EIKEN, LYSTEBOOMEN,
CHÊNES, CHENAUX,
ANNONCES.
GOEDE HOFSTEDE
VENDITIE
BOIS TAILLIS
FRANCE.
ITALIE.
VAN SCHOONE
PLANTSOENEN
EN ABEELEN BOOMEN,
OP ZONNEBEKE,
Op Woensdag 16° Maert 1859, te beginnen
met den middag zal den Notaris C H RIST1A EN,
byopenbare Vendilie verkoopen, in de bosschen
der hofslede gebruikt door S' Constantin
Vanwalleghem op Zonnebekeby de herberg
den Haen, zuid by den steenweg.
60 koopen Boomen, waeronder schoone
Eiken, veel Lysteboomen, Plantsoenen en wat
Abeelen.
Op gewoone kondilien en lyd van betaling
mits goede borg stellende.
De vergadering ter hofplaets van gemelde
hofslede en by koop 1. (t)
Kantoor van den Notaris TAU S3GZ2
TE YPEH.
Den 10" MAERT 1859, om 5 uren na-
middag, in den Verbranden Molen te Zille-
beke, groote Vendilie van Boschtailie en
Plantsoenen.
Den 15en M AERT 1859, en volgende dag,
ten 10 uren voormiddag, door verandering
van wooning, Vendilie ten huize van den
heer Charles Bondue, Thourout straet, n° 4,
te Yper, van veel schoone Meubelen, meest
al van keerselaren en acajou bout, Koper,
Tin, Yzer, Gleis, Glas en Cristael, Bed-
dingen, Stoven, Linwaed en Vrouwklee-
deren. Al in 't breed by de affichen
beschreven. (i)
U1T ER HAND
TI P/^©lnl T H IN).
Men bied uit er hand te Pacbten,
svoor 9 jaren aenvang le nemen
1er October 1859, eene goede HOFSTEDE,
groot in Erve omirent 17 bectaren, ge-
legen binnen het arrondissement Yper.
De gegadigde mogen hun daer toe aen-
bieden, by den Notaris CHRISTIAEN, te
Passchendaele. (2)
ss
Q5 co
2 -S
co CS
1
s s
t. t
s a.
2
80 «T
v> P
Ss S -O
a a.
u e
s-S
-2 g
o2
■w tDj
a es
8."»
eu
Q
z
eu
U
z
o
U
«i
zb-s
«Si
c h i.
a r-.
z <j-
g .«.S
O
z s
o w 2
a
m
eu
33
h
z
O
o
<Z3
EU
u
z
03
EU
C/3
eu
z
o
eu
S
O
u
w
u
u
X
s
ce
0
u JA
X g
2
S U
S- '0
2
ts
T.
H
Z
O
S
f*
ta
Q
K
O
ta
s
M
s
u
o
ta
«s
ta
S
U
ai z,
2 3 2
8*1 m"
Mi*
S 3 S s
tfl o 3
5 5-
a 0 s
■3 S
-î
•c
I e
-- -J
S a
a S
.S S
i s 0
o
H t' H
o a w
- W
-U C3
2
w S
S
S
ta
ta
ta
ta
c -
I!
ta
g s
s
ta
ta
PLANÇONS ET
Le VENDREDI 25 MARS 1859, une
heure de relevée, il sera Vendu publique-
mentà la requête de M. Maximilien Denecker,
avocat et propriétaire, domicilié Roulers;
sur ses propriétés boisées, situées dans les
communes de Zillebeke et Hollebeke, ce
qui suit
1° Le TAILLIS sur pied, sur environ 1
hectare 66 ares de bois, près la ferme occupée
par tes enfants Deturck, sur le territoire de
la commune de Zillebeke, non loin de l'endroit
Verbranden Molen, divisé en 3 marchés, de
plus 47 P lançons en un seul marché.
2° Le TAILLIS, en grande partie bois
de Chêne, provenant dun bois ayant une
superficie d'environ 3 hectares 50 ares 22
centiares, sur le territoire de ta commune
dHollebeke, derrière la demeure du garde
On lit dans le Liverpool Northern Daily-
Times Nous apprenons que M. John Clare
vient d'inventer un nouvel engin de guerre, qu'il
appelle Bull-dogue de la marine et an moyen
duquel on peut détruire en une demi heure le plus
grand vaisseau de ligne avec tout son équipage. Si
celte nouvelle est vraie et nous pouvons tout
attendre du génie inventif de M. Clare, toute notre
marine telle qu'elle se trouve composée deviendrait
inutile. La chose a été soumise au gouvernement,
mais nous ne pouvons naturellement pas eotrer
dans des détails.
Oo trouve, dans un vaudeville, dont la
première représentation a eu lieu Paris en i83o,
le couplet suivant, qui est encore aujourd'hui de
circonstance
Je ne sais comment on l'appelle,
L'état présent est un chaos
Nous avons l'hiver sans qu'il gèle,
D'Ia tranquillité sans repos
C'n'est pas la paix, c'n'est pas la guerre;
C'n'est pas du froid, c'n'est pas du chaud;
C'n'est pas richesse, c'n'est pas misère
Je ne peux pas trouver le mot.
Nous lisons dans VAmi de la Religion
Le Souverain Pontife vient de confier h un
noble anglais, profondément dévouéau Saint Siège,
la missioD de recruter en Irlande ciuq mille hom
mes, qui seraient dirigés promptement vers Rome
et qui formeraient la garde du Saint-Père. Cet
appel de Pie IX sera entendu avec enthousiasme.
Nous ne Joutons pas qu'il suffise de quelques jours
pour recruter cette brigade; ce n'est pas cinq mille
hommes, mais dix et vingt mille hommes que
le Souverain-Pontife trouveiait facilement dans
cette ile si catholique. Ou pourra, parmi le grand
nombre de volontaires qui se présenteront, choisir
des hommes d'élite qui répondront dignement h la
confiance du Père commun de toute la chrétienté.
Si chaque année des milliers d'Irlandais émigrent
en Amérique pourychercher du travail,avecquelle
joie n'accneilleronl-ils pas la proposition d'émi-
grer en Italie et Rome, pour remplir des devoirs
si conformes h leur bravoure et leur foi? La
France avait autrefois une brigade irlandaise qui
s'est signalé dans toutes nos grandes' batailles et
principalement a Fontenoy, où elle se battit contre
les Anglais. Ce sont les soldats irlandais qui font la
force de l'infanterie anglaise. Ce sont eux qui se
sont le plus distingués h l'Aima et 'a Inkermann.
Nous sommes convaincus que si des cœurs
généreux proposaient l'Irlande non-seulement de
donner dessoldats au Saint-Père, mais desupporter
elle-même tous les frais de cette petite armée, elle
répondrait h ce second appel avec non moins
d'enthousiasme. Il y a plus de six millions de
catholiques en Irlaude, et quand chacun ,ne don
nerait que 6 pence (60 c.) par an, la somme totale
monterait h 3 millions et 1/2. Il nous sera permis
ici d'exprimer un désir.
Un grand nombre de Français, en lisant ces
lignes, envieront l'honnenr fait l'Irlande; et nous
croyons que si un semblable appel était adressé aux
catholiques de France, on y répondrait avec un
pareil dévoilement. Nous avons des provinces,
telles que la Bretagne, qui seraient fières de donner
un bataillon ou un régiment pour défendre la
patrie commune de tous les peuples catholiques.
LOpinione, de Turin, du 1" mars, ne croit pas
que la t rance veuille, après onze années d'occupa
tion de Rome et de grandes dépenses, se retirer en
laissant le Pape entre la révolution et la chancellerie
de Vienne. Taut de sacrifices ne peuvent pas avoir
été faits en pure perte et pour la France et pour le
Saint-Père.
Voici, d'après un petit journal italien, le
serment que prêtent les révolutionnaires de la
Lombardo-Vénétie
Bénie soit l'arme du brave! Elle est la rédemp
tion de la patrie. Maudit soit celui qui n'ose
l'empoigner
Moi qui l'empoigne et qui la baise la main sur
le cœur, je jure devant le Dieu des opprimés que
je ne la déposerai pas jusqu'à ce que l'Italie soit
une, indépendante et libre.
Que mon espoir repose en Victor-Emma
nuel et en son armée intrépide. Ma foi politique
est son trône constitutionnel.
a Je veux la liberté pour prix de la victoire, et
non la licence qui ne saurait profiter qu'aux enne
mis de notre réveil.
Je veux la dictature du Roi guerrier tant qu'il
y aura un Autrichien dans notre patrie.
a Nous défendrons l'ordre, la propriété et la
justice que le despotisme a détruits ou souillés.
Ma bannière, c'est la tricolore italienne avec
la croix de Savoie.
Mon cri de guerre Vive tltaliel Vive son
Roi Victor-Emmanuel!
Quel dommage qu'on ne puisse pas gouverner
le monde avec de la poésie et des poignards; sans
cela l'Italie serait sans doute le pays le mieux
gouverné do monde.
BY DEN HAEN.
S S
S*
«ai
h
S» 09 w
ce
M
a
s:
es
a.
a
s ai
u
0
-g
m
Il
M S
B
ce
U
-e
ce
b
ta
ce
CS es u
CD rn
0 s (T-ï
s 5 0 g
S
en m
■5.
ta
u SS
(1 se
a ai g
M
u
O
3
rs
-33
u 0
ev
a
es
en
es
es
a
3
3
8 1
S
0
.0
es
a.
1
-c
w
1
.2
s
13 5*
3
u
CD
-c a
2
a
0
v es
h
es
5
LJ
H
s ~Z
Jâ
•<3
-b
Z
p
a
es
as
2
a
H
-
,5
es
CD
Z
CD
eà
a
Q
es
C]
Z
«c
z
in
1
es
a
sj
CD
H
O
CD ta
s
Ï7*
•js2
Cta
Z
es c
Cm V
"SE
Z
H
sa q.
en
K
ta
V
0
'ta sj
et
ts.
3 ta
O ~-
P
s
-a
3
q
1
^-3
u
0
O
«-Î
de très beaux
dans les communes
DE ZILLEBEKE ET HOLLEBEKE.