ARBRES
BOOMEN,
BOOMEN OP STAM,
vautras
UN BON CHEVAL
HUYS TE HEUREN,
TAILLIE-HOUT,
3
AVIS.
VENTE PUBLIQUE
VENDITIE
Une indiscrétion. Vendredi matin
SCHOONE VENDITIE
Op DINSDAG, 17" JANUARY, 1854, ora
i ure namiddag juisl, zal er len verzoeke
en in behoeve van sieur f^ouis Messy, mo-
lenaer en zuster woonende te Woumen, op
eene weide genaemd de Kraeiweide, ge-
legen binnen de gemeente Zuidschote,
naby 'l gehuehte Sleenslraele, een weinig
noord van den steenweg, titans gebruikt
by sieur Francies Geeraerl en le vooren by
sipur David Messy, door het ambt van M'1"
T1TECA, Notaris 1er residentie van Boe-
singhe. worden voorlgevaren tôt de open-
bare Vendilie van 34 koopen schoone
OLMEN- ESSCHEN PO PEU ERE N-
AREELEN- en WILGEN BOOMEN. by-
zonderlyk dienstig voor wagenmakers
kloefkappers, pestels, voor berd, brand-
hout enz„ en onder welke Boomen er zich
ook Esschen bevinden van meer dan 2
melers dik.
Op gewoone voorwaerden en lyd van
betalingvoor het principael, tnits stellende
goede bekende borgen of medekoopers en
gereed voldoende den 10den pennink en
bespreken in handen van gezegde Notaris
TITECA, of van den Nolaris FLOOR, te
Woumen, met de directie derzelve Vendi
lie belasl.
(t) Elk zegge het voorts.
Gris pommelé, âgé de sept ans, garanti
sans défauts.
DE 127 MARCHÉS DE TRÈS-BEAUX
RYSSELSTRAET, 164,
N (6)
ÉTUDES DES NOTAIRES
DANCOISNE a Frelinghien,
GASTRIQUE a Armentières et
THERRY a Neuve -Église.
|VÎ&S<—^-
Les mauvais temps qui se succèdent ne
permettant point aux amateurs de visiter
les belles Propriétés situées Warnêton,
dont la Vente est annoncée pour le Mardi
17 Janvier 1854, cette Vente est remise
un jour qui sera ultérieurement indiqué.
Eyken, Planlsoenen, Abeelen, Popetieren,
Esschen en Beuken
ALSMEDE
OP PASSCH END AELE.
vier au 3i décembre, il est parti i 5,262 passagers
sur 66 navires. C'est le plus fort chiffre qui ait e'té
atteint jusqu'ici.
On se rappelle qu'il y a quelques temps, les
étudiants de la faculté de philosophie de l'univer
sité de Gand, avaient demandé l'intervention du
recteur, pour obtenir l'exécution de l'art, 3 de la
loi de 1849, sur l'enseignement supérieur, pres
crivant qu'un cours de langue flamande doit être
donné dans la faculté des lettres près de la même
université. Sur la réponse de M. le recteur qu'ils
devaient s'adressera l'autorité supérieure, les étu
diants, de tontes les facultés cette fois ci, ont adressé
une pétition au ministre de l'intérieur pour lui de
mander l'exécution de cette loi. Cette pétition
porte plus de cent signatures.
Les étudiants ont encore écrit une lettre aux
sénateurs et aux représentants de Gand dans
laquelle ils réclament leur appui afin qu'il soit fait
droit b leur demande.
Il existe en ce mement-ci b Lnuvain une
concurrence vraiment comique entre les divers
marchands d'huîtres de cette ville. L'un d'entre
eux a commencé b vendre les siennes b raison de
trois francs le cent, les autres ont dû suivre; et de
là une guerre en règle. Affiches, prospectus, an
nonces, caricatures, rien ne manque b la comédie.
Les consommateurs n'ont jamais plus largement
trouvé leur profil b une querelle de ce genre.
tandis qu'un ouragan de neige glarée tourbillon
nait dans les rues et sur les places publiques de
Bruxelles, un jeune homme enveloppé dans les
amples plis d'un manteau qui le garnissait b peine
de l'âpre tourmente, débouchait de la place des
Palais sur la place Royale. Des raffales de neige
glacée poussées par un vent nord-est des plus
violents aveuglait les rares passants qui marchaient
d'un pas rapide. En ce moment, une jeune femme
d'un extérieur modeste, tenant dans ses bras un
enfant qu'elle s'efforçait en vain de couvrir d'uu
maigre petit schall, coudoyaaveuglée par la neige,
le jeune homme an manteau. Celui-ci s'arrêta 1111
moment et jetant les yeux sur la pauvre robe d'in
dienne et le schall de la jeune femme, lui dit d'une
Voix pleine de sollicitude
Vous devez avoir bien froid, madame, sous
ce léger costume qui ne peut suffire b protéger
votre enfant contre la bise.
Hélas monsieur, répondi 1 la jeune femme en
rougissant, l'hiver est cruel et nous sommes obligés
de choisir souvent entre le froid, et la faim et le
inont-de-piété nous donne de quoi acheter le pain
de nos enfants.
Une larme roula dans les yenx du jeune homme.
Il interrogea la femme et apprit d'elle que son
mari, excellent ouvrier décorateur, était depuis
deux mois sans ouvrage; tontes les économies du
jeune ménage avaient été dépensées, puis on «'en
était pris aux vêlements les plus confortables, les
pins chauds, et, en ce moment, la pauvre mère
portail au Mont-de-Piélé de la rue des Capucins,
sa dernière robe.
L'étranger échangea encore avec la jeune fem
me quelques paroles, b la suite desquelles tous deux
s'acheminèrent vers la Montagne de la Cour et en
trèrent dans un magasin d'habillement confection
nés pour femmes. Quelques minutes après, la jeune
femme en ressortait couverte d'un bon et ample
manteau de drap, l'enfant était enveloppé dans un
schall chaud et épais et la mère remerciait avec des
larmes dans la voix, le jeune homme lequel venait
de donner sa bourse a l'enfant qui lui souriait. .Mais
l'étranger, après avoir ramené sur sa figure les plis
de son manterns'était éloigné rapidement eu
laissant la pauvre mère coufoitdue de joie et
d'étoiiuemeui.
Un ouvrier qui avait suivi du regard toute la
scène de l'achat du manteau, et vu entrer et sortir
l'étranger du magasin de confection s'approcha de
la jeune femme et lui dit
Eh bien, vous venez d'avoir là une fameuse
chance hein! un bon manteau pour les épaules et
des pièces d'or pour faire dégêler la marmite I
Ah! dit la femme, je donnerais beaucoup
pour savoir le nom de ce brave jeune homme.
Quoi! dit l'ouvrier, vous ne l'avez pas re
connu
Vous le connaissez donc, vous! reprit la
femme avec une joie pleine d'impatience, alors, je
vous prie! dites-moi qui je dois la vie de mon
mari et celle de mon entant
Parbleu! dit l'ouvrier, c'était le duc de
Braband, je l'avais vu sortir du palais et je l'ai
reconnu pendant qu'il avait ôté son manteau de sa
figure pour vous parler. Sancho
hkrmi.ogil:.
\1. Devers curé b Vive-Saint-Bavon.es! dé
cédé mercredi dernier, b l'âge de 5n ans. \1. De
vers, était né b Bruges, et avait été nommé en
novembre 1847 b la cure de Vive-Saint-Bavon.
van
S'adresser rue de Menin N° 18 a Ypres. (7)
consistant en
CANADAS, PEUPLIERS ORMES ET
FRÊNES,
Croissant sur la Ferme occupée par M' AUGUSTIN
Dklbk.cquk située b Warnêtonhameau le
Pont Rouge, le long la gran'route d'Ypresb Lille.
Propres b toute usage de construction, aux
ouvrages de tonneliers, naceliersmenuisiers,
charpentiers, sabotiers, etc., etc.
Appartenant b l'Institution Royale de Messines.
Le MARDI 10 JANVIER 1854, b 10 heures du
matin, il sera procédé sur les lieux b la Veule
publique des Arbres prémentionne's.
Il sera accordé long crédit moyennant d'établir
des cautions solvables.
La réunion b ladite Ferme.
On peut obtenir des renseignements du cabier
des charges, approuvé par Monsieur le Ministre de
la Justice, au secrétariat de l'Administration de
l'Institution précitée
Et chez le Notaire ROMMENS b Warnêton
chargé de la Vente et de la recelte. (2)
Tegenwoordig gebruykl door Joye- Depuvdt
winkelier, dienstig voor alleslach van ntiringe
om seffens in gebruyk te tomen. Voor verdere
inlichtingen zich te begeven A rmemeisje straet,
vii icilooie
OpWOENSDAG 18e" JANUARY i854,tebe-
giunen met den middag, zal den Notaris CHRIS-
TIAEN, by Veuditie veikooperi, op Passchen-
daele
i° In de bosschen by de hofslede gebruykt
bv Sr Henry Donck te vnnren Panwelyn
il knopen schoon Taillie-Hout en eenigte
koopen Planlsoenen.
2* lu eene party bosch, by het bolsledeken
lest bewoond by Sr Jacobus Terryn.
A. 20 koopen zvraer 'faillie-Hout.