QNROERENDE GQEDEREN. A LOUER UN PIANO D'ERARD FINALEN OVERSLAG ANGLETERRE. ALLEMAGNE. VE Se Une MAISON, avec Beau-Jardin garni d'un grand nombre d'Arbres Fruitiers, situé Ypres, au bout de l'impasse des Capucins. S'adresser au Notaire Y AN DE R- MEERSCH, Ypres. (5) PASSCHENDAELE, by den stuiver. Staet nog macr fr. 17,200-00. Staet fr. 500-00. Staet fr. 2,855-00. ZONNEBEKE. Staet fr. 1,625-00. WESTOUTRE. Staet macr fr. 1,700-00. francs; il s'empressa de porter cette somme un desservant de l'église de la Croix-Roussene voulant pas s'approprier le bien d'autrui. Le prêtre, touché de la probité du brave homme, dont la position est voisine de la misère, raconta ce trait quelques personnes; une collecte fut improvisée et produisit 80 francs, qui furent remis l'hon nête ouvrier. {Salut public de Lyon.) L'usioe du Creuzot est devenue le noyau d'uoe ville où l'on vient de constater une popula tion de i3,390 habitants, vivant tous des travaux de l'établissement. Cette population n'était que de 3,700 âmes en 1837. L'usine emploie 7,000 hommes. Tout le commerce de consommation se fait par les familles des ouvriers. La localité ne renferme, en dehors de la population exclusive ment industrielle, que vingt-huit agriculteurs et vingt-sept rentiers ou propriétaires. On écrit de Béziers: Le soldat français qui fut tué l'an dernier dans les Principautés danu biennes sous prétexte d'irrévérence envers un officier autrichien, était le nommé Dulac, des Cazouls-lès-Béziers. Le père de ce militaire vient de revenir d'Autriche porteur d'uoe somme de 38,000 fr. que lui a été compté comme indemnité le gouvernement autrichien. L'agitation causée par la cherté permanente et l'on peut même dire croissante des vivres, n'a point cessé tout a fait. On parle de grèves du côté du faubourg Saint-Antoine et de quelques nou velles arrestations. Un douloureux événement est arrivé hier soir dans l'établissement connu sous le nom de Surrey Gardens. Un prédicateur nommé Spurgeonavait annoncé un sermon qu'il devait prononcer dans la salle de l'établissement, 8 heures; plus de 12,000 personnes y étaient réunies et M. Spurgeon avait commencé les prières, quand le cri au feu partit d'un des côtés de la salle. A l'instant, ce fut un sauve-qui peut général Tout le monde se précipita vers les issues; parmi les auditeurs placés daDs la galerie supérieure quelques-uns brisèrent les fenê tres et se précipitèrent sur le sol; d'autresgagnèrent l'escalier qui menait en bas; mais dans la pression exercée par la foule, la rampe céda, et bon nombre fut jeté d'une certaine hauteur. Aux portes, le désordre était immense C'était qui sortirait le premier, et dans la lutte, plusieurs personnes furent littéralement étouffées ou foulées aux pieds. Le nombre des personnes tuées, soit en se précipi tant des fenêtres, soit en tombant de l'escalier, soit par la pression exercée par la foule, se montent h huit, savoir six femmes, un homme et un enfant de i5 ans. Le nombre des blessés s'élève h plus de 60. Le cri au feu! n'avait rien de fondé et on pense qu'il a été ponssé par la malveillance. Les uns l'attribuent h des ennemis du prédicateur, qui ont voulu faire déserter son sermon; les autres pensent que ce sont des filous qui ont voulu exploiter la foule et le désordre que devait néces sairement causer la panique. Deux autres victimes de l'accident arrivé dimanche soir a Surrey Gardens, sont mortes et plusieurs autressontdaosunesitualion très précaire. M. Spurgeon, le prédicateur, cause innocente du malheurest parti de Londres et a renoncé prononcer d'autres sermons déjà annoncés. Le duc de Cambridge vient d'inaugurer son commandement en chef par un acte de vigueur qui produit une sensation énorme, et qui lui vaut les applaudissements de toute la presse. Il a fait rayer des cadres de l'armée deux officiers, lord Ernest Vane Tempest et William J. Birt, en consé- queuce d'une conduite incompatible avec la qualité d'officiers et d'hommes bien élevés, et subversive du bon ordre et de la discipline militaire. Les faits reprochés ces deux officiers sont des excentricités et des violences de mauvais goût l'égard d'un de leurs camarades. Une longue impunité avait fait pénétrer de tels actes dans les habitudes de la jeune aristocratie militaire en Angleterre. On écrit de Malte, i5 octobre, au journal le Sun Dimanche dernier, 12 de ce mois, h deux heures moins onze minutes de la nuit, les îles de Malte et de Gozo ont éprouvé des secousses de tremblement de terre si violentes et si longues que les plus vieux habitants ne se souviennent pas d'en avoir ressenti de semblables. L'alarme occasionnée par ces secousses a été générale. Au premier choc, tout le monde réveillé en sursaut s'est précipité de son lit et de sa demeure. Il y a eu deux secousses de deux minutes, séparée par une durée de temps peine appréciable. Dans la ville de la Valette, pas une seule construc tion peut-être qui ne soit plus ou moins endomma gée. Pendant les secousses la mer s'est retirée de deux pieds et demi. A Civita-Vecchia, dans l'intérieur de l'ile, toutes les églises, les monastères, les couvents et l'hôpital ont été fort maltraités. On écrit de Dublin, sous la date de lundi, au Times Chose étrange dire! malgré la situation prospère des classes agricoles de tous les degrés, en Irlande; malgré la beauté de la récolte de celte anuée; malgré les salaires élevés que reçoivent les laboureurs; malgré l'abondance des denrées alimentaires dans les campagnes qui est aussi grande en ce moment que l'a été autrefois la disette des pommes de (erre, le flot de l'émigration, bien loin de diminuer, dépasser encore, cet automne, ce qu'il a été la même époque l'année dernière. Des caravanes nombreuses passent chaque jour h travers la ville pour se rendre dans les ports d'embarquement. Et ce qu'il y a de pire cette année, c'est que les émigrants appartiennent la classe la plus aisée des agriculteurs, et compren nent les fils, les filles de travailleurs qui ont toutes les apparences d'une condition confortable. Au jourd'hui même (lundi), i35 émigrants de l'ouest de l'Irlande partiront du port de Dublin, sur le Waterwilchpour Montevideo. Il y a dix ans, aucun vaisseau n'était sorti de ce port pour cette destination. On écrit de Vienne La nouvelle loi sur le mariage vient d'être publiée, et elle entre en vigueur le 1" janvier 1867, pour tous les catholi ques, dans toute l'étendue de la mooarchie. Voici ses principales dispositions Les mauvaises mœurs ou mauvais principes prouvés ou de notoriété publique, de même que les maladies contagieuses de celui qui veut contracter mariage avec une mineure, comme aussi le manque de ressources nécessaires, sont des motifs légitimes pour refuser le consentement au mariage. Deux personnes qui se sont rendues coupables ensemble d'un adultère judiciairement constaté ne peuvent pas se marier ensemble. Il faut que la déclaration du consentement soit faite devant le pasteur d'un des financés ou bien devant son représentant ou un prêtre autorisé par l'évêqueeten présence de deux témoins. Un mineur qui a contracté mariage doit être séparé de l'autre conjoint jusqu'à ce qu'il ait atteint sa majorité. Le tribunal matrimonial catholique est seul compétent pour prononcer sur la validité de mariages conclus entre chrétiens catholiques et non catholiques aussi longtemps qu'une des parties appartient l'Eglise catholique. Le jugement de nullité prononcé par ce tribunal doit être considéré comme un motif légal de séparation. Le mariage est considéré comme dissous en ce qui concerne ses effets civils partir du jour du prononcé de ce jugement. Le lien du mariage, dont un des contractants appartient l'église catholiquene peut être dissous même par suite d'un changement de religion qui fait passer ce membre l'église non catholique. Quand un des époux est catholique, c'est le tribunal matrimonial catholique qu'il faut saisir delà demande en séparation. Quand ce tribunal a prononcé la séparation de corps vie, la partie non-catholique, peut, en vertu de ce jugement, demander le divorce devant le tribunal matrimonial; elle ne peut, toutefois, dans aucun cas, contracter un nouveau mariage avant que ce dernier tribunal n'ait prononcé le divorce. ÉTAT-CIVIL D* ÏI'RESj l)u 18 Octobre au 34 inclus. Naissances 6. Sexe masculin 2 féminin 4. Un mort-né du sexe masculin. Décès 7. Verbrugghe, Eugénie, 1 o ans, rue des Chiens. Derille, Louis, 24 ans, serrurier, époux d'Emerence Cooren, rue de Menin. Maerten, Laurent, 57 ans, boulanger, époux de Jeanne Bruninrue de Menin. Ladouceur, Sophie, 68 ans, dentellière, veuve de François Andries, rue de Kauwekind. Woets, Colette, 60 ans, dentellière, épouse de Joseph Amant, rue de Menin. Serpentier, Caroline, 54 ans, journa lière, célibataire, rue de Menin. Rnockaert, François, 5i ans, journalier, époux de Sophie Debaene, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans 1. Sexe masculin 1; sexe féininio La personne qui aurait perdu une BOUCLE D'OREILLE, peut venir la réclamer au bureau de cette feuille,moyennant de reproduire le pendant. A VENDRE D'OCCASION entièrement neuf (3) S'adresser chez M. Thiebault-hage. van Den Notaris CHRISTIAEN, te Passchendaele, zal op den 29e11 October 1856ten 3 ueren na namiddag, te Zonnebeke in het dorp, ten Huize van Gemeente overgaen, tôt den OVERSLAG, zonder verderen uilslel, der volgende Goederen, gelegen op i° Eene HOFSTEDE, grool in Erve h. 10-71-53, gebruikt by Jean Place. 2° Eene party MEERSCH, groot II. 0-1 5-33, gebruikt by Vanheule. 5° h. 1-71-10 goeden BOOM- en TAILLIF, BOSCH, met de Katheilen. 4° H. 0-87-59 ZAEILAND, gebruikt by D'heere. 5° h. 0-72-99 goede GRASWEIDE, gebruikt by Buseyne. De konditien by dito Notaris. Ook iolich- tingen te bekomenby de Notarissen ROUTEN en VANDEPUTTE, te Rumbeke. 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HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1856 | | pagina 3