HOFSTEDEN
BELLE MAISON
ÉTAT-CIVIL D'YPRES,
VRYWILLIGE VERKOOPING
VOLSTREKTE TOEWYZING
OP ZONNEBEKE.
Op Donderdag 20" Mey 1858, ten 2 uren
namiddag, ter herberg van Sr Vuylsteke,
te Zonnebeke, in het dorp, zal door den
Notaris CHKISTIAEN, te Passchendaele,
overgegaen worden, tôt de Volstrekte
Toewyzing van
1° Eene schoone en goede HOF-
STEDE, zynde Famillie-Goed, groot in
Erve H. 24-89 05, gelegen op Zonnebeke,
by S1 Juliaen, (Langemarck), gebruikt by
sieur Francis Samynmits de jaerlyksche
pachtsom van fr. 2.000 00, boven de lasten
en besproken hoofdkleed.
Stact fr. 56.200-00.
2* Een HOFSTEDEKEN, groot in
Erve H. 2 07-14, gelegen als vooren, ge
bruikt, by David Duriez, rails fr. 190-00,
boven de lasten, by de jaere.
Staet fr, 5,200-00.
3° Een HUIS en H. 0-24-35, ERF,
ook gelegen als vooren, gebruikt, by
Vermeerscli.
Staet fr. 1.200-00.
En 4- Een HUIS met HOVENIER-
HOF, groot H. 0-08-20, op Zonnebeke, in
het dorp.
Staet fr, 1,095-00.
De konditien by dito Notaris, en by den
Notaris VERLEZ, te Moorslede. (i)
Allerhande schoon en nieuw Porselein,
Gleis, Kristal en Glaswerk alsook Steen
en Aerdwerk, ten huize van sieur Jacobus
Princen, winkelier t'Yper, Rysselstraet
N° 4, op den 24" Mei 1858 en volgende
dagen, ten 10 uren voor en ten 2 uren
namiddag.
De Notaris LAMBIN t'Yper, is met deze
Verkooping belast. (i)
19" MEI INSTEL en 2" JUNY 1858,
OVERSLAG in Parnassus Hof, t'Yper, van
verscheide wel gelegen HU1ZEN met HOF
en ERVE.
La GRANDE FERME, d'origine patri
moniale, nommée Moerkerke, dans les
Moeres, avec ses vastes Bâtiments, d'une
contenance de 50 hectares 11 ares, louée
3,800 francs, par dessus les contributions.
On vendrait 3 (s)
étrangères ont pesé sur eux, pour les empêcher de
reprendre des fonctions que, par uo simple senti-
raeQt d'buiuaoité, ils n'auraient jamais dû abon-
donner. (Bien public, de Gand.)
Oo achève, en ce moment, le placement de
boit neuf mille fortes perches h houblon, dans les
bruyères de Putte et de Calmpthout. A cette vue,
on se croit transporté daos les riches terres d'Alost
ou de Poperinghe. Ces plantations attirent depuis
plusieurs jours la sérieuse attention d'agronomes
étrangers.
M. Rogier passe, pour les nouveaux de son
parti, l'état du vieux burgrave du drame; ils
paraissent croire qu'il a fait son temps et qu il ne
ferait pas mal de se retirer dans quelque vieux
donjon libéral hanté par les spectres de la dîme et
de la main-morte. Il y a aussi eo l'air, parmi eux,
quelque chose qui se pourrait traduire par le vieil
adage Oie-toi de là que je m'y mette! et qui se
révèle, en tactique parlementaire, par de petites
tacquineries de détail. Émancipation
Les sections de la Chambre ont examiné les
projets de loi relatifs l'augmentation du per-
soonel de divers tribunaux, et l'échange de biens
enclavés dans le doraaiue de Tervueren. Elles ont
constitué leurs sections centrales, la première, de
MM. Van Overloop, de Luesemans, Jacquemyns,
Wala, Ch. Lebeau et Deliége, sous la présideuce
de M. Orts; la seconde de MM. David, Mascart,
Denayer, Godin et Lesoinne, sous la présidence de
M. Verhaegen.
Uo pauvre vieillard de Lille, voyant appro
cher le jour où son fils, conscrit, allait être forcé de
rejoindre son corps, s'était décidé mourir afin de
libérer le jeune homme comme fils de veuve. Dans
cette pensée, il était monté son grenier et s'apprê
tait faire usage de la corde déjà préparée par ses
soins, quand sa femme et son fils, qui soupçonnaient
ses intentions, arrivèrent temps pour arrêter
l'exécution du projet et parvinrent a lui faire pro
mettre d'y reooncer sans retour.
On sait que le comte de Pradel ne pouvait
parler qu'en vers, et quand il était forcé d'écrire en
prose, c'était encore des vers, car il rimait, comme
Ovide, sans le savoir; cette infirmité ne nuisait
pourtant pas la clarté de son style; oo en jugera
par la lettre suivante, dont il n'est rien moins
qu'impossible de ne pas contester l'authenticité:
Ou prétend que le ministère doit récompenser
le talent, mais vraiment il ne le peut guère, car il
a faudrait auparavant chercher en dehors de la
clique de votre corps académique et du personnel
intrigant, ce qui fait si peur en Belgique et surtout
au gouvernement, le personnel intelligent...
Autriche. tienne, 3 mai. Il y a eu
hier au soir réception des dames de la noblesse
admises la cour, dans les appartements de l'archi
duchesse Charlotte, an palais impérial. C'était un
coup d'ceil magnifique que cette réunion de taDt de
femmes éclatantes de beauté et de parure. Le
nombre eo était si grand que les présentations ont
duré deux heures. Demain au soir, l'archiduchesse
recevra les conseillers intimes et les chambellans de
la cour.
ESPAGNE.
La Gazette de Madrid publie le projet de loi
préseoté aux Cortès, par le ministre des finances,
pour la restitution l'Église des biens du clergé
séculier. Ce projet, est précédé de l'exposé des
motifs suivant
Les propriétés du clergé ayant été proclamées
sacrées et inviolables par le concordat passé avec le
Saint-Siège, le 16 mars 1851il ne pouvait pas
cire procédé la vente de tout ou partie de ces
biens sans uo mutuel accord des deux puissances;
pour ce motif, S. M. la reine a daigné, par décrets
royaux des i3 et i4 octobre i856, rétablir en
toute sa force et vigueur ledit concordat, et sus
pendre les ventes autorisées par la loi du 1" mai
i453. Cet état d'inaction ne saurait continuer
davantage, et une loi ayant ordonné la vente, il faut
qu'une loi rende au concordat, autant que possible,
la force dont il n'eût jamais du être dépouillé.
Lors de l'expédition dudit décret royal du 3i
octobre 1856, déjà une partie des biens du clergé
régulier avaient été vendus, et le reste demeurait
aux maios de l'administration de l'État. Afin de
concilier tous les intérêts et d'éviter les incon
vénients d'avoir toucher des faits consommés,
il paraît naturel de rendre au clergé séculier ceux
de ses biens qui ne sont pas vendus, en l'indemni
sant, autant que de besoin, des biens vendus. Celte
indemnité peut être accordée au moyen de tous les
biens de l'Eglise existants, non vendus, au pouvoir
de l'État, parmi ceux non compris dans la loi du 3
avril i845, dont le concordat ordonnait la déli
vrance, et au moyen d'inscriptions de la rente
consolidée 3 p. c., si ces biens ne suffisaient pas
pour couvrir le moutant intégral desdits biens
vendus, et, leur égard, on doit décréter révoquée
la condition de les vendre et d'en convertir le
montant en inscriptions non susceptibles d'être
transférées de la rente 3 p. c., condition consignée
daos les articles 35 et 38 dudit concordat.
Il reste uniquement eo fait que, tant de la
valeur des biensde l'Église délivrer en indemnités
de ceux vendus du clergé séculier, que du montant
de ceux vendus aux termes de la loi du 1" mai
1855de même classe et compris dans les articles
35 et 38 du concordat, il soit délivré, au profit des
diocésains des inscriptions non susceptibles de
transfert de la dette 3 p. c., avec la distraction
correspondante de la partie de la quotité applica
ble aux communautés religieuses.
Telles sont les bases convenues dans les négo
ciations suivies avec le Saint-Siège en l'année
1857. Mais, de plus, le respect dû la foi des
traités, les sentiments éminemment catholiques du
peuple espagnol, le bien et la paix de l'Eglise et de
l'État, et la jusleconsidération pour le père commun
des fidèles (de la bonté paternelle duquel a été
obtenue la même déclaration au sujet des biens
vendus en vertu de la loi du 1" mai 1855, que
celle obtenue par l'article 4a du concordat pour
les ventes faites dans les années antérieures, après
la juste indemnité préalable], toutes ces considé
rations ont engagé S. M. la Reine, après avoir
entendu le conseil des ministres, et de son avis,
m'ordonoer de présenter aux délibérations des
Cortès le projet qui suit.
DU 1" MAI AU 7 INCLUS.
Naissances i4. - Sexe masc. 7, fém. 7.
2 mort-nés du sexe masculin.
Mariages 3. Poot, Henri-Auguste, blan
chisseur, et Gesquière, Julie-Amélie, domestique.
Deckmyn, Jean, journalier, et Andries, Barbe-
Sophie, dentellière. Vandekinderen, Charles-
Louis, journalier, et Cools, Rose, journalière.
Décès 4. Mahieu, Sophie-Amélie, 55 ans,
sans profession, épouse de Jean-Jacques Wulle-
man, Petite Place. Pelgrim, Joséphine-Thérèse,
79 ans, sans profession, célibataire, Marché aux
Fripiers. Demulle, François-Dominique, 24
ans, soldat au 2m' régiment de ligne, domicilié
Kemseke(Hôpital militaire). Vervecken
Barbe-Cécile, 72 ans, tailleuse, veuve de Charles-
François Sohier, Saint-Jacques lez Ypres.
Enfants au-dessous de 7 ans 4. Sexe
masculin 1, sexe féminin 3.
van
en
A VENDRE A LA MAIN
une
située
RUE DE LOMBAERT, N# 17,
A YPRES.
Pour les conditions s'adresser Mr CLÉMENT-
FROIDURE, rue de l'Étoile, 4.
bt uitscheidikg van bedryf.
van
Kantoor van den Notaris VAN EECKE,
te Yper.
A TENDRE DE GRÉ-A-GRÉ