PATRIMONIf UOFSTEDE ANNONCES. INTERDICTION. GELD TE BEKOMEN. chronique judiciaire. ALLEMAGNE. FRANCE. Paris, 4 juin. TRIBUNAL OE PREMIÈRE INSTANCE L. COilYN.av*. EENE SCHOONE EN GOEDE gestaen en gelegen in MERCKEM EN LANGEMARCK zitdagkw 1 1NSTEL Donderdag 22" Juny ,fiei4 OVLRSLAG Donderdag 6" Julv 1804 By den Notaris LAMBIN, te Ypren, is er GELD in leening le bekonien mils goed bezet. (11-2) I invitées les deux princesses de Bavière et l'élite de la société des eaux. L'Empereur se montra empressé auprès de ses cousines: il invita la plus jeune pour la contredanse qui termine les bals viennois. Il est d'usage h Vienne que le cavalier, après cette coutredaose, offre uo bouquet une autre danseuse qu'à la sieone. L'Empereur présenta son bouquet sa cousine. Cette dérogation l'usage fut remarquée. Le bal fini, quand l'assemblée se fut retirée, l'Empereur déclara sa mère que la princesse Elisabeth avait fixé son choix qu'il l'épouserait ou oe se marierait pas. L'archiduchesse Sophie dut être surprise d'une déclaration si spontanée et si imprévue on n'avait jamais songé, jusqu'à ce moment comme foture Impératrice, qu'à une princesse de Saxe. L'Empe reur voulut que la jeune princesse de Bavière fût consultée, et qu'on n'usât d'aucune iufluence pour obtenir d'elle une réponse favorable. Moi qui suis si peu de chose, ce n'est pas possible! s'é cria la princesse Elisabeth la première ouverture de sa laote. Après ce mouvement de timide in crédulité, la jeune priocesse, convaincue que la proposition était sérieuse, doona son consentement avec une joie modeste. Le lendemain, c'était le i 9, l'Empereur se rendit de bonne heure l'église, accompagoé de sa mère, de ses frères, de sa tante et de ses cousines. Au seuil de la porte, l'archiduchesse céda le pas la plus jeune de ses nièces, et les archiducs re connurent cette déférence uue impératrice. La messe dite, au moment où le prêtre descendait de l'autel, l'Empereur s'avança vers loi en conduisant par la maiu la princesse Elisabeth Bénissez-nous, dit-il, M. le curé, voilà ma fiancée! En revenant de l'église l'Empereur rencontra le général O'Donnel celui qui l'accompagnait, quelques mois auparavantle jour où l'avait frappé un assassin, m C'est vraiment aujourd'huilui dit-il en lui serrant la ntain que je vous remercie de m'avoir sauvé la vie. Ainsi fut arrêtée durant une éclaircie de la question d'Orient, l'union qui a été célébrée le mois dernier. L'histoire de la famille impériale d'Autriche a plusieurs fois offert des épisodes doucement éclairés de la simplicité et du charme de la vie intime elle n'en avait pas eu de plus délicats et de plus souriants. Lundi, comparaissait devant la cour d'assises de la Flandre occidentale, la nommée Amélie Durnet, épouse de Pierre De Thieuw, âgée de 35 ans, den tellière, née et domiciliée Zonoebeke, accusée d'avoir homicidé volontairement et avec prémé ditation son enfaut. Le jury ayant rendu un verdict négatif, l'accusée a été acquittée; le ministère pu blic a fait des réserves pour poursuivre la dite Amélie Durnet du chef d'homicide par impru dence. Le conseiller ministériel Fiser, commissaire civil envoyé par le gouvernement badois Mossbach, a adressé aux habitants de l'Odenwald et du Tau- bergrund, une proclamation par laquelle il cherche faire illusion aux habitaots sur les intentions du gouvernement, qui oe veut pas, ce qu'il prétend, porter atteinte la propriété de leurs communes ou leur religion. Mais il les prévieut en même temps que des troupes ont été envoyées dans les quelques communes où s'étaient élevés des trou bles et des résistances contre les autorités, et que toutes celles dont les habitants auraient troublé I 1 ordre public, auront supporter les conséquences d'une exécution militaire. 3 AFFAIRES «ORIENT. On lit dans le Lloyd du 5 juin Les nouvelles arrivées aujourd'hui du théâtre de la guerre sur le Danube font de nouveau men tion du projet d'Orner Pacha de marcher sur Silislria pour dégager cette place. Nous croyons cependant qu'il n'y a pas lieu de s'attendre un mouvement offensif de sa part dans tes premiers jours. Oo laissera les choses en venir devant Silis lria jusqu'à la dernière extrémité, et les pertes des Busses s'y renouveler souvent eucore, avant de prendre la résolution de marcher an secours de la place; et les nouvelles qui en arrivent sont d'ac cord dire qu'elle tiendra eucore quelques se maines. Orner-Pacha restera aussi longtemps que pos sible dans son attitude expectative, et ne risquera un grand coup contre les Busses, si les circonstances le permettent, que quand il aura dans son voisi nage un chiffre suffisant de troupes auxiliaires comme réserve, ce qui n'a été le cas jusqu'ici que d'une manière fort incomplète. La situation des Busses est devenue grave, et leurs généraux le sentent bien, puisqu'ils s'occu pent de concentrer leurs forces et de s'assurer uue ligne de retraite. Les renseignements suivants, reçus de Saint Orner, complètent ceux déjà donnés sur le camp du Nord, 5o escadrons de cavaleiie seront can tonnés depuis Aix jusqu'à Ardres. L'infanterie sera répartie entre le camp d'Helfaut, la ville de Saint Otuer et les localités importantes. La première di vision de l'aruiée de Paris fera, dit-on, partie de l'un des trois corps d'armée entre lesquels l'en semble des troupes sera partagé. Des baraques pour cinq escadrons de cavalerie seront construites la la droite du camp oeuf, Helfaut. On lit d ans une correspondance parisienne: a Le fait de l'arrestation du sergent Bnichol est positif. D après un bruit assez peu admissible, 00 aurait trouvé sur lui le brevet de géuéralissiine d'une aimée révolutionnaire. Il semble peu pro bable que cet ex-représentant ail ainsi conservé une preuve dont la saisie eût ce point aggravé sa position. Quoiqu'il en soit, Boichot était depuis quel que temps Paris, où une simple question d'exis tence l'aurait, dit-ou, d'abord attiré. Toutefois, cette arrestation n'est pas isolée. h k km. A la requête de Louis Van Biervliet, cultivateur domicilié Comiues, par jugeineut rendu par dé faut faute de comparaître, le Tribunal de première iustance séant Ypresa prononcé l'iulerdiction de Bruno an Biervliet sans professioo, domicilié Bits, le deux Juiu mil huit cent cinquante qua tre. Pour extrait 1 avoué du poursuivant (signé) L. Comyn avé. Enregistré Yptes le six juin 1800 cinquante quatre vol. 2J folio 68 verso case g; reçu deux francs vingt uo centimes additionnels compris con tenant un tôle sans renvoi. Le Beceveur (signé) Joris. Pour copie conforme. OPENBAERLYK TE KOOPEN. GEV1EENTEN MERCKEM EN LANGEMARCK. 1" Koop. Alvorens de HOFPLAETS met opstaende Huis, Stalliugen en Schuer alsmede eene party Gras, 3 partyen Zaeiland en Logtiog te zamen maer eenen blok, gelegen al den zuidkant langs de Pottestraet, groot by kadaster van Merc- ketn, wyk D, N" 831 en 83o en by dat van Langemarck, wyk A, nummers 1Q5, 136, 137, 138 en 139 twee hektaren i5 aren 79 cenliaren, palende oost M; Iweins en west Karel Pauwelyn. GEMEENTE LANGEMARCK.. 3®û Koop. Zuid aen eene party Zaeiland groot by kadaster, wyk A, N° i3g, 43 aren 60 centiaren, palende oost familie Landsheere. 5,n Koop. Zuid daer aen, een sluk Zaeiland, groot volgens kadaster, wyk A, N* i4o, 5 g aren 70 centiareo, houdende oost Landsheere voor- noerad. 4°° Koop. Ten deele zuid aen eo zuid aeit familie Landsheereeeue party Land die strekt oost en west groot by kadastrale mate, wyk A, N° 14180 aren 10 centiaren, palende oost den heer Byks outvanger Schottey, zuid Joufv. Bamoen eu M. Heyuderickx. 5'" Koop. West aen de koopen 3,5 en 4 en zuid aen den irn koop, een stuk Zaeiland, groot volgens kadastrale mate, wyk A, N* 138, 35 aren, palende zuid M. Heyuderickx, en west Karel De Mol. GEMEENTE MERCKEM. Noord aen de hofplaetseene goede party Maeigras, inhoudeude by kadaster, wyk D, N8 803, 34 aren 5o centiaren, palende oost den heer Deoeckerzuid de heeren Desmasiere en Beke- Beke, west den zelveu heer Beke-Beke en noord eene beek. De 6 koopen uitmakende eene goede HOF- STEDE ter grootte van 4 hektaren 47 aren 49 centiaren, bewoond en gebruikt door Joannes Bekaert. Telkens teo 3 uren namiddag, in de berberg Sint- Eloy, bewoond door Louis Debrnyne, le Lange marck, langs de kalsyde leidende naer Bixscbote. i/j 0/0 Instcl Penning te uinnen. Wanof de veikoop voorwaerden, titels van aeukomst en kadastral plan, zyn berustende ten Ikautore van den Notaris DELAVIE, te Lange marck, ter plaets van Poelcappelle verblyvende met deze Verkooping gelast. (1) Eli te g het voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1854 | | pagina 3