wooms met land, ITALIE. Mise prix seulement 20,000 francs. OP PASSCIIENDAELE PASSCHENDAÉLE in het Dorp. appellent le priuce héréditaire M. de Brabant tout court. (Pairie.) An dire du Journal de Bruges, les élèves des écoles de l'Etat, qui terminent leurs humanités, et qui ne se présentent pas devant le jury, se destinent l'industrie, au commerce ou l'agriculture. C'est d'un ridicule achevé, car depuis quand exige-l-ou qu'un industriel, un commerçant se soit familiarisé avec les règles de la poésie et de la rhétorique, et qu'un fermier connaisse l'algèbre et la trigonométrie? Évidemment, le Journal de Bruges se moque de sou public, et le faux-fuyant qu'il nous oppose, trahit l'embarras où il se trouve de nous dire où voot se fourrer les nourrissons des écoles libéralistes. Pendant toute une année, l'État, la province, les villes d'Ypres et de Bruges se sont imposé des sacrifices énormes, et leurs athénées ont produit devant le jury de la Flandre occidentale un seul élève, qui a été rejeté! Pays intelligent, voilà de tes œuvres! (Patrie.) Toutes les nouvelles de Berlin présentent comme peu près décidé le rejet par la conférence doua nière de Berlin des propositions de la Prusse ten dantes réduire les droits généraux l'entrée des fers 5 sibergros sur le fer brut et th. sur les fers eu barres. On sait que la Prusse a soumis, il y a peu de temps, la conférence, un long Mémoire dans lequel elle examinait sous toutes leurs faces les négociations qui devront s'ouvrir prochainement avec la Belgique, et déclarait, au dire de la Bœr- senhalle de Hambourg, qu'un droit de 5 sbg. et de 1 th. n'admettait pas de réduction de faveur au profit des fers belges. La réduction proposée par la Prusse n'ayant pas été admise, par suite surtout de l'opposition du Wurtemberg et de Nassan, la Gazette nationale fait remarquer que toute l'ar- gumemaiiou du Mémoire prussien vient tomber d'elle même, et la feuille bernoise suppose qu'il ne restera d'autre alternative que la prolougatiou du traité avec la Belgique dont la confe'reuce serait appelée s'occuper cette semaine. Ou lit dans un journal de Courtrai Dans un de nos derniers numéros, nous avons rendu compte du double assassinat commis le i" de ce mois, en plein jour, Arras, dans une maison de la rue de Saint-Maurice, sur les demoiselles Pou- pelle. Il paraît que l'assassin, qu'on disait introu vable, était connu de la justice, car il a été arrêté jeudi dernier, dans l'après dîner, dans la rue de Tournai, eu notre ville, par le gendarme Detré. Il se nomme Coroelis dit Capoentje et est natif de Thielt. Écroué la maison d'arrêt, il fut placé au secret dans une cellule. Ce malin, le gardien, en allant lui rendre visite, n'a plus trouvé qu'un ca davre. Coroelis s'était pendu au moyen d'une corde qu'il avait fabriquée en déchirant le bord inférieur de la doublure de son gilet. On lit dans la Patrie de Bruges: Nous apprenons que l'administration communale vient d'offrir S. G. Mgr. l'Evêque de Bruges, le mo dèle en plâtre de la statue de Notre-Dame d'Aer- denbourg. Mgr. Malou vient son tour d'en faire don son église cathédrale, nù cette statue est ex posée, et où elle est l'objet de la vénération d'un nombreux public, qui vient implorer la protection de la Mère de Dieu. On écrit d'Alosl que les communes houblon- nières sont en pleine récolte. La qualité est assez bonne, mais la quantité n'est que le tiers de celle de l'année dernière. Les ouragans qui ont sévi, il y a quelques semaines, sont cause du dégât Un nombre infini de perches ont été renversées et un nombre plus infini encore de tiges ont été rompues. De sorte qu'il est rare de voir une perche qui n'ait de cônes de houblon fanés. Le marché de ce jour s'en est ressenti, car le prix est monté de 37 42 11. les 5okil. On assure que déjà de fortes commandes ont été faites pour l'Allemagne. Pendant la semaine qui vient de s'écouler, il a été consommé Bruxelles un peu moins de 1,000 têtes de bétail de toute espèce. En calculant en moyenne raison de 100 kil. de viaude par tête, quaol au rendement net, on aurait donc consommé seulemeut 100,000 kil. de viande eu sept jours, pour uue population de 160,000 âmes; soit 3/4 de kil. par tête, en sept jours. Depuis le mois de juillet dernier les vins et spiritueux, vendus Bruxelles, ont subi uue hausse considérable. I.es geuièvres et eaux-de-vie indi gènes ont augmeuté de 25 centimes le litre. L'officier de l'état-civil de Bruxelles a pro cédé avant-hier matin aux publications légales de quarante-deux premières et cinquante-deux se condes promesses de mariage. Quelquefois il n'y en a pas autant pendant tout un mois. Nous avons publié, il y a quelques jours, un extrait des journaux de Paris relatif aux falsifica tions que l'on fait subir en France la chicorée. On sait combien, parmi les ouvriers surtout, l'u sage de la chicorée mêlée forte dose au café est fréquent en Belgique; aussi croyons-oous utile de sigualer l'autorité une fraude qui nous est au jourd'hui dénoncée. Un fabricant qui cultive lui-même la chicorée sur ses propres terres, qui la sèche, qui la prépare et la réduit en poudre telle qu'elle se vend dans le commerce, nous déclare formellement que les chicorées vendues par les colporteurs et par cer tains marchands en détail sont débitées des prix inférieurs de 3o p. c. ses prix de revient. Il est donc évident que ces chicorées sont falsi fiées; or, la falsification se fait l'aide d'uue terre anglaise rougeâtre qui a des qualités corrosives très-nuisibles la sauté. Il importe d'autant plus que l'autorité ait l'œil ouvert et prenne ses mesures, que ces chicorées se vendent en tiès grande quantité par des col porteurs partout où il y a des agglomérations nombreuses de travailleurs et que la grande con sommation qui eu est ainsi faite peut avoir jour nellement les plus déplorables résultats. Un regrettable événement est arrivé ven dredi près de Flémalle-Haute. M. Borguet, fils de l'entrepreneur qui a péri, il y a quelque temps, en France, la suite d'un accident, se trouvant la chasse avec quelques amis, voulut mettre le feu une allumette chimique. Mais une étincelle du phosphore enflammé tomba daossa poire poudre, qui éclata. M. Borguet a été horriblement brûlé au visage et on ignorait eucore hier, si la vue pourrait lui être rendue. On écrit de Hambourg, le 9 septembre: Un négociant de New-York, jouissuut d'un grand cré dit, a quitté l'Amérique, laissant pour 5oo,ooo dollars de dettes, après avoir expédié une partie considérable de marchandises Biême et envoyé sa femme, chargée de lettres de change pour de graudes valeurs, Hambourg. Le docteur Schrœder, ayant reçu des pleins pouvoirs de quatorze grandes maisons de New-York, a réussi, avec l'aide de noire police, s'emparer dudit négociant améri cain peu après son arrivée ici, de même que de toutes les valeurs et marchandises qui étaient eu sa possession. La Gazette nationale annonce que le gou vernement prussien a conclu avec la Belgique une convention d'après laquelle en cas d'interruptioD du télégraphe direct vers la Hollande, les dépêches seront transportées gratis par Duisboorg et en cas d'interruption de la ligne hollandaise-allemande, les dépêches passeront gratis par la Belgique. Le congrès télégraphique a chargé la Prusse d'ouvrir avec la France des négociations en vue d'une con vention analogue. Les journaux américains publient in extenso l'acte du mariage que Lola Montes vient de con tracter San Francisco (Californie), avec M. Hnll, journaliste de la même ville. Voici les noms et les litres sous lesquels elle est désignée dans l'acte Maria-Elisa Rosanna Dolores, comtesse de Lands- feld de Héald, baronne de Rosenthal, chanoinesse de l'Ordre de Sainte-Thérèse. On lit dans la Gazette de Bologne La Gazette du Tessin raconte dans son nu méro du 3i août qu'à Ravenne le Délégat étant absent, un major autrichieu s'est emparé de sa de meure; que de plus, dans cette même ville, les Autrichiens se sont chargés de la police; que le dé légat de Forli n'ose plus sortir de chez lui, et que le gonfalouier de celle dernière ville, M. Pierre Guariui, a pris la fuite et s'est réfugié Florence, tout épouvanté des menaces qui lui étaient faites cause de la cherté du pain, etc. Or, la maison du délégat de Ravenne est tou jours sa disposition; en son absence, c'est son remplaçant qui l'occupe, et non point un major autrichien. La police de Ravenne n'a pas cessé un moment d'être entre les mains de l'autorité ponti ficale. Le délégat de Forli va et vient comme l'ordinaire, et le gaofolanier, M. Guarini, après avoir pris un congé de xô jours pour aller voir son fils Sienne, est revenu son poste. Ceci soit dit pour donner une idée de la confiance que méritent les correspondances de la Gazette du Tessin. Les journaux qui ont reproduit les correspon dances de la Gazette du Tessin voudront bien sans doute reproduire aussi les rectifications de la Gazette de Bologne. Les Notaires VAN EECK.E Ypres et VUYL- STEKE Wervick Adjugeront VÉpêe royal Ypres, au 5o Septembre 1855 3 heures de relevée, la belle Usine, Moulin Farine mu par la vapeur (force de iâ chevaux:) Fours Cbeaux, belle Maison de maitre Écuries et 1 hectare 1 are 70 centiares parmi Fonds bali, Cour et Jardins très favorablement située Ypres coté Est au Bassin. Pour en jouir immédiatement. PyiLDiK TU K@®P1(K1- Van wege de eygenaers, stelt men met het houden van twee zittingen openbaer te koop, het volgeod onroerend Goed, staende en gelegen op eemgen koop. Een HUYS, zynde twee woonste, afhangelyk- heden en i5 aren 58 centiaren Erve, onder bebouwdeu Grond en Land, palende oost den be- botiwden grond van Sr Philippus Nollel, en den genen van vidua Develter, zuyd het land van Sr Vuylsleke, West het land der kinderen Vanhaele- wyn, en noord den bebouwden grond van Joufv. Lambin, en den genen van den heer Ameye, thans gebruyktdoor de medegeregligde Karolus- Josephus Desmedt en vrouw, met voorbehouden

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1853 | | pagina 3