sous le général Moreau refuser le service de semeine b l'hôpital et donner leur démission. On est courageux sur le champ de bataille et sou vent faible et sans résolution devantunautredanger. Les ecclésiastiques résolurent de ne pas s'ex poser tous b la fois afin que le service spirituel fût assuré. Il s'en présenta donc un sur ce champ où triomphait la mort Il tomba frappé par la conta gion. Un second s'offrit, de même que dans un régiment on va b la corvée b tour de rôle. Victime de son zèle, il fut remplacé par un troisième, puis celui-ci par un quatrième, et ainsi jusqu'au derdier, qui, seul, resta debout. Qu'on me cite une milice plus intrépide! Celle-là ne combat pas pour être vue. Le Standard s'exprime ainsi L'annonce de la retraite de lord Normauby, de poste d'ambassa deur près de la République française, a donné lieu ce matin b une foule de spéculations sur le résultat de ce changement. Qnelqu'improbables et ridicules que soient les bruits propagés ils ont, jusqu'à un certain point, atteint leur but, en donnan; b la place une sorte de pesanteur quant aux fonds publics. Ce résultat ne saurait s'appuyer sur aucune nouvelle reçue, depuis hier, du ceuiiment. On écrit de Lisbonne, le 24 janvier, au Morning Herald Le journal miguéliste Naçao va être traduit devant le jury pour abus de la li berté de la presse. Ce journal ne fait plus mystère de ses principes ni de ses espérances. Les journaux miguélistes ne se contentent pas de dépouiller le mot Reine d'un R. majuscule; ils ne désignent S. M. que sous le nom de lady Doua Maria da Gloria. Les portraits de D. Miguel de Bragance et de sa femme sont exposés en montre dans plusieurs boutiques. ZAEI- MAEI- EN El ten dlenste van Herberg openbaerlylc. i° Eene zeer wel behuisde en betimmerde HOFSTEDE, groot h. 3o-43-go, verdeeld by plakbrief in 10 koopen, die 00k in verzameling zullen geveild worden. Gebruikt door sieur Ludovicus Guilleman, rae- deverkooper, tôt laelsten september i852. 20 Een HOFSTEDEKEN, groot h. 2-27-50, gebruikt tôt laetsten september *852, door de weduwe van sieur Patricius Faes. 4° Eene SCHUER met HOVENIERHOF, groot by titel h. 0-87-55, gebruikt alsmede het vol gende nummer door sieur Eduardus Blanckaert mils 220 francs by jare, tôt 1 october i858. SECTI E BEWK9TEBPO0RT. 5° H. 0-43-77 ZAEILAND, gebruikt zoo als onder het voorgaende nummer is gezegd. 6° h. io-4i-io WEIDE en ZAEILAND, ge-

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1852 | | pagina 3