TRÈS BELLE FERME SGHOON HUIS, HUIS, 7559796/1119 ITALIE. Marchand Quincaillier RUE DE LILLE, H» 5, A YPRES, On peut se procurer chez lui le véritable TIlT^.ÏC3-na D3 STJIalaT, fr. 1-25 le flacon. (2) VENTE PUBLIQUE SANS REDISE, TE HUEREN, OPENBAERE VERKOOPING m 10 iiectaren 59 aren 10 centiaren, Gelegen zuyd west van de dorpplaets, langst de Rousbruggestraet, gebruykt door Pieler-Ja- cobus Fan Ooslen met regt van pacht ton 1" October i856, aen den prys van 824 francs 65 cenliinen by jaere. TE PAGTEN, By den Notaris LAMBIN, te Ypren, iser GELD in leening te bekonien mils goed bezet. (55) L'Êvho de Vésone annonce la découverte suivante comme devant faire sensatiou parmi les partisans de la science cabalistique Une personne s'est amusée b rechercher si, dans le chifFre imposant de voix données a Louis- Napoléon le 20 décembre, il n'y aurait pas une révélation de l'avenir, et voici ce qu'elle a observé Louis Napoléon a obtenu 7,559,796 suffrages affirmatifs, et n'a eu contre lui que 1,119,000 suffrages négatifs. La personne a écrit sur un papier transparant ces deux chiffres l'un h la suite de l'autre, en les séparant par un trait perpendiculaire et en suppri mant les trois zéros, de la manière suivante j> En détournant le papier elle a lu au dos tracé très-lisiblement, le mot EMPEREUR. C'est une expérience que tout le monde peut faire, et que nous avons faite nous-mêrae en écri vant ce qui précède. On écrit de Fongères, le i3 octobre, h Y Auxiliaire Un crime horrible vient d'être commis dans la commune de Biilé. Barelpetit fermier, avait quitté son domicile lundi a 4 heures du matin, pour travailler dans une ferme éloignée. Dans la journée, on vint l'inviter a regagner son domicile, où un malheur était arrivé. Il y courut en hâte et trouva ses deux petites filles, âgées l'une de 6 ans et l'autre de 18 mois, étendues mortes sur le fumier de l'étable. Près des enfants était un fort bâton de coudrier, tout teint du sang des pauvres petites victimes. Qoe s'était-il passé en l'absence de Barel En vain on chercha sa jeune femme elle avait disparu. Est-ce elle qui a tué ses enfants, et s'est- elle, comme on le croit dans le pays, jetée ensuite dans le Couesnon Tout porte h le croire. Et pour tant la femme Barel vivait en bonne intelligence avec son mari, et n'avait donné aucun signe d'alié nation mentale. Ces jours derniers, cependant, elle avait sevré la plus jeune des petites filles, et le lait lui avait occasionné des douleurs aiguës. Ce crime étrange avait vivement ému notre ville. M. le chanoine Pillet, précepteur des princes de la maison de Savoie, vient de mourir dans sa campagne de Grésy-sur-Aix l'âge de 4o ans. Cette perte est vivement sentie par tous les habi tants de Chambéry et le clergé. Pauis le 17 octobre. On lit en tête de la partie non officielle du Moniteur y> Le prince a marqué la fin de son voyage par un grand acte de justice et de générosité nationale il a rendu la liberté h l'ex-émir Abd-el-Kader. Depuis longtemps cet acte était arrêté dans sa pensée; il l'a voulu accomplir aussitôt que les circonstances lui ont permis de suivre, sans aucun danger pour le pays, les inspirations de son cœur. Aujourd'hui la France a dans sa force et ses droits une trop légitime confiance pour ne pas se montrer grande envers un ennemi vaincu. Au retour de son voyage, le prince s'est arrêté au château d'Amboise. Il s'y est fait présenter Abd-el-Kader, et lui a appris la fin de sa captivité. Abd-el-Kader restera au château d'Amboise jusqu'à ce que toutes les mesures soient prises pour assurer sa translation et sa résidence a Brousse. La Gazette <C Augsbourg publie les détails sur l'Association des Ammazzarrelli, dont les princi paux chefs viennent d'être exécutés a Sinigaglia: A la fin de l'année i848, dit la feuille alle mande, le plus effrayant des terrorismes s'était établi b Ancône, dans la misérable ville de Corrinaldo, au pied des Apennins, b Jesi et a Sinigaglia. Une poi gnée de bandits étaient parvenus b terroriser ces localités, et ils y pratiquaient le meurtre en guise de passe-temps. C'est ainsi qu'un jour deux des mem bres de la bande avaient parié quelques cigares qoe l'un d'eux poignarderait le même soir un des prin cipaux propriétaires des environs. Il gagna son terrible pari. C'est surtout b Sinigaglia que la bande se distingua par ses actes sanguinaires. Après le rétablissement de l'autorité papale, la plupart des scélérats furent arrêtés; mais i3 d'entre eux, et parmi ceux ci les chefs de la bande, réussirent b se soustraire b la justice par la fuite. Sur 65 coupables, i3 comme nous l'avons dit, sont contumaces, 24 ont été fusillés ces jours- ci b Sinigaglia et les antres condamnés aux fers. h Le procès contre les bandes qui avaient leor siège dans les trois antres villes est également ter miné, et l'exécution ne va pas tarder b suivre b Corinaldo, Jesi et Ancône. Les condamnations b mort sont exécutées par les troupes suisses du Pape. A Sinigaglia les suppliciés avaient été par tagés en trois pelotons; huit furent exécutés le premier jour, six le deuxième, dix le troisième. Quelques-uns chantaient la Marseillaise en se rendant au lieu du supplice. Cinq seulement de de ceux qui formaient la dernière escouade ont consenti b recevoir les secours de la religion, et parmi eux, le négociant Simonulli, le seul individu appartenant aux classes supérieures qui fit partie de la bande. Simonulli était lieutenant-colonel de la garde nationale, et en cette qualité s'était constitué le président du terrible tribunal. Jusqu'au dernier moment il avait espéré sa grâce; les parents du Pape se sont en vain intéressés b lui. C'était un beau jeune homme on rapporté qu'au moment de l'exécution il pria l'officier suisse de recommander b ses gens de ne pas viser a la tête, mais b la poi trine. a A l'honneur d'informer le public, qu'il vient de recevoir un assortiment complet de Joujoux d'enfants pour la Saint Martin et la Saint Nicolas. Il tient également la Parfumerie et la Mercerie. Nattes en crin et en cordes, le tout b des prix très-modérés. Étude de M* FLOOR, Notaire a Furnes. MERCREDI 10 NOVEMBRE i852, 2 heures de relevée b l'auberge la Tête d'Argent, Grande Place de Furnes, d'une Grande d'après titre 27 hectares 86 ares 92 centiares et d'après cadastre 27 hectares 99 ares,si tuée b Ghistelles et Zevecote, occupée par Charles- Louis Billiouw, avec bail jusqu'au 1 Octobre 1857, au prix de 1900 francs par an, cotée au cadastre de Ghistel les S" D n°' 62, 63, 64, 65, 66,68, 73, 74, 75, 76, 77, 78, 79,81,82, 83,84,86, 87,88,89,90,91,92, g3,113,114, 115, 118, 119, 120, 123 et au cadastre de Ze vecote S" A n 611, 6i2,6i3, 615, 622, 623, 624 629, 63o, 63i, 632, 633, 654 et 635, for mant un seul bloc, tenant aux enfants Lylof b Ber gen, M. A. Vandewalle b Gand, M. Borlier b Adin- kerke, M. Wannoe b Zevecote, M. De Cock-Kel- lermanb Bruxelles, M. Ed. DeCrombrngge b Gand, M. Imbert-Desmottellettes a Bruges, M. Vermeersch b Zevecote et M""° Herminie Dejonghe b Brux elles. (1) OMSEFFENSIN GEBRU1K TE KOMEN; een MET HOF, KOUR en groot ACHTERGEBAUW, Kunnende dienen voor Magazyn in de rysselstraet n" 172, binnen ypre; Laest bewoond door den beer Carolus Sinave. Zich te begeven by den Notaris VANDER- MEERSCH, te Ypre. (2) Studie van den Notaris F la COR, te Loo. GEMEENTE STAVELE. VAN EENE WELBETIMMERDE EN BEPLANTE CRMI Dezelve Verkoopingzal gebeuren,op WOENS- DAG 27 OCTOBER i852 ten een uere naer middag, in de herberg bewoond door sieur Eeu- waert te Crombeke. (3) OM SEFFENS IN GEBRUIK TE KOMEN, EEN SCUOON EN ZEER GERIEVIG H-HTT ©^@®T(E(N] IrOOF en grooten kour, schoone remisen, stallingen RM VERDERR «iERAVWEM, BEFiEVENS mm® oMsstwLssr Nu beweegd door peerden, maer kunnende zeer gemakkelyk geschikt worden om door een damp- werktuig machine b vapeur in beweging ge- steld te zyn zeer voordeelig gelegen langst den steenweg, te Langemarck, nevens de Plaetse. Lange jaren in gebruik en werking gehouden ge- weest door den eigenaer, Mynheer Ooghe. Voor den prys en condilien zig te begeven by d'heer Santy Deurwaerder Meeuenstrael n° 18 te Yperen. (14) Kilt cegge het voor»». Y près, Imprimerie-Librairie, de Désiré Lambin-Mortier^ éditeur-propriétaire, rue de Lille, 10, près la Grand1 Place.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1852 | | pagina 4