G ARSI, AND, Yr\ A w ITITIUIETLYNV VEUKOOPING BANQUIER, A Achète les Pièces de cinq francs comme suit Napoléon Ier et e Louis NVIU a cin(ï francs' par mille. Et Charles X deux francs, 1 Ventes et Achats de Fonds publics nationaux et étrangers. (4) -,u voilà les mots que j'ai inscrits sur la tombe de l'une de mes meilleures compagnes que j ai laissée au cimetière de Scutari. J'ai tâché, sous le regard de Dieu, de faire comme elle a fait. Je ne parlerai pas de récompenses lorsqu'il m'a été permis de faire l'œuvre de notre pays. C'est pour cela que je vis. Mais je puis dire que recevoir des témoignages de sympathie de cœurs aussi affec tueux que les vôtres, c'est le plus grand encourage ment, la plus vive satisfaction qu'il me soit possible de recevoir sur la terre. Je vous remercie tous les dix-huit cents avec une reconnaissante et tendre affection; j'aurais écrit auparavant si une affaire que mon retour n'a pas terminée n'employait tout mon temps. Croyez-moi, mes chers amis, votre fidèle et reconnaissante. Florence Nightingale. On lit dans le IVeekly-Register ou Ca- tholic Standard La première communiou du duc d'Alençon, second fils da duc de Nemours, et celle de la princesse Françoise de Joinville, ont eu lieu le 21 août, l'église de Saint-Raphaël de Kingston. L'évêque de Southwark a officié dans cette occa sion, et a prononcé deux discours très-remarquables avant et après la solennelle administration du Sacrement. Après la messe, Sa Grandeur a donné la confirmation M. le comte d'Eu, fils aîné du duc de Nemours. Le très-révérend évêque Morris, qui avait donné la première communion M. le comte d'Eu, il y a deux ans, était présent. L'évêque officiant était assisté par un prêtre maltais, les prêtres de la chapelle française de Londres étaient également présents. L'ex-Reine et toute la famille royale, ainsi que plusieurs de leurs amis venus de France, ont été doucement impressionnés par cette sainte et touchante cérémonie. Dans l'après-midi, M. l'abbé Guelle, chapelain de la famille royale, a fait un sermon le jeune prince a lu le renouvellement des vœux du haptême; la jeune princesse, la consécration de la sainte Vierge Marie, tous deux d'une voix ferme. Après la cérémonie, les deux pères, le duc de Nemours et le prince de Joinville ont exprimé Mgr. l'évêque de South wark les plus chauds remeiciraents, et, comme un témoignage de leur estime, lui ont fait présent d'un magnifique missel romain, et d'une bague épiscopale d'une grande beauté et d'une grande valeur. On écrit de Londres, 28 août Le service anniversaire pour le repos de l'âme du roi Louis- Philippe a été célébré avant-hier Weybridge, dans la chapelle qui abrite provisoirement sa tombe. Un grand nombre d'amis fidèles de la famille royale étaient venus de France pour se joindre elle, cette année comme les années précé dentes, pour rendre un pieux hommage la mémoire du Roi. A Belfast (Irlande), les moissonneurs se sont mis en grève. Profitant de la rareté de bras, occa sionnée par l'émigration des moissonneurs pour 1 Angleterre et l'Écosse, ils exigent 12 shell. par semaine. Dans toute l'Irlande, on manque de bras pour la moisson. Allemagne. Au village de Breonbibel, dans 'e Tyrol, une chapelle marque la place où expira le Roi Frédéric-Auguste de Saxe la suite d'une chute de voiture. Un service funéraire y avait été célébré le 9 août, jour anniversaire de cette mort, par les habitants et le clergé de cet endroit et des environs. La reine douairière Marie a écrit cette occasion une lettre touchante de remercîments au 'icaire de ZirI, la fin de laquelle Sa Majesté 'joute: L'union de ma nièce Marguerite avec votre brave gouverneur est pour moi une grande consolation. Combien mon cher Roi aurait été heureux de voir sa Marguerite dans son bien a aimé Tyrol. Une ordonnance des ministres de l'intérieur et des finances de l'Empereur d'Autriche vient de décider que les veuves et les orphelins des méde cins, des chirurgiens et des infirmiers morts la suite des services prêtés pendaut l'épidémie cholé rique, ont droit aux pensions et aux subsides ordi naires pour l'éducation, quand même l'individu décédé compterait moins de dix ans de services. Exemple bien digne d'être suivi. D'après des correspondances particulières, d'ac cord avec ce qu'à annoncé la Nouvelle Gazette de Prusse, les mesures de représailles contre les pirates du Riff se borneraient, pour le moment, des remontrances énergiques que le gouvernement prussien adressera l'empereur de Maroc; toute fois il serait possible que des forces navales composées de bâtiments appartenant plusieurs Etats, se concentrassent dans les parages occupés par les pirates pour prêter raainforte l'Empereur du Maroc, qui est trop intéressé entretenir de bonnes relations avec l'Europe pour ne pas vouloir châtier ces brigands. Le prince Adalbert est attendu Berlin vers le 12 septembre. Espagne. On écrit de Barcelonne que le Conseil de guerre a jugé définitivement les nom breux prisonniers qui avaient été faits la suite des événements du mois dernier. Quarante-huit d'en tre eux ont été condamnés quatre ans de travaux forcés; ils subiront leur peine au bagne de Cartha- gène. Les autres ont été condamnés au service militaire dans les possessions espagnoles d'outre mer; il sont partis aujourd'hui pour Cuba bord d'une frégate de guerre. La Gazette de Madrid publie une ordonnance de la Reine qui destitue M. Miguel de los Santos Alvarez, envoyé extraordinaire et ministre pléni potentiaire près de la république mexicaine. Il paraît que la destitution de M. Miguel Alvarez implique le désaveu de la politique de concession suivie par ce représentant de l'Espagne dans l'af faire du Mexique, que l'on croyait arrivée une solution pacifique. Le cabinet actuel reprend les choses de manière faire craindre, s'il faut s'en rapporter au Journal (français) de Madridque la médiation de la France, acceptée d'abord par les deux parties, ne soit impuissaute éviter la guerre. Madrid, 17 août. Les provinces sont tranquilles, sans exceptions; néanmoins le gouvernement, qui ne craint pas les carlistes, mais qui sait combien sont aveugles et téméraires les efforts révolutionnaires, est toujours sur ses gardes il augmente l'armée, organise la réserve, apporte un soin tout particulier la nomi nation des gouverneurs, et se tient prêt tout événement. Les nouvelles apportées de Gibraltar par le Tagus, arrivé Soulhampton, apprennent que la blessure du prince William Adalbert de Prusse marchait rapidement vers sa guérison. Les officiers et soldats blessés étaient aussi dans un état très-satisfaisant. Italie. Voici un trait tout récent qui montre jusqu'à quel point le Pape pousse la délicatesse et le sacrifice de ses intérêts personnels au bien- être général. Depuis la restauration du gouvernement ponti fical sous Pie VII, la famille des Comtes Mastaï jouissait du privilège de présider la foire de Sinigaglia, la plus considérable de l'Italie centrale, bien que celte charge soit plus honorifique que lucrative puisque lesémolumentsqui y sont attachés s'élèvent peine quelques milliers de francs, la famille Mastaï y attachait une grande importance, et en jouissait sans contestation, attendu qu'elle est la plus considérable de l'endroit. Or, la mort du dernier titulaire, la comtesse Mastaï, sa veuve, adressa une supplique au Souverain-Pontife pour lui demander que son fils, le propre neveu de Pie IX, fut, malgré son âge peu avancé, investi de la charge paternelle, qui serait administrée, jusqu'à sa majorité, par le comte Mastaï, son oncle, frère du Pape et du comte défunt. Le Pape manda le ministre des finances, et s'enquit s'il ne serait pas possible de réaliser une économie en supprimant la présidence de la foire de Sinigaglia. Le ministre, voyant où tendait la question, s'abstint, par déli catesse, de donner son avis, et objecta le peu d'importance de la chose, mais ayant, sur l'ordre du Pape, consulté le directeur des douanes, il dit que la charge était purement honorifique et qu'un simple commis pourrait s'en acquitter moyennant quelques centaines de francs. Eh! bien, dit le S'-Père, nommez un commis. Le ministre eut beau représenter que cette décision mécontenterait la famille Mastaï et la noblesse des Marches, l'ordre dût être expédié. Quand il arriva Sini gaglia, le comte Mastaï en fut si frappé, qu'il tomba malade. On vint en porter la nouvelle au S'-Père, en le suppliant de révoquer son ordre, mais il se contenta de répondre Je ne suis pas le Pape pour faire les affaires de ma famille, mais bien pour administrer celles de l'État; et la charge demeura supprimée. Un pareil trait n'a pas besoin de commentaires. L'armée papale se compose de 2 régiments de ligne, 5,200 hommes; 2 bataillons de sédentai res, 1,200; 1 bataillon de chasseurs, 800; 1 compagnie d'invalides, 2ôo 1 régiment de dragons, 700; 1 régiment d'artillerie, 800; 2 régiments étrangers, 5,800; 5 légions de gendarmerie, 5,6oo; état-major et officiers du génie, 5o offi ciers de santé et conseil sanitaire, 24; état-major delà place, 4o; état-major général, i5; ministère et intendance, 80. Force totale i4,557. VAN EENE ALLERBESTE PARTIE TI IL^ËMD[Nl©lnlIi. Met het liouden van twec zitdagen wanof den eenen voor den 1NSTEL hepaeld is op Donderdag i8cn September i856, en den tweeden voor den DEFIISITIE FEN OFER- SLAG Donderdag 2°n October volgende, telkens ten twee uren desnamiddags 1er lierberg het Gouden Hoofd te Elverdinghezal cr door d'ambtsverrigting van den Notaris T1TECA te Boesinghe met de tusschenkomst van den bevoegden Heer Frederegter openbaerlyk ver- kocht worden Eene aller besle partie G ARS L AN D ter grootte van 58 aren 45 cenliarengelegen ter gemeente van Elverdinghe, noord oost by de plaetse, houdende van oosten aen 't zaeiland van d'Heer Charles-Louis Fermeulen, zuid de straele van Elverdinghe na Boesinghewest het behuisd land van d'Heer Charles Breyne te Brussel, noch west het zaeiland van Mynheer den graef D'Hust, en noord den Molenput, Laelst gebruilt door de linderen Tierssoone en om handslasT met bavo aenstaende. Er zal een half ten honderden voor stelpennink te vvinnen zyu. (1) Elk zeg het voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3