BELLE PETITE FERME, BERIGT. BELLE MAISON ÉTAT-CIVIL D'YPRES, FRANCE. Ik heb de eer het publiek kenbaer te raaken dal ik PI A NO S- BUFFET en EXPRESSIEVE HARMONIUMS verkoop. Ik hoop door de genadige pryzen dezer Instrumenter! het verlrouwen van het publiek te verdienen. (1) vaa Sint - Martin us Keik tôt Yperen. A VENDRE A LA MAIN RUE DE LOMBAERT, N* 17, A Y PRES. SITUÉE A NEUVE-ÉGLISE, qui condamna le hardi embrasseur, pour injure, b une amende de 10 ib., et le professeur complice de l'embrassade a 5 th. d'amende. Mainteant nos deux parieurs interjellent appel,prétendant qu'un baiser, fut il même imposé, n'est pas une injure. On se demaode comment la cour royale de Meissen se retirera de ce cas difficile et tout nouveau. Il n'y a pas en Europe uoe nation chez laquelle on trouve tant de livres et b si bas prix, ni des livres si bien faits et si commodes b consulter, qu'en Cbine. Sur le catalogue manuscrit d un libraire de Canton, les qoatre livres de Confucius, y compris les commentaires, sont cotés un prix équivalent b 3 fr. yb. Les dictionnaires, les encyclopédies, les descrip tions statistiques, les traités de technologie, les codes, les ouvrages philosophiques, eo un mot, tous les livres qui servent b rendre l'instruction facile, sont très répandus en Cbine, et le gouverne ment lui-même favorise de tous ses moyeos ces sortes de publications. C'est ainsi qu'eo 1775, l'empereur Kien-Long ordonna l'impression d'une bibliothèque générale, composée des ouvrages les plus estimés eo Chine, bibliothèque qui, suivant le décret de ce prince, doit former cent soixante mille volumes. Cette vaste collection formera qoatre bibliothèques appe lées Sse-Kou.ou les Quatre Trésors. L'impression de cette collection gigantesque n'est pas encore termioée; il y a quelques années, elle se composait déjli, d'après un document officiel, de soixante- dix-huit mille six cent vingt-sept volumes; c'est sans contredit, l'uo des plus étonnants phénomènes bibliographiques connus. Aucune grande collection d'Europe, ni celle des bénédictins, ni celle des bollandistes, ne saurait rivaliser avec la collection des Quatre Trésors. Il y avait b la ménagerie de Versailles un droma daire qui languissait loin deson climat. On ordonna pour le réchauffer quatre bouteilles de bon vin qu'on lui donnait tous les jours avec du pain. Le soin de ce dromadaire, qu'on avait a cœur de conserver, fut confié a un suisse de la ménagerie, qui fut exact b lui faire boire quatre bouteilles de bon vin, quoique sans contredit il eût eu encore plus de plaisir b les avaler. Comme malgré tant de soins le dromadaire dépérissait, le bon suisse vint un jour solliciter une grâce. Et qu'elle est cette grâce? lui demanda-t-on. Peu de chose, dit-il la survivance do dro madaire. Pierrot. Quatre figurants se mettent b pomper avec ardeur, et tout l'eau d'un bassin passe dans le corps de Pierrot, qui gonfle b vue d'œil, b la grande stupéfaction des chefs arabes invités b ce merveil leux spectacle, et au milieu des rires de toute l'assemblée. Mais Pierrot a trop bu; il éprouve des douleurs d'entrailles; vite, un médecin. Arrive uo forgeron d'artillerie porteur d'une paire de tenailles géantes, et un vétérinaire armé d un monstrueux yatagan. Pierrot pleure, Pierrot gémit, mais il faut se résigoer; c'est l'afTaire d'une minute pour guérir cette hydropisie phénoménale. Le vétérinaire se met en garde une, deux, il se fend b food dans le ventre malade, d'où échappe, par uoe immense plaie, tout le liquide absorbé. Pierrot est heureux, tous ses mouvements trahis sent le bien être qu'il éprouve; mais le jet d'ean s arrête tout b coup o'ostroé par on corps étranger. Le forgeron s avance, plonge ses pinces recourbées daos 1 abdomen et il en retire un énorme boulet rouge! L'opératioo est répétée. Cette fois, prodige! que sort-il des entrailles de Pierrot? C'est un obus avec sa mèche en feu.' DU Î7 MARS AU AVRIL INCLUS. Naissances 12. Sexe masc. 6, fera. 6. Un mort-né du sexe masculiu. Mariage. Verheyde, Gustave, tisserand, et Velghe, Marie, dentellière. Décès 8.Ferryn, Coruil, 67 ans, chirurgien, époux de Marie-Jeanne Liebaert, rue des Récolets. Flamand, Marie, 82 ans, sans profession, veuve d'Henri Magnel, rue des Chiens. Lannoy, Jean, 68 ans, cordonnier, époux de Barbe Treve, rue de Menin.Nutte, Isabelle, 88 ans, sans profession, veuve de Jean Calmeyn, rue de l'Hôpital Saint- Jean. Van Calteudyck, Gérard, 75 ans, tonne lier, époux de Marie Vuylsteke, rue S"-Godeliève. Eeckbout, Barbe, 59 ans, dentellière, veuve de François Lannoy, rue de Thourout. Lamaire, Jacques, 73 ans, juge de paix pensionné, veuf de Caroline Vanoost, Marché aux Poulets. Legon, François, 6ô ans, employé de l'octroi, époux d'Anne Matsaert, rue de Thourout. Enfants au-dessous de 7 ans 5. Sexe masculin 4, sexe féminin 1. MOaRMAlT, ORGANISr Studie van den Notaris VAN EECKE, te yper. 6,n April i858, um 12 uren 's morgens, Fendilie van 84 koopen Eiken, Popelieren en Beuke BOOMEN. LAR1XEN en groote SPARREN, in de Molenbosch, te Zillebeke, by de Verbrande Moleti. OFERSLAG op 19"1 April 1858, om 4 uren namiddag, ter herberg Vlaenderen te Pas- schendaele, van een welgekalanten KOORN- IVINDMOLEN, HUIS, schoone Stailingen, toe dies h. 5-12-53 cent. GRAS en ZAEI- LAND le Reninghelst, by de plaetse, gebruikt n—r Le terrible projectile s'échappe des tenailles. Il tombe, roule b terre et va peut-être éclater, lorsque Pierrot l'atteint d'une seule enjambée, l'arrête et s'assied sur la redoutable ouverture,tandisque d'un signe de main il exprime l'effet d'un éteignoir sur une chandelle. Toutcela s'est fait avecun si beau sangfroid,avec un naturel si parfait, que l'admiration des specta teurs ne connaît plus de bornes. Un roulement prolongé d'applaudissements frénétiques agite toutes les mains, et toutes les bouches font entendre des bravos si bien nourris qu'ils sont entendus jus qu'au pied de la colline où campe l'armée expédi - tionnaire. Mustapha lui-même, le plus sérieux de tous les Arabes, ne peut comprimer les élans de sa gaieté; il rit, et c'est peut-être pour la première fois de sa vie. Pendant un quart d'heure, Pierrot continue ses exercices, plus surprenants les nns que les autres, et la soirée se termine aussi gaiement qu'elle a com mencé, par une batterie de l'ex-sauvage, exécutant sor son instrument sonore nue retraite des plus door Francis Vandenbussche, lot ien October 1858. Verders nog van 41 aren 20 centiaren ZAEILAND le Passchendaele. Op 20*° April i858 en volgende dagen, F endilie ten huyse alwaer Madame Evrard overleden is, te Yper, S1 Jacobs strael, van aile de Meubelen, meest al in Acajou en Keersse- laeren bout; Chrislael en Glaswerk Spiegels, Porceleyn en Galeis, Ryluig Çhar-à-banc Bordeauwyn en veel Brandhout. Le même Notaire est chargé de Fendre de GRE-A-GRE: La Belle MAISON {Hôtel) de feue Madame Evrard, en ville. 2° La GRANDE FERME d'origine patrimoniale, nommée Mnerkerke, dans les Moeres, avec ses vastes Bâtiments, d'une con tenance de 5o hect. 11 ares, louée 3,800 francs, par dessus les contributions. Vit er hand te pachlen de wel gekalante herberg FOURN 1ERmet Stailingen en Ma- gazynen by de Stalie l'Yper. (1) une située Etude du Notaire TIIERRY a Neuve-Eglise. UNE près du bourg, W d IKJ M I Avec gains de mite h prix et d'enchère». Le Notaire THERRY b Neuve-Église, procé dera b la Vente publique de la Ferme ci-dessus iudiquée, tenant eu partie au pavé de Neuve-Eglise au Seau, de la conteoauce de 3 hectare» 70 ares 25 centiares, divisée en 7 lots, occupée sans bail par le sieur Fidèle Lempisse, La MISE A PRIX aura lieu le Jeudi i5 Avril 1858, b trois heures de relevée, b l'auberge tenue par le sieur Savage. S'adresser pour les conditions audit Notaire THERRY. (1) savantes et en même temps des plus originales. Les invités quittent lentement la splendide enceinte où ils viennent de passer de si joyeux instaots, et pendant qu'ilsse dirigent vers le bivouac silencieux de la forêt, les artistes du Méchouar vont prendre leur part d'un festin de Baltbazar où les attend uo régal dès longtemps oublié. Ils ont du pain blanc au dessert Deux jours a près cette mémorable représentation, acteurs et spectateurs se mettaient en roule pour aller faire leur partie daos uo concert bien autre ment sérieux que celui de l'avant-veille. L'armée entière, b l'exception des hommes malingres restés b Tlemcen, marchait sur la Sicka, où Abd-el- Kader avait réuni des forces considérables qui furent dispersées en quelques heures. Les fantassins réguliers reçurent seuls de pied ferme la charge du deuxième régiment de chasseurs b cheval d'Afrique; mais de ce beau bataillon, doot la formation avait coûté tant de mal a l'émir, il ne resta de vivants que cent soixante-deux hommes, les premiers prison niers de guerre qui furent conduits eu France depuis la conquête de l'Algérie.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1858 | | pagina 3