BERIGT. EIKEN BOOMEN JP&ilïiaSDataa» MENAGIE GOEDEREN, Granen en Fouragien, Beestialen, enz. hoesteBmmmm TE RENINGHE. GEMEENTE RENINGHE. nouvelles diverses. Sa Sainteté a fait tenir de Belgique des exem plaires de l'outrage de Mgr Malou sur l'Immaculée Couception, pour les offrir aux 5o théologiens qui ont été consultés sur la définition du dogme. On écrit de Comiues, i3 février.* Avant- hier vers midiun mauvais sujetle nommé Séraphin Droulez, journalier au hameau du Kruys Eecte, s'est lancé sur sa mère, l'a terrassée, et l'a battue tellement que le sang loi jaillit de la bouche et qu'elle demeura sur le carreau sans proférer une parole. Aux cris qu'elle avait poussés au moment de l'attentat, les voisins sont accourus et ont relevé cette malheureuse mère; l'auteur de cette tentative de matricide a pris la fuite. La distribution de médailles dites de Sainte- Hélène, anx soldats du vieil Empire, a été faite dimanche dernier, dans plusieurs localités de celte province; entre autres Thourout, où4i vétérans ont reçu ce souvenir; b Knocke, b Ardoye, etc. Un journal de Charleroy assure que M. Baugniet vient donner sa démission de vice- président du tribunal de cette ville. Pendant le mois de janvier, 4,317 lettres sont tombées en rebut, les adresses étant incom plètes, illisibles ou inexactes. C'est environ mille lettres de plus que dans les autres mois. L'instruction du procès relatif b l'attentat du i4 janvier dernier est terminée. La chambre des mises en accusation a entendu vendredi le rapport que lui a présenté \I. Salle, substitut du procureur général, sur le résultat de cette instruction, et, en conséqueuce de ce rapport, la Cour a rendu un arrêt par lequel elle renvoie devant la Cour d'assises de la Seine les nommés Joseph Pierri, Charles de Rudio, Antoine Gomez, Félix Orsini et Simon-François Bernard. Ce dernier accusé est absent. Ces cinq individus sont accusés d'avoir formé un complot ayant pour but un attentat contre la vie de l'Empereur et de l'Impératrice, Rudio, Gomez et Orsini sont de plus accusés d'avoir commis cet attentat. En outre, ces trois derniers individus sont accusés d'avoir commis le crime d'assassinat sur différentes personnes. Le nombre des personnes atteintes dans la soirée du i4 janvier s'élève i56, sur lesquelles huit ont succombé b leurs blessures. On présume que l'affaire sera portée aux assises pendant la deuxième quinzaine de ce mois, mais le jour n'est pas encore fixé. Un récenseuient général se fait en ce moment sur tous les étrangers qui se trouvent soit Paris, soit dans les départements, soit même, d'après d'autres ordres donnésdans les colonies. Une enquête s'établit, ajoute-t-on, sur l'exactitude de la nationalité et la nature de la profession de chacun. Les ordres du préfet de police relatifs b la surveillance des hôtels garnis concordent sans doute avec celte mesure. On écrit de Venise, le 7, la Gazelle autrichienne: La température rigoureuse de cet hiver a été cause d'une misère profonde pour les quelques centaines de pêcheurs qui habitent la petite île de Burano, dans les lagunes. Les canaux étant gelés, la pêche était suspendue, de même que les arrivages de bois et de vivres. Les faibles res sources pour l'adoucissement de l'indigence étaient épuisées, et l'on pensait avec effroi au lendemain, quand arriva un secours inattendude 1,600 livres, envoyé par l'archiduc Maximilien et l'archidu chesse Charlotte la première nouvelle de la détresse de ces pauvres gens. Les secousses de tremblements de terre con tinuent Potenza et dans d'autres communes de la Basilicate; elles paraissent toutes avoir le caractère ondulatoire, excepté les deux qui ont eu lieu dans la nuit du 37 janvier, vers trois heures trois quaits 3 du matin, et qui ont été légères comparativement, mais par soubresauts. Celles de la nuit du 23 ont produit d'autres dégâts dans les habitations de Brienza, sans qu'il y ait eu néanmoins de victimes; celles du 29 ont été fortement ressenties Matera. A Muro, la secousse de la nuit du 22 au 23 a obligé tons les habitants de ressortir de leurs mai sons, malgré le froid vif, mais sans produire d'autre dommage. Dans la liste que l'on continue de publier des offrandes pour venir au secours des victimes de ces tremblemeots de terre, nous trouvons que le consul de France, M.Soulange-Bodin, a fait remet tre 2,000 fr., offerts par un anonyme qui les avait déposés Paris entre les mains de S. Exc. le comte Walewsky. Journal des Deux-Siciles.) Il a été remis Minden, a LL. AA. RR. le prince et la princesse Frédéric Guillaume, comme présent de la Westphalie un superbe cheval blanc armoiries de l'ancien "duché de Westphalie un jambon de Westphalie, provenant d'un porc qui pesait y5o livres; un immense pompernickel (sorte de pain de la contrée); une pièce de toile de ménage produite et travaillée dans le pays. Un crime affreux a été commis, dans la nuit du 5i janvier au 1" février, Beaumont sur Vingeanne (Côte d'Or), M. Guignard, marchand épicier, a été trouvé assassiné en son domicile ainsi que ses deux filles. Le corps de Guignard père était étendu sur le sol de la cuisine au milieu d'une mare de sang provenant de plusieurs blessures faites la tête au moyen d'un marteau. Aucun désordre n'existait dans cette pièce. Au premier étage gis- saien,t les corps inanimés et affreusement mutilés des deux jeunes filles, l'uue âgée de vingt-trois ans, l'autre de onze. Ces jeunes filles ont dû être assassinées dans leur lit commun, situé au pied de celui de leur frère. Elles avaient la tête entièrement baignée de sang. L'aînée a reçu, en outre des coups de marteau, sept coups d'un couteau pointu et deux tranchants, trouvé sur la table de la cuisine et placé côté d'un marteau et d'une cognée tout sanglants. Une chemise teinte de sang a été trouvée sur le lit des victimes. C'est la chemise du fils Guignard, jeune homme de dix-neuf ans, qui a déj'a des antécédents détestables et que la vindicte publique et les présomptions les plus graves accusent d'avoir assassiné son père et ses deux sœurs. Un bougeoir ensanglanté était côté de son lit. Sorti de Beau- mont cinq heures du matin, il s'est rendu Mirebeau et y buvait a huit heures, chez Girod, aubergiste, une bouteille de vin. Aucun trouble ne se faisait remarquer en lui. Retourné Beaumont, il a été arrêté par le garde champêtre et a nié être l'auteur du triple crime qu'on mettait sa charge. Conduit et deshabillé en présence du commissaire de police de Mirebeau, on remarqua une large tâche de sang sur son genou gauche. Aux questions que lui adressa le commissaire sur l'origine de cette tâche, il pâlit, mais ne répondit rien. Mis ensuite en présence des trois cadavres, il n'a pas versé une larme, il n'a pas manifesté la moindre émotion. Et cependant il avait Ih sous les yeux son père et ses sœurs, horriblement mutilés. Tous les spectateurs étaient profondément émus; lui seul restait impassible h la vue de ce navrant spectacle. Le soir, b neuf heures, après nnjinterrogatoire de cinq heures on assure qu'il a soupé comme si de rien n'était et a mangé d'un très-bon appétit. Op VRYDAG 19"1 FEBRUARY i858, ten een ure namiddag, ten huize alwaer Isabella Verbouwe on/angs overleden is, in de Sc-Jans Kruysse te Poperinghe zal er gehouden wor- den Verkoopinge van de MeubelenMenagie Goederen en Lynwaedhet Beddelyk en Dekkelyk, al het Yzer-, Koper-, Tin-, Glas-, Galeis-Porcelyn- en Aerdewerken, alsmede aile de verdere roerende voorwerpen aldaer te bevinden. (2) WHTOQTQI VAN EN op zon1nebeke, zcyd-avest by het dorp. Op WOENSDAG 3'n MAERT i858, te be- ginnen met den middagzal den Notaris CHRISTl AENby openbare Vendilie ver- koopen op Zonnebeke, zuid-west van het dorp, by den molen van S' Renty, in de bosschen der erfgenamen van M' Van Iseghemomirent 100 koopen Boomen, waer onder schoone Eiken dienstig voor Timmer- Kuip- en ander werken, veel Plantsoenen en eenige Larixen. Op gewoone konditien en lyd van betaling mils begoede borg slellende. De vergadering in gemelde Bosschen by koop 11 door sterfgeval. T3?.Z0C?I1T& van i. iMiisoiALLAEM ALS 00 K. BEN BEHUISD F.N BETIMMERD Op DONDERDAG 25" FEBRUARY 1858, ten 12 ueren 's middags, ten sterfhuis van Jacobus Cornelis Catteeuw, in de gemeenle Reninghe, verre zuid van des zelfs kerk, zal'er op gewoonen lyd van betaeling Verkogt worden aile zyne naergelaelen Menagie Goederen, Kuyp en Keern Allaem, Landboutvers Allaem, Granen en Fouragieneene schoone. Melk- Koeyenz En den zelven dag ten 4 ueren 's namiddags, 1er herberg de Trompe, in de zelve gemeente Reninghe, zal men openbaerlyk Verkoopen, in eene enkele zitting, de volgende onroerende Goederen EERsten koop. - De behuisde en belimmerde HOFPLEK met 43 aren 80 c.entiaren onder Grond van Gebouwen en Gars, gestaen en gelegen te Reninghe, aldaer bekendper kadas- ter sectie D, N823 en 824, strekkende oost en west, palende van zuiden het Hazelaerken zynde bosch van MStruye-Provoosl en van westen het land vermed onder den volgenden koop. en tweeden koop. - Eene partie ZAEY- LAND groot volgens litel 4i aren o5 centiaren, en volgens kadaster sectie D, N' 821, 38 aren tien centiaren, gelegen nevens het voorgaende, strekkende oost en west, palende met het oosl- einde den voorgaenden koop, van zuiden land van den disch van Reninghevan westen het gars van M' Des tuer s Yper en van noorden het land van de kerk van Reninghe. Deze Goederen zyn gebruykt geweesl door voornaemden Catteeuw, den kooper zal daer aen mogen handslaen en in het vry gebruyk komen met i°° Oclober aenslaende 1858. Den Notaris P1ETERS ter residentie van Reninghe is met deze Verkoopingen beiast. (1) Elk zegge het voorts.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1858 | | pagina 3