BOSCH TALIEN B O O M E N In het Welhuys van Reninghelst, den Donderdag 31en January 1856, twalf ueren 's middags VEINDITIE OUD 6 JAEREN met 476 Plantsoeneii Staende op 7 partien Bosch te zamen groot 2 h. 09 a. 59 c., en dies, ora te kappen blanke talie, der geene oud 6 jaeren met de Planlsoenen, dobbel en enkel zaden, staende op 70 aren 04 cen- liaren Bosch, wanof 7 koopen te Renin ghelst en eenen op Vlamertinghe; voorders van 8 koopen Eyken, 6 koopen Abeelen, 4 koopen lepen en van 8 koopen Pope- lieren B 00 IV! E N Ook staende te Reninghelst en al com- peteerende aen de Kerke der zelve geraeente. Onder gewoone voorwaerden door het ambt van den Notaris LUCIEN te Renin ghelst. (3) YENDITIE ABEELEN pondants de Parisque la Prusse doit recevoir des puissances alliées, une notification par laquelle il lui serait déclaré qu elle ne partici- «y 9 pera aux négociations que si elle s engage a rompre avec la Russie, dans le cas où leurs propositions seraient définitivement rejetées le cabinet de Berlin serait mis en demeure d en accepter lui-même toutes les conditions. S'il faut s'en rapporter encore au journal que nous citons, une note des plus énergiques serait enoulreadressée au gouvernemenldanois comme réponse la circulaire qu'il vient de pubier au sujet du maintien de sa neutralité. Ces correspondances ont, même aujourd'hui, un intérêt rétrospectif. L'expédition arctique de la baie d'Hudson est revenue New-York après avoir visité l'endroit où l'on a dit qu'avait péri sir J. Franklin. Les renseignements fournis par le Dr Rae ont été pleinement confirmés. Les Esquimaux ont donné de nombreux détails. On a découvert dans l'île les débris d'un bateau, portant encore l'estampille Terroret le nom de M. Stanley, chirurgien de VErebus. On n'a pas découvert de restes humains, de livres, ni de papiers, niais une foule d'ustensiles, le reste d'un drapeau et un tronçon de mât portant encore la marque du gouvernement anglais. Un horrible assassinat, encore aujourd'hui entouré du plus grand mystère dit VÊcho du Nord, de Lille, a jeté hier soir une gtande émotion dans notre ville. La dame veuve Dequeker, demeurant rue des Capucins, a été frappée d'un coup de couteau qui lui a tranché la gorge de part en part. La dame Dequeker, qui habite avec ses deux fils dont l'un est serrurier, descendit, vers six heures du soir, dans une cave qui sert d'atelier h son fils, et dont les soupiraux prennent le jour et l'air sur la rue. Elle y était peut-être d'une minute qu'un grand cri, un cri de terreur fut poussé par elle. Une proche voisine entendit ce cri, et accourut. Étonnée de voir la maison seule, elle saisit une lampe, appelant la dame Dequeker; ne la trouvant pas mais voyant la porte de la cave ouverte, elle y descendit, et vit, avec une frayeur extrême, le cadavre de la vieille dame qui nageait dans une mare de sang. Toutes les recherches sont restées jusqu'à présent sans résultat pour trouver le coupable, et aucun indice u'est venu mettre la justice sur la trace des motifs qui ont pu inspirer le crime. Le tf Janvier. Lettre «lu bourreau de Louis lil. On lit daus les Précis historiques Un de nos amis, \1. l'abbé De S..., a bien voulu nous donner un fac-similé d'une lettre écrite de la main du bourreau de Louis XVI. Il y est rendu compte de la lugubre scène de l'échafaud. La lettre porte poursuscription Au CitoyenCitoyen Rédacteur du journal le Thermomètre, Paris. Nous la reproduisonsexactement avec l'orthographe du citoyen Sanson, moins habile, sans doute, h manier la plume que le couperet de la guillotine. Au reste, la substance de cet écrit çst un beau témoignage rendu h la religion. it° 75 c|4 75 Citoyen, Un voyage d'un instant a été la cause que je n'ai pas eu l'honneur de repondre l'invitation que vous me faite dans votre journal au sujet de Louis Capel. Voici suivant ma promesse l'exacte véritée de ce qui c'est passé. Decendant de la voiture pour l'exécution on lui a dit qu'il faloit 6ter son habit. Il fit quelques difficultés en disant qu'on pouvait l'exécuter comme il était. Sur la représentation que la chose éloil impossible, il a lui même aidé ôter son habit. Il fit encore la même difficultêe lorsqu'il cest agit de lui lier les mains, qu'il donna lui même lorsque la personne qui l'accompagnoil lui eût dit [que c'étolt un der nier sacrifice, alors s'informa sy de lembours batteroit toujoursIl lui fut répondu que l'on n'en savoit rien et c'étoit la vèritée. Il monta l'échaffaud et voulut lourer sur le devant comme voulant parler mais? on lui représenta que la chose éloil impossible encore, il se l'aissa alors conduire l'endroit ou on C attachât et ou il s'est écrie très-haut. Peuple je meurs inno cent. ensuitte se retournant vers nous, il nous dit: Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des françois. Voilà citoyen ses dernières et ses véritables paroles. l'espèce de petit débat qui se fit au pied de téchaffaud roullait sur ce qu'il ne croyoil pas nécessaire qu'il ôtdt son habit et qu'on lui liai les mains. Il fit aussi la proposition de se couper lui même les cheveux. et pour rendre hommage la véritée, il a soutenu tout cela avec un sang froid et une fermetté qui nous a tous étonnés. Je reste très convaincu qu'il avoit puisé cette fermetée dans les principes de la religion dont personne plus que lui ne paroissoil pénétrée ny persuadé. Vous pouvez être assuré, Citoyen, que voilà la véritée dans son plus grand jour, Toy l'honneur d'eslre, Citoyen. Votre concitoyen, Sanson. Paris ce 20 février 179$; l'an 2me de la répu- bl ique françoise. 1 preu, suniiMli 1!) Janvier. ao4 hectolitres de Froment fr. 35 20 par hectoî. 21 de Seigle 22 go 73 de Fèves19 40 12 d'Avoine11 18 4oo kilogr. de Pommes de terre. 7 75 de 100 k. 25oo idem blanches7 5o m Beurre fraispar kilog. fr. 2 52 Id. saléo 00 Viande de bœuf 1 3o Id. de vache 1 3o Id. de veau. 1 3o Id. dé moutou 1 3o Id. de porc. w 1 3o Painn o 35 i;2 BCoulers 1.1 Janvier. Aujourd'hui ont été apportés au marché 27^ sacs de froment, 1 26 idem seigle, 55 idem avoine, 79 idem fèves et 20 idem pommes de terre. Par hect. et demi Froment blanc fr. 55 5q 00; idem roux, fr. 53 00 55 00; seigle fr. 35 38 00; avoioe, fr. i5 00 h 17 5o; sarrasin fr. 00 00; fèves fr. 3t 35 00; pommes de terre, par 100 kil., fr. 7 5o 8 00; beurre, par kil., fr. 2 36 k 2 80; œufs, par 25, fr. 2 00 k 2 36. Huile de colza, II. 73 10 00 00 id. de lin, fl. 63 10 k 00. Tliourout, 16 Janvier. Par sac de 15o litres Froment blanc fr. 57 k 58 00 id. roux 53 00 k 54 00 seigle fr. 37 5o k 38, sarrasin fr. 24 k 25 avoine fr. i3 k i5 5o; fèves k chevaux fr. 3o k 52. Beurre, par pièce, 26 0[0 k 28 ojo s.; œufs par 25, 16 Ojo k 18 0|0. ÉTAT-CIVIL D ÏI'RESj du 12 au 19 Janvier inclus Naissances 11. Sexe masculin 4; féminin 7. Mariage. VanackerLouis, dgé de 37 ans, journalier, et De IVachler, Reine-Séra- phine, dgée de 28 ans, jardinière. Décès 12. Minne, Thérèse, dgée de 26 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Bogaert, Henriette,dgée de 68 ans, marchande, épouse de Damas Croes, rue de Dixmude. Ramaut, Fidèle, dgé de 48 anstailleur, époux de Thérèse Bollaertrue Close. De VogelEmile- Amanddgé de 8 ans Saint - Jacques lez Yprès. Schoonaert Marie, âgée de 33 ans, dentellière, épouse d'Augustin Ryctaseysrue de Menin. Bondu, Catherine, dgée de 80 ans, journalière, veuve de Charles Michon, rue de Menin. Vandaele, Olivier, dgé de 55 ans, journalier, époux de Marie fVoussen, Place de la Prison militaire. Bondu, Jeanne, dgée de q3 ans, journalièrecélibatairerue de l'Hôpital Saint- Jean. Meersseman, Caroline, dgée de 43 ans, rentière, veuve de Désiré Ghelein, Marché au Bois. Vandaele, Marie, dgée de 89 anspensionnaire de l'Étatveuve d'André Gohy, et de Pierre Maurau, rue de Dixmude. Lamote, Marie, dgée de 8 ans, Place de la Prison militaire. Guffroy François, dgé de 58 ans, journalier, domicilié Grigny [France), époux de Charlotte Fla mand, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans 8. Sexe masculin 5; féminin 5. der EN 4 ESPEN, BMW mm IIP van zwaere IlîPEU- ET KEN- ESSCIIEN ES ai 11 v 111 a® ©a 1» DINGSDAG 29" JANUARIUS x 856 ten tvvaelf uren s'middags precies op de landen der hofstede het Vroedenlioj te Elverdinghe gebruikt door sieur Joannes Van Eecke en competerende den edelen heer Jonklieer Placide- Leopold- Lièvin Delhibault de Boesinghezal er door den Notaris TITECA te Boesinghe gehouden worden Vendilie van 72 koopen zwaere lepen Eyken, Esschen en Abeelen BOOMEN dienslig lot allerhande slach van werken, als volgd i° - Op liet gars genaemd de Brielenweyde nevens d'hofplaets, alwaer de vergaedering zal plaets hebben. 13 lepen boomen, verdeeld in 11 koopen. 2" - Op de voorweyde. 5i lepen, 2 Esschen en 3 Eyken boomen, ver deeld in 29 koopen. 3° - In de binnetveyde. 14 lepen, 10 Esschen, 20 Bollaerden en 1 Eyke boom, verdeeld in 19 koopen. 4° - Zaeiland en op de dreve. 2 lepen en 4 Abeelen boomen, verdeeld in 6 koopen. 5° - Op het Zwevelandsbosch. 7 Abeelen en 1 Eiken boom, verdeeld in 7 koopen. Gewoone conditien en tyd van betalinge rails stellende goede en welbekende borgen ten aen- veerden van den ambtenaer belast met deze Venditie. (1) Elk zeg het voorls.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3