GEVELDE SPARREN, ÉTAT-CIVIL D'ÏPRES, ITALIE. AUTRICHE. ALLEMAGNE. GARDE CIVIQUE D'ÏPRES. ATÏS. MM. les officiers, sous-officiers, caporaux et gardes du bataillon et de la demi- baiterie d'artillerie qui voudront prendre part au tir la cible chinoise se rendront en grande tenue et en armes Mercredi 10 Août, 8 heures du soir, l'Hôtel-de-ville. La liste sera close 8 1/2 heures très- précises. N. B. L'ordre du tir établi on n'admettra plus de concurrents. A VENDRE D'OCCASION Six Montres d'Or et d'Argent ADMINISTRATIF DER DOMEIÏfEN. Op donderdag, 4"1 adgusty 1859, ten "2 ueren namiddag, zal er Verkochl worden op het Polygone veld te Zonnebeke de Sparren afgekapl voor het maeken van eenen Cybel; deze Sparren dienstig voor Tabak en Vlaeke Perssen. De Verkooping zal beginnen by de her- berg het Canon. De prys principael verhoogd van den tienden penninck comptant te betaelen. restés aux dépôts Paris, la division de grenadiers (i", 2" et 5" régiments de zouaves), a du rentrer b Milan le 24; elle arriverait Paris le 5 août par le chemin de fer. La division de voltigeurs (i", 2% 5" et 4* régiments et bataillon de chasseurs b pied), devait arriver dans la capitale de la Lombardie, et prendra le chemin de fer, qui l'amènerait Paris le 10 août. La cavalerie est également en route, mais, b raison de l'énorme encombrement dans les gares et de l'embarras des chevaux, on oe l'attend Paris que pour le 13 août; du moins, le régiment de lanciers a annoncé son entrée pour ce jour-là. On ignore les jours d'arrivée des autres corps. {Patrie.) On nous assure, dit le Courrier des Ardennes, qu'il existe Floing, près de Sedan, deux cousins germains du Roi Oscar de Suède qui vient de mourir. Leur père, frère de Beroadotte, était originaire de Pau; ils sont venus s'établir Floing, où ils sont simples ouvriers tisseurs. On lit dans la Gironde de Bordeaux Nous avons assisté ce malin aux expériences qui ont en lieu sur l'hippodrome de Mérignac et qui avaient pour objet les balles foudroyantes per cussion de M. Devisme. Trois de ces projectiles de différents calibres, ont été tirés an moyen de carabines rayées, dans une grande caisse vide, en avant de laquelle était placée une sorte de plastron en cuir garni de son de bois, simulant la poitrine d'un animal. Chacun des projectiles a fait explosion après avoir traversé le premier obstacle, et les parois de la caisse étaient littéralement couverts de débris de plomb et de cuivre. La balle destinée la chasse la baleine a surtout produit un effet prodigieux. La caisse n'a pas seulement été criblée, elle a été brisée et disloquée comme si elle eût été garnie de poudre. Les expériences dont nous venons d'être témoius dous ont donné la conviction que M. Devisme, le jour où il a inventé son système de projectiles foudroyants, a bien mérité de l'humanité; car il a mis la disposition des chasseurs et des pêcheurs le moyen d'attaquer presque sans danger les plus terribles animaux. Le correspondant du Morning-Herald lui écrit de Paris, samedi soir J'apprends d'une source que j'ai toujours trouvée exacte que le Moniteur d'hier n'a pas publié textuellement les paroles de l'Empereur, en réponse au corps diplomatique. Sa Majesté n'a pas dit L'Europe en général a été si injuste pour moi, mais bien De grandes puissances ont été si injustes, etc. Ces paroles ont paru très-fortes après réflexion et semblent faire allusion h l'An gleterre et 'a la Prusse. Une correspondance de Milan décrit ainsi le sort qui va être fait k la Lombardie par suite de son annexion an Piémont <1 Le Piémont obtient un morceau de la Lom bardie qui, détachée violemment de sa compagne naturelle, la Vénétie, va être liée k uu pays avec lequel elle n'a rien de commun, ni l'histoire, ni le dialecte, ni les habitudes, ni le caractère. Il faudra tout bouleverser, depuis les communes jusqu'au gouvernement suprême, depuis la monnaie jus qu'aux écoles, pour transformer les Lombards en Piéniontais. Milan, qui q l'air d'une capitale, qui l'a „été anciennement, qui l'était nu temps du royaume d'Italie, deviendra un chef-lieu de dé partement, au plus Sassari ou Chambéry. La Lombardie devra épuiser ses richesses pour solder sa part de la dette du royaume sarde. On lui répète déjk sur tous les tons qu'il faut qu'elle s'arme, elle dont l'éducation a une tendauce toute différente. Et en effet, elle aura les forteresses ennemies k ses portes la peur d'une invasion sera continuelle, eût-on dépensé 100 millions pour fortifier Brescia et Crémone. On lit dans la Staffetta de Turin (17 juillet). Le sacrifice est consommé la paix a consolidé l'esclavage de l'Italie! Avec une fédération de princes qui sont tous, k l'exception de notre valeureux et loyal souve- tain, dévoués k l'Autriche, pendant que l'Autriche elle-même campe dans la Vénétie et possède les forteresses, avec une fédération dont le Pape est le président et où figurera comme le plus fort après l'Autriche, le Roi de Naples, véritable ennemi de l'Italie,avec unefédération dans laquelle enlevant la partie saine représentée par la Sardai- gne, entrent tous les éléments de la réaction, qui formeront toujours la majorité, nous laissons k d'autres le soin de juger qnei sera l'avenir de notre patrie. Et valait-il la peine de dépenser si inutile ment tant de vies et des sommes si considérables pour avoir l'Autriche sur le dos, la présidence du Pape et l'Italie eu servitude? L'Italia (de Turin), plus explicite, s'exprime en ces termes RecommençonsLes peuples ne sont point faits pour être cédés et remis. Les peuples sont faits pour fraterniser entre eux, s'entendre, com battre, être libres! Nous avons foi dans l'œuvre des peuples. Recommençons! On lit dans l'Indipendente de Turin du 25 juillet Ce matin sur le chemin de fer Victor-Emmanuel, se soDt heurtés deux trains, k un kilomètre de la station de Turin, venant l'un de Suze avec une batterie d'artillerie piémontaise, et l'autre de Turin, avec des troupes françaises. Celui-ci avait deux locomotives, il a peu souffert. C'est l'autre qui a éprouvé le plus de dommage. On comptait environ i3 morts, parmi lesquels uo mécanicien et 7 artilleurs, et 60 blessés. Une locomotive et plusieurs wagonsoot été détériorés.» Ou écrit de Vienne, le 21 juillet, au Nouvelliste de .Hambourg La Russie s'est déclarée très- positivement en faveur d'un Congrès, et c'est la seule puissance qui se soit prononcée officiellement sur la paix de Villafranca. On ne doute pas dans les centres diplomatiques de la réunion du Congrès, car on sait que l'Angleterre le désire aussi. Quant k la France, elle ne parait pas opposée en principe k une réunion de ce genre; mais on dit qu'elle s'est liée jusqu'à un certain point k cet égard envers l'Autriche qui ne veut pas entendre parler d'un Congrès. On manque encore de détails précis sur le projet de la Confédération italienne, et on parait ne pas se rendre compte clairement dans les cercles officiels de la manière dont on réalisera ce projet. C'est pendant on violent orage que le théâtre de Cologne a été brûlé. Grâce k une pluie torren tielle, les ravages ne se sont pas étendus aux mai sons voisines. Le théâtre était assuré, bâtiment, mobilier et garde-robe. Mais on a eu k déplorer la mort de la femme du concierge; des restes de son cadavre ont été retrouvés parmi les décombres. On ne sait encore s'il faut attribuer ce sinistre k la foudre ou k une inflammation de gaz. A l'occasion du changement survenu, le 8, dans la personne du souverain de la Suède, le prince de Wasa, ainsi qu'il l'a déjk fait dans un cas analogue, le 20 mars i844, a adressé, le 12 juillet, aux cours de Vienne, de S'-Pétersbourg, de Londres, de Berlin et de Copenhague, une protestation pour se réserver les droits que lui confère sa naissance. Gazette d'Augsbourg.) Une dépêche télégraphique publiée en supplément par le Journal français de Francfort ■g— annonce que le grand-duc de Toscane Léopold II, né le 8 octobre 1797, a abdiqué en faveur de son fi!s Ferdinand, né le 10 juin 1835et marié avec Anne-Marie, fille du Roi régnant de Saxe, née le 4 janvier 1836 et morte k Naples au mois de février 1859. Le prince héréditaire Ferdinand a une fille, l'archiduchesseMarie-Antoiuelle,néele to janvier i85o. DU 25 JUILLET AU 29 INCLUS. naissances i3. Sexe masc. 5, id. fémin. 8. Mort-nés. Sexe masculin t. idem fémin. 2. mariages 3. Clais, Charles, domestique, et Fervaecke, Marie, dentellière. Ingelaere, Charles, journalier, et DezitlerA me lie, den tellière. Craeye, Louis,paveur, et Debruyne, Alexandrine, couturière. décès 6. Ferschoore, Michel, 65 ans, sans profession, veuf de Benoîte Nosdy, rue de Dixmude. Fanlomme, Pierre, 61 ans, boulanger, époux de Cathérine Lemahieu, S1- Jacques lez-Ypres. Gillioen, Mélanie, 28 ans, dentellière, épouse d'Amand Dondeyne, S1-Nicolas-lez- Ypres. Bouchaerl, Albert, 81 ans, tailleur, veuf d'Ursule Butaye, rue de Dixmude. Nevejans, Constance, 79 ans, dentellière, veuve de Jacques Michiel, rue des Plats. Fanhove, Charles, 22 ans, soldat au 11* régiment de ligne, domicilié Poperinghe, rue des Bouchers. enfants au - dessous df. 7 ans 5. Sexe masculin 4, sexe féminin 1. de reivco.vtrf. A CYLINDRE ET A ANCRE, TOUTES GARANTIES, ©InllE P„ !L@ P P !E iM, YERKOOPING VAN dienstig voor ïioilua œb mlhrlbiaia ip3irs3i2b» De onivauger der Domeinen te Ypreo. ïc?.SS.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1859 | | pagina 3