HOFSTEDE HUIZEN EN ERVEN, ITALIE. A RI 00 RI C E S. WEL BEBOUWDE EN BEPLANTE Éop weinig afstand der stad, in- houdende omirent 22 hectaren, onder Zaeilanden, Vettegras, enz. Otn in het gebruik derzelve le komen met het scheren vau den aenstaenden oogst. Om aile inlichtingen diesaengaende le bekomen, men adressere zich by den gebruiker, medeverkooper derzelve, sieur ENCELBERTUS NOTERDAEUE. (i) gratuitement vexaloire. Le bon droit de nos çompratrioles flamands n'est pas moins incon testable. Justice et égalité pour tous, voila ce que réclament le bon sens et l équité. Ce qu'on apfiel/e le mouvement flamandne demande rien de plus rien de moins. Ajoutons que la justice de leur cause est parjailemenl comprise dans les provinces wallonnes et qu'elles rîapportent aucun obstacle au redressement du grief contre lequel leurs compatriotes fla mands. fussent-ils instituteurs, ont droit de protester. Il n'y aura là pour le gouvernement d'autres embarras que ceux qu'il aurait la maladresse de se créer lui-même. A la section centrale cbatge'e de l'examen de l'arrangement commercial franco-belge, le gou vernement a présenté un amendement tendant rendre d'application générale dès a présent, les exceptions comprises dans le projet de loi portant réforme douauièie, eu ce qui concerne les droits différentiels sur les cinq articles suivants: le coton, le soufre, l'huile, le bois de teinture et d'ébénis- terie. Les sections se sont occupées avant-hier du projet de loi sur la réforme douaoière. Il n'est pas possible encore de prévoir ce qui sortira de leurs délibérations. La troisième seciion a repoussé, la majorité de 2 voix, une proposiou de M. Coomans, tendante appliquer un droit fiscal uniforme de 5 fi 10 p. c. toutes les marchandises sans distinc tion. La sixième section a nommé pour rapporteur M. de Naeyer. Celte section a proposé les droits d'entrée suivante Francs 0,80 par 1,000 kil. de houille; fr. 1 par 100 kilog. pour la fonte; fr. 3 pour les fers battus, laminés, tirés; fr. 4 pour les fers en cercles et bandes, les tôles, les clous et fils de fer. La section centrale chargée de l'examen des conventions conclues avec la France a eu encore avant-hier une longue séance, dans laquelle elle a discuté toutes les questions qui se rapportent k cet arrangement commercial. 6 membres étaient pré sents. Le projet de loi a été adopté par 5 voix coutre 1. M. l'abbé de Haerne a été nommé rap porteur. On écrit de T/iielt Les froments et les seigles, ainsi que le colza promettent beaucoup dans nos environs. On s'occupe déjà de la plan tation des pommes de terre et des Jèves, et de la préparation des champs pour la semaille du lin. On plante beaucoup de pommes de terre de France, que l'on vend ici de 1 1 Jr. 1 2 fr. 5o c. les 100 kilog. On les Jurne avec du guano, et d après le dire d'un grand nombre de cultiva teurs, elles donnent un grand produit. Celte semence est en outre très avantageuse pour les terres légères, où elle produit de 4 6 sacs par 100 verges de plus que dans les terres fortes. Les trèjfles ont une très-belle apparence. S. Exc. Fely-Pacha, envoyé extraordi naire et ministre plénipotentiaire de la Sublime Porte près des cours de France et de Belgique, est arrivé il y a deux jours, Bruxelles. Pely- Pacha est accompagné de trois des secrétaires et attachés de la légationAhmel- Bey, Taïk- EJfendi et M. Manassé. Ce ministre, que les événements ont retenu pendant tous ces derniers temps Paris, vient présenter au Roi les lettres de créance qu'il tient de S. H. le Sultan. On dit qu un honorable député du Luxem bourg usant du droit d initiativeva soumettre la Chambre une proposition tendante con sacrer la signature obligatoire des articles de journaux. La seciion centrale pour les distilleries s'est réunie avant-hier matinsous la prési dence de M. Feydt, pour achever l'examen du projet de loi. Elle a maintenu l'unani mité U statu quo en ce qui concerne la durée du travail, et rejeté en conséquence, par crainte de la fraude, les 48 heures qu'a proposées M. le ministre. On écrit de Weimar que le comte de Paris va commencer sa carrière militaire dans les troupes du duc de Saxe-Weimaroù il entrera comme simple soldat. Le comte souffre, dit-on, en ce mo ment de la poitriue, et son état réclame quelques précautions. Un journal de Mous annonce que l'audience correctionnelle d'avant-hier a été marquée par un incident assez singulier. Une pauvre paysanne préseule a l'audience, a été dépouillée de sa bourse contenant une somme de 3o fr. qu'elle venait payer dans un magasin de cette ville. M. le procureur du Roi, informé du fait, fit aus sitôt fermer les portes de la salle. Une visite minu tieuse fut opérée sur toutes les personnes présentes l'audience, mais elle n'amena point malheureuse ment la découverte du voleur. .lomlnntlon eccléHiastique. M. Doom, vicaire lchieghein, est nommé au mônier du dépôt de mendicité h Bruges, en rem placement de M. Robbe, démissionnaire. FRANCE. Paris, 15 mars. L'empressement du public souscrire l'em prunt ouvert par l'Etat, est très grand, et dès aujourd'hui on considère le succès de l'emprunt comme assuré. Un arrêté du ministre des finances porte éta blissement de trois bureaux auxiliaires Paris, pour recevoir les souscriptions k l'emprunt de 25o millions, la caisse centrale n'ayant pu recevoir tous les souscripteurs qui se sont présentés le jour de l'ouverture de la souscription. On lit daus l'Univers: Nos lettres de Constautinople sont en date du 25 février. L'événement de la décade est la publication d'uu hatli-schérijf impérial qui annonce les fian çailles de quatre filles du Sultan avec les fils d'Abbas Pacha d'Egypte, de Reschid Pacha, d'Ah- met-Féthi-Pacha et de Mehemet-Ali Pacha. La sensation que cette nouvelle a produite, non seu lement sur le corps diplomatique, mais sur toutes les classes de la population, a été des plus pénibles, et ou peusait k Coustantiuople qu'elle causerait la même impression en Europe. Elle est propre, en effet, k donner une fâcheuse idée du désintéresse ment et du patriotisme des miuistres turcs. Il n'avait d'abord été question que du mariage de la fille aînée du SuI tau a v ec le fils de Reschid ,Ali Ghalib. Mais cette princesse, ardeuimeul couvottée par les trois autres persouuages nommés plus haut pour leurs fils respectifs, avait fini par devenir eutre eux une véritable pomme de discorde, k cause de l'accroissement d'influence que donne toujours une pareille alliance k ceux qui eu sout jugés dignes. Eu apprenant, il y a quelques jours, de la bouche même de sou maître, que son choix était définiti vement tombé sur le fils de Rescbid, Mehemet Ali Pacha représenta vivement au Sultan l'inopportu nité d'une détermination pareille daus les cir constances actuelles. Sire, lui aurait-il dit, nous célébrons en ce moment sur le Danube et en Asie des noces qui nous coûtent beaucoup de saug et d'argent: vous devriez remettre la célé— bration de celle de votre fille k un moment plus favorable aux fêtes et aux festins joyeux. Le lendemain, Mehemil Ali perdait sou poste de sé- raskier et Risa-Pacha était nommé k sa place. Mais le Sultan ne tarda pas de se repentir de cette ri gueur, et craignant le ressentiment de son fougueux beau-frère, il lui fit faire dès le surleudemaiu des avances par l'orgaoe de son premier chambellan, avances qui furent repoussées avec dédain par le fier Mehemet-Ali. 11 fit répondre k son impérial parent qu'aussi longtemps que Reschid resterait au ministère, il lui serait impossible d'y rentrer avec quelque titre et dignité que ce fût. Abdul Medjid, pour désarmer le courroux de son beau-frère, concilier toutes les prétentions, se délivrer de l'inextricable réseau d'intrigues et de machinations incessantes que des ambitions rivales et insatiables oui dissent sans pudeur autour de lui, pour calmer enfui ses inimitiés, ramener les appareuces de la concorde entre les ministres et recouvrer un peu de cette tranquillité qui lui est si chère, n'imagina rien de mieux que de satisfaire tout le monde en donnant une de ses filles k chacun des préten dants, bien qu'elles soient k peine nubiles. L'aînée a quatorze ans. Voilk les grandes préoccupations des ministres turcs, voila quels sont les objets de leuis premiers soucis et de leurs préoccupations les plus vives au beau milieu d'une crise politique où est en jeu l'existenee même de l'empire! Le gouvernement piémontais continue son odieux système de confiscation des biens religieux. Voici ce que nous lisons dans une corresprondance de Gênes, en date du 11 mars Nous apprenons de Turin que le Roi a signé aujourd'hui un décret qui supprime les ordres re ligieux riches (frali possidenti). Les rentes ad ministrées par l'économat seront distribuées aux paroisses pauvres qui, jusqu'ici, touchaieut un sup plément sur le budget de l'Etat. Les membres des ordres supprimés auront une peusion. On assure, dit le Parlamento, que M. Rat- tazzi sera chargé k titre définitif du portefeuille de l'ictérieur et qu'il continuera k diriger par intérim le département de la justice. SCIIOONE gestaen en gelegen 1 o m m e m yp^i, OPEISDAERL YK TE KOOPEN. i° Een HUIS en Efl UEten diensle van Winkel, zeer voordeelig gelegen aen den wesl- karit der Dixmudslrael, n° 17 gebruikt door Sieur Emile Sniagghe. 2° Een ander HUIS, 00k ten diensle van Winkel, staende nevens het voorgaende en ge- teekend n" 19; gebruikt door Sieur Vangraef- scheepe. En 3° Een IlUIS en EKVE aen de zuyd- tyde der Onze-Lieve- Frouwe strael, n° 11 gebruikt door Juff. W° Porabreu. Den INSTEL zal gebeuren binnen Ypre, in de Afspanning het Klein Ypre, DINSDAG 4"" APRIL 1854, orn 4 uren namiddag, door het ambl van den Notaris BOEDT 1er verblyf- plaets van Ypre, ten wiens kantoore men aile inligtingen kan bekomen, a/s 00k ten kantoore van den Notaris V ANDERMEERSCH, op de Oude Houtmarkt binnen dezelve stad. Een p. °j0 voor Instefpreiiilc. (ij LIT EU IIAND TE KOOPEN, eeneschoone, GELEGEN TE LOO,

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1854 | | pagina 3