BEESTIALEN,
ANNONCES.
VERKOOPING
OVERSLAG.
"TURQUIE.
FRANCE.
ANGLETERRE.
ALLEMAGNE.
ESPAGNE.
ÉTAT-CIVIL D'ÏPRES,
décès 5.Vanbeylen, Mélanie, i3 ans, den
tellière, rue du Quartier Neuf. Deman, Jeanne,
80 ans, sans profession, célibataire, Courte Prairie.
MEUBELEN EN AKKERALM
EB S&EMIS&IEE&S'E.
Stcdie van den Notarié LAMBIN, te Ypre.
ZATERDAG 27e" SEPTEMBER, 1856,
ten 2 uren namiddag, in de estaminet
Sf-Lauretis, te Ypre, van 4 bectaren, 52
aren, 81 c°, volgens kadaster, goede patri-
moniele ZAEILANDEN en MEERSCH,
gelegen in de gemeente Reniuglielst
ïangst de Kwakkelstraete; de oostersche
introduit l'intérieur, il a reçu ainsi que 1 Impé
ratrice l'oDction sainte des mains du métropolitain
de Moscou. Ce n'est qu'après cette dernière céré
monie que la communion impériale a eu lieu.
La messe a été suivie d'une longue prière pour
l'Empereur.
Le Czar a quitté le lieu Je la cérémonie pour se
rendre au palais.
Le soir a eu lieu l'illumination de la ville et du
Kremlin. Ind
La Porte a renoncé h son expédition contre le
Monténégro, et consenti b ce que cette affaire fut
réglée par la Conférence de Paris.
Une communication du Ministre des finances
fait savoir que le décret du 12 mars 1856, s'appli
que non-seulement aux pièces b la tète de Liberté,
mais a toutes les anciennes pièces d'un sou et de
deux sous. C'est donc toute la vieille monnaie de
billon qui doit disparaître avant le 1" octobre.
La soustraction de 5,747 actions effectuée,
au préjudice de la compagnie du chemin de fer du
Nord, par les nommés Carpentier et Grelet, cais
siers au service de la susdite compagnie, prend
chaque jour des proportions plus graves. Les deux
complices, ont pris, h Liverpool, le Fulton, pour se
rendre h New-York. On assure qu'un inspecteur
du chemin de fer du Nord, M. Tisserandier, s'est
rendu a Liverpool accompagné de plusieurs
agents de police, afin de s'y embarquer avec eux
pour New-York. Les voleurs sont au nombre de
quatre; ils ont avec eux une lorette et un petit
garçon. L'instruction vient de démontrer que ces
individus trompaient l'administration depuis 4 ans.
Un rare exemple de persévérance, heureuse
ment couronné de succès vient de nous être
signalé. Une jeune fille de la campagne, Victorine
Lavalette, s'est toujours sentie un goût passionné
pour l'étude. Les parents étant trop pauvres, non-
seulement pour la faire instruire, mais encore pour
pouvoir se passer du gain qu'elle pouvait leur pro
curer par son travail, l'envoyèrent en condition h
Belfort. La chez un boulanger des plus en vogue
où certes la besogne ne lui manquait pas, elle trouva
le moyen, eu prenant sur les heures de sommeil, de
compléter son instruction et d'obtenir un brevet
d'institutrice au concours qui a eu lieu Colmar le
28 août dernier. Le concours comportait 37 aspi
rantes; 2oontétééliminéesaux premièresépreuves,
et Victorioe Lavalette a eu un des premiers numé
ros sur les 17 reçues. Courrier du Bas-Rhin.)
Dimanche i4, dit le Salut public de Lyon, une
des baraques d'un des nombreux saltimbanques, qui
se sont établis, a l'occasion de la vogue, dans les
prairies de la Guillotière, a été égayée par une scène
inattendue. Parmi les sujets remarquables annoncés
par le pitre comme devant prendre part la repré
sentation se trouvait la femme sauvage, qui, la tête,
affublée de plumes, le visage orné d'une magnifique
barbe noire, préludait a ses exercices en mangeant
des étoupes enflammées. La femme sauvage devait
se faire casser des cailloux sur le ventre et porter
en guise de crinoline les kilos de la plus grosse
espèce, d'après l'expression du grand Bilboquet.
Tandis que le pitre détaillait toutes les merveilles
qui, pour le prix de 10 centimes, allaieul défiler
devant les regards émerveillés des spectateurs, un
paysan ne perdait pas de vue la femme sauvage.
Jeannette, s'écrie-t-il. A ce nom la femme saavage
se retourne. Plus de doute, c'est elle! reprend
le paysan, et il s'élance sur les trétaux, arrache
nette barbe qui faisait naguère l'admiration de la
foule et applique sur la joue parfaitement imberbe
'e plus vigoureux soufflet qui ait jamais retenti sous
In calotte des cienx. Cette femme n'était autre
que celle du paysan, qui habile les environs de
Màcon, et qu'elle avait abandonné pour suivre un
séducteur, ce qui prouve qu'elle était beaucoup
®oins sauvage qu'elle aurait dû l'être.
Le théâtre royal de Liverpool vient d'échapper
j un immense désastre, pendant la représentation,
des gardiens s'apercevant d'une soudaine
3
irruption de gaz dans les couloirs, courut aux
tuyaux conducteurs et y trouva un ouvrier occupé
b scier une des branches alimentatrices. Déjà le
fluide était répandu en abondance, et quelques
secondes plus tard une explosion était inévitable.
On ignore si cet ouvrier, qui avait été renvoyé le
même soir des travaux pour cause d'ivresse, était
mû par un désir de veugeance ou une intention de
vol. La salle était comble cause d'un bénéfice. On
tremble l'idée du malheur qui aurait pu arriver.
Les journaux anglais publient comme une
chose fort naturelle, l'annonce qu'on va lire
a Courses de Wilmslowseptembre 1856.
John Fletcher, logé b l'auberge de la Tête du
Monarque, éprouve un grand plaisir b annoncer
ses nombreux amis et aux étrangers assistant aux
courses de Wilmslow qu'il s'est acquis les services
de John Smith, de Dudley, l'exécuteur de feu
William Palmer, b Staffort; le même a été assez
heureux pour pouvoir se procurer, par l'intermé
diaire de ses amis b Liverpool, un moule représen
tant la face, les traits, et formant une reproduction
exacte du patient, vêtu des habits qu'il portait le
matin de l'exécution. Il y aura un échafaud et un
gibet, avec un cortège d'officiers en uniforme qui
exécuteront la cérémonie de la pendaison dans tous
ses détails, deux fois chaque matin, tant que
dureront les courses. La représentatiou commen
cera b 10 heures et b midi.
Prix d'eotrée 1 schelling par tête, pour lequel
on aura droit b 6 pences de rafraîchissements.
Le Journal militaire de Vienne, entre autres
preuves de l'excellente discipline des soldats de
l'armée autrichienne, cite le fait suivant depuis le
i5 août, le drapeau blanc flotte sur la prison du 9"
régiment de hussards (prince Lichtenstein)b
Pardnbitz, aucun homme de ce corps ne s'étant
rendu coupable d'une faute susceptible de donner
lieu même b une enquête de la justice militaire.
Le même fait s'est également produit, depuis le
i4 août,.dans le régiment d'infanterie de ligne de
l'archiduc Albert, b Inspruck.
Le Wurtemberg, ce pays si avancé dans la
civilisation matérielle, confirme, par ses statistiques,
ce que l'on a observé depuis longtemps touchant
l'influence inorale du progrès. Les annales judiciaires
enregistrenten Wurtemberg quatre fois plus de cas
criminels qu'on n'en compte en Bavière, et quatre
ou cinq fois plus qu'en France; sept fois plus de
ventes b l'enchère qu'en Bavière, et huit fois plus
qu'en France. On peut remarquer aussi que le
premier de ces trois pays est, en prédominance,
protestant, tandis que le seul trait commun b la
Bavière et b la France est le catholicisme.
On lit dans la Epoca Le gouverneur civil
de Madrid a rendu un grand service b la Banque
espagnole de Saint-Ferdinand et au commerce de
Madrid. La Banque, b différentes reprises, a fait de
grandes dépenses pour découvrir la fabrication de
faux billets de cet établissement et n'a jamais pu y
arriver. M. Alonzo Martinez, non-seulement a
surpris les faussaires, mais encore s'est emparé des
planches et d'une immense quantité de papier
parfaitement préparé pour le tirage des billets.
Sans cette découverte si opportune, il ne se
serait pas passé beaucoup de jours sans qu'une
panique ne se déclarât b Madrid parmi les déten
teurs de billets, et que la Banque ne se fût trouvée
dans un embarras pareil b celui qu'elle éprouva en
i846 et qui produisit dans le commerce une si
grande perturbation.
Un journal de Madrid, la Espana, annonce
dans les termes suivants que le gouvernement
espagnol refuse au général Narvaez des passeports
pour rentrer en Espagne
Nous pouvons affirmer de la manière la plus
positive que l'on a refusé au duc de Valence ses
passeports pour l'Espagne. Le général Serrano,
notre ambassadeur en France, interpellé directe
ment b ce sujet par le duc lui-même, lui répondit
que les instructions qu'il avait reçues du gouverne
ment de S. M., l'empêchaient de lui délivrer des
passeports tant que les questions politiques pen
dantes ne seraient point résolues. Tout en formu
lant cet étrange refus, l'ambassadeur déclara au
général Narvaez que le gouvernement avait l'in
tention de lui confier un haut poste diplomatique b
l'étranger. La conférence se termina par la décla
ration du duc de Valence qu'il n'accepterait aucun
poste du gouvernement actuel.
Madrid, mardi soir, 16 septembre.
La Gazette de Madrid de ce jour publie un
décret royal rétablissant la Constitution de i845
avec un acte additionnel.
Les délits de presse seront justiciables du jury.
La réunion des Cortès aura lieu dans quatre
mois, au minimum.
Un Conseil d'Etat est institué.
L'autorisation des Cortès sera nécessaire pour le
mariage du souverain, de l'héritier de la Couronne,
et pour l'aliénation de leur patrimoine.
Du 13 Septembre au 19 inclus.
Naissances 10. Sexe masculin 2; féminin
8. Un mort-né du sexe féminin.
Mariages 3. Vanheule, Pierre, 20 ans,
tailleur, et Vlaeinynck, Virginie, 20 ans, dentel
lière. Verheyde, Pierre, 22 ans, tisserand, et
De Couinck, Julie, 19 ans, dentellière. Messiaen,
Édouard, 29 ans, domestique, et Oozeel, Barbe,
25 ans, servante.
De Grendel, Jeanne, 70 ans, sans profession,
célibataire, rue des Pauvres Filles. Vandoo-
laeghe, Marie, 54 ans, journalière, épouse de
Louis Dubois, rue de Meuin. Veikouter, Pierre,
8 ans, rue de Terre.
Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe
masculin 2; sexe féminiu 3.
VAN
Op DONDERDAG 2«n OCTOBER ,856,
ten 9 uren 's morgens, zal'er openbaerlyk Ver-
logt worden ter Hofstede gebruikt door de
kinders Veuhaeghe te Reninghelsl, niel verre
van de plaelse, het volgende
1° - 7 schoone Melkkoeyen, 3 Veerssen, 4
Drinkeling Kalvers, 3 velte Zwyrts en 2 rnager
34 aren Bitteraven en 5,000 Hoppe perssen,
verdeell in koopen t'elks gerief.
2° - De Meubelen beslaende in Tafels,
Sloelen, Kleerkassen, CommodeBuffet, Slag-
horlogie met Kasse, Koper- Yzer- en Tinwerk
en ander Huisraed.
3° - Vorken, Grepen, Spaen, Houwen, fVind-
molen en Graenzif'ten, Keern en Kuipewerk,
Haelpompe en andere voorwerpen.
Deze Verkooping zal geschieden met rede-
lyken tyd van betaling mits stellende goede en
welbekende borge, vuor de koopen van 1 o francs
en daer boven, de andere gereed te betalen, en
onder de voorwaerden voorltelezen ten dage
der verkooping.
(1) Elk zegge het voorts.