APPEL D'HÉRITIERS.
BEDBYFSRAZEH.
M M fflUM
ILHat&BKiag.
TE VEURHE.
OPENBAERE VERKOOPING
VOLGifW HOOI- EN
ITALIE.
Les personnes qui se croiraient héritières
de la ligne Paternelle de BARGE DEEIR
ou DEHETR, née Ypres le 2 Juin 1767,
fille de feu pierre-jean-françois et de marie-
barbe PLANCKE, décédée particulière
Poperinghe, le 24 Décembre 1848, sont
priées d'adresser leurs titres, par lettre
affranchie, avant le 1" Juillet prochain
M' Vandenboogaerde Notaire la résidence
de Poperinghe, chez qui elles pourront ob
tenir de plus amples renseignements. (2)
DONDERDAG 9 JUNY 18S3, 2 oren na
middag, ter herberg den Anker bewoond
door S' DEQUEKER, op het gehugte El-
sendamme.gemeente Hoogslaede,
1" KOOP.
Le duc de Brunswick vient d'approuver les
statuts d'une banque qui va se former Dantzig
au capital de 2 millions de thalers divisés en ac
tions de 200 thalers. Ce capital pourra être porté
k 3 millions.
D'après les derniers relevés, l'Anlriche
compte 208 filatures de cotonqui occupent
12,129 hommes, 12,182 femmes et 4,842 en
fants, et filent annuellement 5i millions de livres
de coton.
Ou lit dans le Journal de Rome: En
continuant les fouilles commencées en 1812 sur
l'emplacement de l'antique ville étrusque de Veies,
on a découvert, au mois de décembre dernier, le
cimetière où on a ouvert plus de 120 tombeaux
antiques où l'on a trouvé une grande quantité de
poteries noires et quelques poteries de couleur. A
la fin de février, on a trouvé les ruines de la ville
romaine établie sur l'emplacement de la ville étrus
que, où on a découvert quelques statues bien con
servées, une multitude de fragments et quelques
parties d'inscriptions qui se rapporieut au règue
de l'Empereur Tibère.
Ou lit dans les journaux de Londres, du
i3 mai
Les trois exécuteurs testamentaires nommés par
le duc de Wellington: le comte Derby, M. B.
D'Israéli et le président de la Chambre des Com
munes, viennent de se démettre de ces fonctions,
et, en conséquence, la cour de prérogative de l'ar
chevêque de Cartoibéry a nommé, pour adminis
trer la succession de l'illustre défunt, sou fils, le
duc de Wellington.
Le testament du feu duc de Wellington est
olographe et a été fait Paris le 17 février 1818,
époque où il était ambassadeur d'Angleterre eu
France, et peu de jours après que dans la rue du
faubourg Saint-Hounré un coup de pistolet avait
été tiré contre sa voilure, fait qu'il rappelle dans
le préambule de son testament qui est conçu en
ces termes
Une tentative d'assassinat ayant été faite sur
ma personne dans la nuit du to courant (10 fé
vrier 1818), et pouvant se renonveler avec succès,
je désire régler mes affaires temporelles, et comme
il n'y a Paris aucune personue professionnelle
prvfesssionntl person) a qui je puisse confier la
mission de rédiger mon testament, je le fais de ma
propre main.
Immédiatement après ce préambule, suivent les
clauses testamentaires.
Le duc n'a fait aucun codicile 'a ce testament,
ni aucune disposition des biens très-considérables
qu'il a acquis pendant les trente-quatre années qui
se sont écoulées eutre la date de ce testament et le
jour de son décès.
Voici de nouveaux détails sur le terrible
accident dont les États-Unis viennent d'être le
théâtre
Le 6 mai, le train de New-Haven partit de cette
ville pour Boston 8 heures du matin; il était
composé de 2 waggous de bagages et de 4 waggons
de passagers. A un endroit nommé Norwalk, un
pont tournant traverse une rivière; le pont était
ouvert, et sans tenir compte du signalou l'ayant
mal aperçu, le mécanicien faisait aller la machine k
toute vapeur. Elle faisait alors 20 milles k l'heure,
tandis que, même avant d'être en vue du signal, il
aurait dû ralentir sa vitesse et ne plus faire que 8
milles.
La chute fut terrible. L'élan du train était si
considérable, que la machine franchit une distance
de 60 pieds et alla frapper le bord opposé de la
rivière. Un waggon de bagages et un waggon et
demi de passagers furent précipités dans la rivière.
Uoe partie du waggon brisé en deux resta sur le
chemin de fer. Les waggons tombés dans la ri
vière furent, pour ainsi dire, broyés, et bien peu
de ceux qui s'y trouvaient échappèrent k la mort.
On cite cependant le gardien des bagages, le con
ducteur et quelques autres personnes qui se sont
sauvés, comme par miracle, avec des blessures plus
ou moins graves.
Un enfant confié k sa tante a été sauvé. La tante
a été tuée.
On estime le nombre des morts k 5o.
La ville de Norwalk offiait, après l'accident,
l'aspect le plus douloureux; l'horreur et l'indig
nation étaient peintes sur tous les visages.
Les journaux publient les noms de 43 person
nes tuées, mais il en reste encore k connaître.
On dit que le mécanicien qui conduisait le train
avait déjà été autrefois renvoyé pour un accident
arrivé par sa faute. Il avait été ensuite en Califor
nie, et venait, de reprendre du service depuis
quelques jours. Il dit pour s'excuser qu'il n'a pas
vu le signal. Sa responsabilité n'est pas pour cela
dégagée, mais celle des directeurs du railway est
grandement compromise, et l'opinion publique, qui
ne s'émeut pas facilement aux État-Unis pour ces
sortes d'accidents, appelle sur eux uue punition
exemplaire.
ANGLETERRE. Londres, 21 mai.
La séauce de la Chambre des Communes du 20
mai a été marquée par quelques explications au
sujet de la politique anglaise dans l'extrême Orient,
qui ne sont pas dépourvues d'intérêt.
M. Cobden a d'abord demandé au président du
bureau du contrôle ce qu'il y avait de fondé dans
la nouvelle de l'annexion de l'empire des Birmans
aux possessions anglaises de l'Inde. Cet empire, a
dit M. Cobden, renferme de 5o k 4o millions
d'âines. M. Ch. Wood a répondu que le gonver-
Demeul n'avait ordonné que l'annexion de Pegu,
qui n'est qu'une province de l'empire des Birmans
et qui paraît toute disposée a accepter la domina
tion anglaise.
Au sujet de la révolte en Chine, lord John
Russell a informé la Chambre que sur l'iuvitalion
du gouverneur de Shanghai, sir J. Buuham, surin
tendant de la colonie anglaise de Hong-Kong, avait
envoyé des forces suffisantes pour protéger les
sujets anglais et leurs propriétés dans les districts
agités, tuais les insli uciions du gouvernement an
glais portent qu'on doit éviter toute espèce d'iuter-
ventiou dans la guerre civile actuellement engagée.
L'iutolératice protestante vient d'escamoter k
huit-clos dans la séauce de la Chambre des Com
munes du 19 mai un facile et pitoyable triomphe.
Sur la motion de l'un des représentants les plus
fanatiques du bigotisme anglican, M. Spooner, la
Chambre a retranché du budget du service civil
une somme de i,23ô liv. sterl. i5 sb. destinée aux
réparations courantes du collège catholique de
Mayriooth, en Irlaude.
Ce retranchement est d'autant plus ridicule que
le vote k la fois financier et politique pour la dota
tion annuelle de 5o,ooo liv. sterl. en faveur de ce
collège est définitivement acquis k l'égalité et de
la tolérance religieuse.
C'est en présence d'une Chambre qui ne comp
tait pas plus de 128 votants, que ce triomphe a été
obtenu. Lu majorité n'a été que de 20 voix (54
votes pour, et 74 voles contre).
SUISSE.
Le gouvernement de Fribourg, vient d'autoriser
le conseil d'Etat k lever un emprunt forcé de
200,000 florins. A une demande de renseignements
du conseil fédéral sur l'affaire de l'élection de Bulle,
le gouvernement fribourgeoisa répondu qu'il avait
ordouné une enquête. Les débats relatifs k la ré
cente échauffourée ont commencé devant le conseil
de guerre. M. Vuilleret, membre du comité de
Posienx, s'est chargé de la défense des accusés.
Oo lit dans la Parlamenla de Turin
Si nous sommes bien informés, S. A. R. le
duc de Gênes va visiter Paris sur l'invitation de
l'Empereur des Français. Nous croyons pouvoir
ajouter qu'après avoir passé quelques jours dans
la capitale de la Franee, le duc de Gènes ira k
Londres, où il n'est pas attendu avec uu moindre
Iintéiêt. Nous sommes heureux qu'un prince de
l'illustre maison de Savoie ait l'occasion de se faire
connaître aux souverains étrangers. Les qualités
personnelles du duc et les connaissances rares qu'il
possède, spécialement en matière de bronze k ca
nons, ne sont peut-être pas une des moindres
causes qui ont inspiré k l'Empereur des Français
le désir de le voir. S. A. R. reste en Saxe avec sa
famille; elle attendra le retour de sou illustre
époux pour revenir en Piémont.
Les débats du procès de lèse-majesté, sus
pendus pendant quelques jours k cause de l'indis
position de Guerrazzi, ont été repris, et l'on pense
que l'arrêt sera prononcé k la fin du mois.
Studie van den Notaris F IL ©©K
ZOADER UITSTEL YAK DE
IGEMEEATE OOSTVLETEREW.
Weinig zuid van het gehugte de Finteele, 1 h.
85 a. 06 c. HOOIGRAS, bekend per cadaster
sectie a n* g4, paelende van westen de partie
genaemd de Hooge zeven gemeten, van zuiden
den Saxbroek.
Verdeelt in drie partien, ieder ter grootte van
6i a. 68 2/3 c. Gebruikt door sieurs Joannes
Vandenbu&scheLambert Letlen, en de kin-
deren Decroos, om aenslag met den ontbloot van
dit jaer.
NOG GEMEENTE OOST VLETEREIt
2" KOOP.
Van westen den steenweg tusschen Elsendarame
en de Kortekeere, na by de nieuwe brugge op
den Poperinghe vaerl, 43 A. 77 c. HOOIGRAS,
sectie B n° 147 van 't cadaster, paelende van 00s-
tenden Boesing gragt.