I BRAPiDT EN ANDEREIIOUT GEVELDE PLANTSOEffi, M. H. BL1TZ, HORLOGERIE FINE VENDITIE EN EIKEN SLUITEN, Se Dents sans Crochets ni Ligatures. CHIRURGIEN-DENTISTE, AENZIENELYKE VENDITIE ifTïs-BaîXïïa, ET DE PRÉCISION, Montres et Pendules, L@PPIIN]©. ZATURDAG 12" JUNY 1858, om2uren namiddag, Verkooping van 40 koopen liggende op het Plein, digt aen d'herberg de Bascule, buiten de Meenen poort dezer stad Yperen. Met gereed geld. Zeçj het voorts. A VENDRE A LA MAIN BELLE MAISON RUE DE LOMBAERT, N* 17, A YPRES. LYS Til©©!) lift] semblable l'aoïre oeil de sorte qu'il est peu près aveugle aujourd'hui. Nous croyons de notre devoir de publier ici le moyeo que la scieoce enseigne pour remédier h ces accidents c'est de lotionner l'intérieur de l'oeil blessé avec de Veau fortement sucrée en la faisant glisser goutte goutte sous les paupières. L'eau sucrée h la,propriété de dissoudre et d'en- traîoer la cbaux, et par conséquent de prévenir les désordres immenses que causerait ce caustiqae puissant dans l'organe de la vue. Noos ne saorions trop epgager les ouvriers, les maîtres, les entre preneurs, tout le monde enfin, ne pas perdre de vue le remède si simple que nons venons d'indiquer. Munich, la capitale de la Bavière, célébrera au mois de septembre prochain le 700' anniversaire de sa fondation. De grandes fêtes seront données cette occasion par la municipalité. On parle, entre autres, d'un cortège costnmé qui donnera, en quelque sorte, un tableau historique du développe ment de Munich. On lit dans le Courrier des États-Unis Une famille allemande de Baltimore vient d'être exlraordinairement émue par un singulier cas de mort apparente. Mma Scbwabenhaus,malade depuis longtemps, paraissait avoir rendu le dernier soupir, dans la nuit de Inndi mardi. Les personnes qui la soignaient purent observer en elle tous les symptô mes de la mort son corps était glacé, ses membres raides. Après avoir rendu au cadavre les derniers devoirs, et quand tout fut prêt, dans la chambre mortuaire, pour l'enterrement, les assistants allèrent prendre un peu de repos. M. Scbwabenhaus, épuisé de fatigue, les suivit bientôt. Il était- livré un sommeil agité, quand, vers six heures du malin, la voix de sa femme vint frapper son oreille. Il crut d'abord être le jouet d'un rêve; mais son nom, répété plusieurs reprises, ne lui laissa bientôt ancun doute, et il se précipita dans la chambre de sa femme. Celle qu'on avait laissée ponr morte, était assise dans son lit, paraissant jouir de toutes ses facultés, et plus forte qu'elle ne l'avait jamais été depuis le commencement de sa maladie. M"* Schwabenhaus demanda de l'eau, puis désira ensuite boire du thé et du vin. Elle pria son mari d'aller endormir leur jeune enfant qui pleurait dans la chambre voisine. Mais ce dernier était trop fou pour cela; il courut réveiller tout le monde dans la maison. La malade accueillit en souriaot ses amis, ses domestiques, qui ne s'approchaient de son lit qu'en tremblant. Elle ne paraissait pas surprise des apprêts funéraires qui frappaient son regard Je sais que vous me croyiez morte, dit-elle; je n'étais qu'endormie cependant. Mais pendant ce temps mon âme s'est envolée vers les régions célestes; un ange est venu me chercher, et nous avons franchi l'espace eu quelques instants. Cet ange qui me conduisait, c'était la petite fille que nous avons perdue l'année dernière. Oh! j'irais bientôt la rejoiodre. A présent, que j'ai goûté des joies du ciel, je ne voudrais plus vivre ici-bas. J'ai demandé l'ange de ponvoir embrasser encore une fois mon mari et mes enfants; mais bientôt il reviendra me chercher! A huit heures, après qu'elle eut tendrement pris congé de son mari,de ses enfants et d'une fuole de personnes qui l'entouraient, Mm* Schwabenhaus expira réellement, cette fois, ainsi qu'il foi constaté par les médecins, de façou ne laisser subsister aucun doute. Cette scène a vivement ému les habitants de Baltimore, a ITALIE. Le Vésuve est en pleine éruption. Sept cratères se sont ouverts VAlrio de Cavallo, l'endroit où l'on quitte les ânes pour gravir le cône. La lave arrive jusqu'à la hauteur où s'élèvent l'Ermitage et l'Observatoire; là, elle se sépare en deux bouches, dont l'une, heureusement arrêtée par un rempart de lave éteinte se dirigeait vers la ronte de Résine; l'autre descend la vallée de Faraone et court sur le torrent de i855. Un aotre petit cratère a crevé le bas du cône juste au versant qui est en face de Naples; un filet de lave descend droit sur Torre del Greco et ne parait pas fort loin des maisons, mais il est trop mince pour faire beaucoup de mal. Le spectacle est magnifique. Nous empruntons aux journaux de Paris les détails suivants sur l'éroption du Vésove N.pUs, 1" juin. L'éroption du Vésuve, attendue depuis plusieurs mois, et annoncée par des signes auxquels la scieoce comme la routine ne se trompent guère, s'est enûu déclarée. Le Vésuve avait déjà beaucoup lancé l'année dernière, mais dans des proportions moin dres que maintenant, et le phénomène ne s'était pas montré aussi grandiose,je pourrais presque dire aussi inquiétant. Il s'est ouvert, au milieu de la semaine dernière, neof cratères qui vomissent la lave en tous sens. La nuit, la montagne semble, de Naples, toute transformée en feu, et une immense calotte ardente lui sert de dôme. Eu disant la montagne, j'entends nou-seulemeol le cône qui porte plus spécialement le nom de Vésuve, mais encore l'ancien côoe déchiré, dont les bouches se sont éteintes depuis tant de siècles, et l'espace intermittent appelé la Plaine des Laves. Les cratères sont bien tous placés aux flancs du Vésuve lui-même, mais la matière qui en découle couvrant la Plaine des Laves et ceignaul en quelque sorte le Monte-Somma, tout se confond dans le spec tacle. Peodant le jour, l'éclat de la lumière n'em pêche pas d'apercevoir les teintes fauves des va peurs de la fumée qui surplombent. Mais, pour bien jouir,il faut faire l'ascension. Depuis vendredi soir, il y a foule; les Napolitains, comme les étran gers, encombrent la route carrossale de Résina l'Observatoire météorologique. Les torches des guides, les voitures trois ou quatre chevaux, les mulets, les équipages plus modestes des ânes; les piétons, riant, chantant, criant en italien, en anglais, eo français, dans toutes les langues, ce pêle-mêle dans la demi-obscurité, sous un ciel si doux, (ont cela est beau voir, et vaut bien la peine de quitter son lit pour une nuit. FRANCE. La citculaire du mioisire de l'intérieur en France sur les biens des hospices, quoique josqu'à présent 00 ne connaisse pas de document qui eu mitigé les dispositions, peut cependant être considérée comme non avenue. L'admioistration la laissera tomber dans l'oubli. A Paris, la commission des hospices qui se préparait protester très-énergiqoeineot contre les projets du gouvernement, a reçu du préfet de la Seine l'assurance que les principes de la circulaire ne seraient pas appliqués dans la capitale. Quant aux départements, il paraît certain que les préfets éviteront, autant que possible, de soulever la question; bien au contraire, ils seront charmés d'éviter des conflits, surtout au moment des élections pour les conseils généraux qui s'annon- çaieot sous de fâcheux auspices. loforme sa clientèle qu'il se trouvera Ypres, le premier Jeudi Vendredi et Samedi de chaque mois. Les personnes qui auront besoin de ses soins pourront s'adresser dans son cabinet depuis 10 heures du matin 5 heures do soir, Hôtel de la Tête d'Or, rue de Lille, Ypres. TE by het gehugte de Oostaverne. DONDERDAG 17" JUNY i858, ten een 0er namiddag zal'er by openbaere Venditie verkogt worden in eene partie bosch gelegen binnen de gemeente van Wytschaete, by het gehugie de Oostaverne, en houdeode aen de hofstede gebruikt by sieur Pieter-Joannes Vaohove, genaemd de Groole Bosch, toebehoorende M' Godtschalck, vrederegter le Wervicq i° De Toppen en Spaenders van i5o Eyken, 2° 100 Lyste- Soomen en 3* 700 Plantsoenen, allen ver- deeld in koopen t'elks gerief. De vergaedering in de partie bosch alwaer de Verkooping zal beginnen. De Verkoopiog zal gebetiren met redelyken tyd van betaeling, mils stellende soivable raede- koopers ten vergenoegen van den Nolaris NEyEJAN te Meessen resideerende. (l) MiEKT HET RUCHTBAER. Garanties et l'épreuve y UNE SITUÉE Pour les conditions s'adresser 'a M' CLÉMENT- FROIDURE, rue de l'Étoile, 4. VA!I TE BOESING1IE. Dingsdag 29,n Junius 1858, wezende Siot- Pietersdag, ten twee uren namiddagop eene partie boschland te Boesinghe by de brykenovens van M. Liebaertlangst de straete na Lange- marck, zal er gehouden worden Penditie von ûoo GEVELDE PLANTSOENEN waer van het meerderen deel dienstig voor latlesplyter»- ZEVEN LYSTEBOOMEN en 2,000 HARDE SLUITEN al verdeeld in koopen. Er zal tyd van betaling toegestaen worden mils horge te stellen ten aenveerden van den Notarié TITECA te Boesinghe (3) elk zbg het VOORTS- Ypres, Imprimerie-Librairie de Désire Lauibln-H®1"'1'''' éditeur-propriétaire, rue de Lille, »o, près de la Grand'A*"'

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Le Propagateur (1818-1871) | 1858 | | pagina 4