HOFSTEDE
FRANCE. Paris, 24 octobre.
ESPAGNE. Madrid, 19 octobre.
ITALIE.
&aa®aqas,
Den Notaris CAS73Ia32IT te
Meenen zal op Donderdag 5e" November
1853, ten 3 ueren naraiddag om ten G
ueren le eyndigen, voorlsvaren in d'af-
spanning het Brussels-Hof bewoond by
sieur Henri Gombert in de Rysselslraet
lot 'l zelve Meenen, tôt den INSTEL van
Verre noord-west deszelfs Kerkdigt van
noorden den steenweg van Meenen op
Yperen, gebruykt door Ludovicus-Francis'
eus Dessauvage, mits 400 francs by jaere,
boven de grondlasten, met regt van pagt
tôt den len October 1858, verdeeld in 7
koopen.
GELD TEJBEKOMEN.
By den Notaris LAMBIN, te Ypren, is er
GELD in leening te bekomen mits goed
bezet. (se)
ont été gravement mutilées; en 1824, il y a eu
plusieurs blessés.
On lit dans la Tribune de Beaune: On
commence faire des vins depuis deux ou trois
jours, mais on n'est pas assez fixé sur leur mérite
pour l'apprécier dès aujourd'hui. Cependant il
n'est point douteux qu'ils seront de qualité supé
rieure h ceux des dernières années.
Bien récolté et passablement mur, le raisin,
dans la plus grande partie de la côte et Beaune
surtout, était parfaitement sain, sans pourriture
ou avarie aucune. Il donnera indubitablement un
vin franc de goût et comparativement de beaucoup
meilleur que celui de la plupart des vignobles cé
lèbres de France.
La pluie, qui pendant deux ou trois jours a
entravé ou suspendu la vendange dans les com
munes où elle n'était point encore effectuée, n'a
point nui la qualité du raisin, parce qu'elle a été
immédiatement suivie de belles journées qui ont
permis d'opérerlacueiilettedans d'excellentes con
ditions.
Le xo de ce mois a eu lieu dans les camps
russes des environs de Bucbarest, conformément
un usage ancien dont on se ressouvient la veille
de chaque guerre, la bénédiction des drapeaux et
des troupes. Tous les généraux commandants, h
l'exception du prince de Gortschakoff, sont sortis
ce jour-là de Bucharest pour assister la céré
monie.
Le 9 octobre sont partis de Bucharest, dans di
verses directions vers le Danube, des matériaux
pontons.
Le prince de Gortschakoff, en recevant la dé
claration de guerre de la Porte, a envoyé immé
diatement une dépêche St-Pétersbourg, et a
disposé ses troupes de telle sorte dans les pro
vinces danubiennes, qu'il peut, quand il le voudra,
et endéans les i3 heures, faire arriver au Danube,
un point quelconque de toute la ligne du fleuve,
5o,ooo hommes et 100 canons, non compris les
forces qui déjà se trouvent au Danube. Le prince
Gortschakoff, répoudaut la déclaration de guerre
d'Omer-Pacha a dit que celui-ci n'avait pas be
soin de s'en tenir un aussi long terme que celui
qu'il avait désigné, ce qui fait supposer que le gé
néral russe est pourvu des pleins pouvoirs néces
saires pour le cas de guerre. Lloyd
Triple crime commis Provins. - Horri
bles détails. - Arrestation de lassassin. La
ville de Provins (Seine-et-Marne) vient d'être
épouvantée par la perpétration d'un triple forfait,
horrible dans ses circonstances sans exemple dans
les annales criminelles.
En voici les détails ainsi qu'ils résultent de
l'information laquelle a procédé la justice
Un banquier, M. Moreau, se trouvait avant-hier,
vers8 heures du soir, dans sa salle manger; près
de lui était sa femme. Ils venaient de dîner.
Dans une pièce voisine était leur fils âgé de 6
ans, qu'on veuait de coucher.
La domestique, Claudette B., âgée de 20 ans,
était dans la cuisine occupée ranger la vaisselle.
Tout-à-coup retentit la sonnette de la porte
d'entrée. M. Moreau se lève et va ouvrir. Un hom
me entre, renferme la porte sur lui, s'arme d'une
hache, qu'il avait tenue cachée sous ses vêtements,
en assène un coup sur la tête du banquier, lui brise
le crâne et l'étend roide mort sur le parquet. Aussi
tôt il s'élance sur M"" Moreau, la saisit, la terrasse,
et d'un coup de sa hache il lui sépare presqu'en-
tièremeot la tête du corps.
A ce moment apparaît Claudette attirée par le
bruit; l'assassin s'élance vers elle; déjà il la tient
la gorge et va la frapper lorsque, se ravissant, il
lui dit
Si tu veux avoir la vie sauve, conduis-moi
partout et indique-moi où est caché l'argent.
La pauvre domestique dut obéir. L'assassin
fouille les appartements, les meubles, s'empare de
toutes les valeurs tant en billet de banque qu'en
argent; puis, toujours accompagné de Claudette, il
arrive dans la chambre où est assis sur son lit l'en
fant de ses victimes dont les cadavres sont gisants
dans la pièce voisine; il les aperçoit, car la porte
est ouverte.
Là il commence sur la malheureuse servante le
plus odieux attentat.
Ensuite, avec des mouchoirs et des serviettes, il
attache Claudette au pied du lit de l'enfant, puis il
songe s'esquiver en emportant le produit du vol
qu'il a commis.
Alors qu'il se trouvait dans la salle manger, il
avait bu même une bouteille d'eau-de-vie. Soit
par effet de cette boisson, soit par suite de ré
flexions tardives sur l'horreur de ses crimes,
toujours est-il que l'assassin, en arrivant dans
l'anti chambre, sentit sa tête s'allourdir, ses jambes
rester immobiles. Il s'affaissa sur lui-inême et resta
inanimé sous l'empire d'un sommeil léthargique.
Profilant de cette circonstance providentielle,
Claudette défait ses liens et court prévenir la gen
darmerie.
Quelques instants après, l'autorité judiciaire,
assistée de la gendarmerie constatait les faits que
nous venons de rapporter et faisait arrêter l'as
sassin qu'on eut beaucoup de peine reveiller. Il
tenait encore la main la hache sanglante dont il
s'était servi.
Interrogé par les magistrats, il a cherché d'abord
nier son indentité niais ensuite il a raconté avec
un épouvantable cynisme toutes les circonstances
de ces crimes.
C'est un jeune homme de 23 ans, nommé Louis
Bony, originaire du département de l'Aube, et de
meurant Villers-Saint-Georges, où il exerçait la
profession de géomètre.
On a constaté qu'il était débiteur de M. Moreau
pour une somme assez importante. Il avait eu la
précaution d'arracher du grand livre du banquier
le feuillet mentionnant cette dette.
M. Moreau, homme généralement estimé dans
le pays, était âgé de 46 ans. Sa femme avait 36 ans.
Louis Bony a été écroué la maison d'arrêt
comme inculpé d'assassinat, de viol et de vol.
Tandis qu'une reprise dans le cours des céréales
se manifeste Paris et dans son rayon d'approvi
sionnement, nous apprenons qu'il y a baisse, et
baisse assez marquée, dans le département du Gers
et dans Tarn-et-Garoune, dans les Basses-Pyré
nées et autres départements voisins. A Mirande, la
baisse a été de 3 fr. par hectolitre. (J. des Débats.)
On continue dit le Diario Espagnol, pré
senter comme probable une modification au moins
partielle du cabinet avant l'ouverture des Corlès si
en effet celle-ci a lieu. Les membres du cabinet qui
se retireraient seraient MM. Esleban Collantes et
Calderon de la Barca. Suivant un autre bruit, le
ministère tout entier se retirerait et ferait place
un cabinet présidé par M. François Narvaez, comte
de Yumury.
La commission des sénateurs de l'opposition a
décidé, dans la réunion tenue chez le marquis del
Douro, de convoquer tous les membres du Sénat de
son parti en une réunion qui aurait lieu le même
jour que celle des députés de l'opposition.
Le Diario Espagnol assure qu'ordre a été
donné d'armer sans retard l'escadre de la Méditer -
rannée, qui, sous les ordres do brigadier Rubalcaba
devra appareiller immédiatement.
Cette escadre aurait pour destination les Darda
nelles et Conslanlinople. Elle serait composée de
la frégate vapeur Francisco Asisie 16 canons.
Des corvettes Pille de Bilbao de 3o canons, Fer-
rolana de 3o canons, Colon de 16, du brigantin
Velador de 12 et du navire de charge Mariga-
lanle.
Voici quelques détails sur les troubles de Turin
«Le 18 au soir, vers huit heures et demi, une
cinquantaine d'ouvriers se réunirent sur la place
d'Italie, et de ce point se dirigèrent vers l'hôtel
qu'occupe M. de Cavour. Une vingtaine d'indi
vidus, qui formaient un groupe séparé, entrèrent
précipitamment sous le vestibule et entreprirent de
pénétrer dans les appartements particuliers du Mi
nistre, dont ils parvinrent même forcer l'entrée.
Pendant ce temps, ceux qui formaient le rassem
blement extérieur lançaieut des pierres contre les
fenêtres de l'hôtel, dont les vitres furent brisées.
La garde nationale, les soldats de l'armée, les
carabiniers, les agents de police et les gardes de la
sûreté publique ont tous fait leur devoir. Ou a fait
uue trentaine d'arrestations; on procède aux in
formations légales. Le rassemblement s'était aug
menté considérablement par la foule de? curieux;
il a été facilement dissipé, et minuit l'ordre et la
tranquillité étaient rétablis. Des mesures efficaces
ont été prises pour prévenir le retour de semblables
désordres; la questure et l'autorité municipale ont
adressé des proclamations aux habitants pour les
ioviter se tenir tranquilles et s'en rapporter
aux autorités du soin de pourvoir tous les be
soins légitimes.
EENE SCHOONE EN ZEER WELBEBOCWEN
GROOT OlDER
MFPL&ITi, WITOI,
ZAEYIA1NDEN,
Meerscli en weynig Bosch
BYNA T'EENEN BLOKKE,
Zes hectaren 99 aren 70 centiaren,
NTAEIDE i:GEI.EGEX
l/2 P. 0/0 VOOR INSTELPENNING. (2)