ANNONCES.
WOONHUIS
ANGLETERRE.
FRANCE.
ITALIE.
3
ALLEMAGNE.
OPENBARE YERKOOPING
VAN EEN
A VENDRE D'OCCASION
Six Montres d'Or et d'Argent
Studie van Meester LAMBIN 9
NOTAR1S, T'YPER.
A. Gemeente Keyem, by Dixmude.
B» Gemeenten Merckem en
Langhemarck.
2° - Eene zeer schoone Hojstede waer van
aile de gebouwen nieuw gemaekt hebben ge-
weeslin 1849, groot 12 heclaren, 81 aren, 10
c", gebruikt door Ch' Maddeleio.
C. Gemeente van Langhemarck.
D. Gemeenten Langhemarck en
Merckem.
9
Une dépêche télégraphique adressée de Portlaod
samedi, dix heures du matin, donne les nouvelles
suivantes de l'arrivée du Great Eastern et d'un
accident très-grave qu'il a éprouvé en route
Le Great Eastern vient de jeter l'ancre. Au
passage du Nore, près Haslings, six heures do
soir, une explosion terrible a eu lieu dans la che
minée des chaudières de l'avant; les décorations
du grand salon et des cabines du bas-pont ont été
mises en pièces; treize chauffeurs ont été inondés
dans la vapeur ou brûlés; deux sont morts depuis;
un troisième s'est jeté l'eau et s'est noyé. On
craint que cinq autres ne puissent échapper.
Par un fait miraculeux, aucun passager n'a été
blessé.
A l'exception de la cheminée qui a éclaté, le
navire et les machines restent en bon état.
On lit dans le Messager de Bayonne Le
bruit de l'arrivée très-prochaine de S. M. le roi des
Belges prend une consistence que corrobore la
présence b Biarritz du prince de Chimay descendu
h Biarritz b la maison Ardoin, somptueuse habita
tion, qu'il aurait retenue pour son souverain. Le
séjour de Sa Majesté Biarritz serait fort limité,
elle arriverait, dit-on, lundi, voyageant incognito
sous le nom de comte de Laeken. Si ce fait est
fondé, il faut convenir que Biarritz n'anra jamais
été plos favorisé que cette anoée.
Un journal de Lille publie la note suivante
Dans les familleson fait quelquefois infuser
une forte quantité de noyaux de cerises et aotres
fruits avec une petite portion d'eau-de-vie; celte
essence est destinée b fabriquer une douce liqueur
appelée noyau. Mais le premier breuvage est assez
dangereux il contient de l'acide prussique. Un
maçon lillois, ayant bu, par inadvertance, de cette
essence pure, dans une maison où il travaillait, est
mort vingt-quatre heures après, et l'aotopsie du
malheureux a démontré que le poison avait entiè
rement corrodé ses entrailles.
On écrit de Rome, 3 septembre, b YUnivers
Les rapports entre le Saint-Siège et l'ambas
sadeur de Frauce ne se sont point améliorés
pendant celte semaine. Ce dernier ne se départ
point d'une proposition qui aurait pour résultat de
consacrer l'état actuel des Romagoes et de donner
gain de cause la Révolution. Le Pape n'aurait
plus qu'un droit de suzeraineté; il élirait un vice-
roi ou président laïque pour dix ans au moins,
et recevrait un tribut. L'histoire nous dit ce que
deviennent ces tributs et quelle est la foi des
souverains b l'égard de ces devoirs assumés par
leurs prédécesseurs. Naples et Parme se sont peu b
peu affranchis du tribut, comme tant d'autres
villes. Et depuis sept ou huit ans seulement le
Piémont refuse de payer le tribut anDuel de 2,000
écus qu'il devait pour la cession de je ne sais plus
quelle portion de territoire du domaine du Saint-
Siège. Ce que l'on demande au Pape est contraire
au devoir, b la justice, b la raison. Que si, pour le
contraindre, on le livrait tout b coup b ses ennemis
intérieurs et extérieurs, en retirant brusqoement les
troupes d'occupation, le pouvoir du Saint-Siège
subirait un ébranlement passager, peut-être épou
vantable, des crimes affreux ensanglanteraient
Rome; mais Pie IX serait moios b plaindre que ses
persécuteurs. Celte douleur ne sera point infligée b
la France. Nous espérons que devant Dieu elle ne
l'a point méritée une seconde fois.
M. de Gramont, dans son langage officiel, du
moins, n'a point parlé de retirer dès b présent la
garnisoo française. Il a dit, autant que je puis le
savoir, qu'une occupation trop prolongée pourrait,
au regard de l'Europe, mettre l'Empereur en
contradiction avec le dessein qu'il a annoncé de
délivrer le Saint-Père de l'iofluence étrangère.
L'ambassadeur oublie que l'influence du Piémont
est tout aussi étrangère pour le Saint-Siège que
l'influence autrichienne ou française, et, de plus,
qu'elle est outrageusement hostile. Un délai con
venable serait donc laissé au gouvernement ponti
fical. D'ici au mois de février prochain, il pourrait
achever l'organisation de son armée. Cette organi
sation est l'objet d'une sollicitude particulière de la
part de S. Em. le cardinal-secrétaire d'État. Un
homme zélé et intelligent, dont j'ai eu occasion de
parler déjà, M. l'intendant Testa, a aidé énergique-
ment le cardinal dans cette œuvre fort difficile. Il
y a malheureusement b lutter contre des lenteurs
bureaucratiques, contre des habitudes que l'état
moral des populations et la tranquillité du pays
avaient créés. En présence de la révolution armée
autour de lui et des efforts continuels des sectes, le
Saint-Siège va être obligé de recourir b l'un des
éléments qui soutiennent partout les gouverne
ments; les soldats. Douloureuse nécessité pour un
souverain dont la paternité est si douce, qu'il
ignore l'art d'inspirer b ses sujetsun autre sentiment
que l'amour
L'Union a reçu de Rome, comme YUnivers,
la confirmation des indications de notre correspon
dant sur le sens et sur la portée des propositions
récemment faites au Saint-Siège par l'ambassadeur
de France. Voici daos quels termes le correspondant
de YUnion communique b ce journal celte impor
tante nouvelle
La nouvelle d'un profond dissentiment entre
le gouvernement français et celui de Rome, qoe je
vous signalais daos ma lettre dernière, est aujour
d'hui un fait acquis et connu de tout le monde. Le
cabinet des Tuileries a déclaré au Saint-Père, par
l'intermédiaire de sou ambassadeur, que non-
seulemeut il n'interviendrait pas dans les Légations
pour les faire rentrer sous son auloiité, mais que les
vœux de ces populations, pour une administration
particulière et indépendante-lui semblaient légiti
mes, et que dès lors il croyait devoir solliciter de
S. S- l'abandon de ses droits sur ces provinces...
L'iotention du gouvernement français était de
retirer ses troupes au commencement de l'hiver.
De vives représentations lui furent adressés... Le
cabioet des Tuileries, comprenant la justice des
raisons qui lui étaient transmises, fixa alors l'époque
delà rentrée de l'arméeaprès lesPàques prochaines.
Je crois être en mesure de pouvoir vous assurer
l'exactitude de ces renseiguements.
On écrit de Stuttgart b la Gazette autrichienne
Un collégien de treize ans, transporté de haioe
contre l'Empereur Napoléon, résolut de débarrasser
le monde de cet auteur de la guerre d'Italie. Un
beau matin au lieu d'aller au collège, il prit le
chemin de fer et partit pour Bruchsal et Carlsruhe,
avec 20 florins dans sa poche, fruit de toutes ses
petites économies. De la, il conliuua sa route b
pied, passa le Rhin, et parvint par le palatiuat
bavarois b la frontière de France, avec l'intention
d'aller b Paris et d'assassiner l'Empereur, b peine
de retour de Villafranca, comme Staps voulut en
1809 assassiner b Scbœnbrun Napoléon Ier. Mais
b Weissenbourg, ville autrefois allemande, aujour
d'hui française, la police française s'enquit d'où
venait et où allait le jeune voyageur sans passeport.
Il avoua sans détour qu'il venait de Stuttgart et
allait b Paris pour tuer l'Empereur Napoléon,
l'ennemi de l'Allemagne. Grâce b sa grande
jeunesse, les autorités françaises ne virent Ib qu'une
folle boutade d'enfant et se contentèrent de le
retenir prisonnier jusqu'à ce que son père b qui
l'on avait écrit tout de suite, vint le réclamer.
Aujourd'hui il est revenu b Stuttgart e: continue
de fréquenter le collège, dont il est nn des meil
leurs élèves et des plus intelligents.
1£3T 3?.73,
GESTAEN EN GELEGEN
Ti P®EL©^PiLLE?
BY HET DORP.
-iQeogri.
De Nolaris DE LA VIEle Langemarct,
zal overeenkomstig de wel van iu,n Juny 1816,
in hel openbaer Verkoopen
Een ff OONHUIS en Schuer met Grond,
Boomgaerd en Hovenierhof, gestaen en gelegen
te Langemarct, zuid-tvest by de plaets van
Poelcapelle, tegen den steenweg van Yperen
naer Brugge, bekend by kadaster onder de N"
673, 680 en 681 van den wyk E, voor eene
groolte van elf aren 87 centiaren, palende
noordJoannes Harleschene, Charles en Damiaen
Bussche, oosl en zuid Charles Vulsleke, west de
slraet en daerover de kinders Boudry als
pachlers.
Bewoond en gebruikt door de weduwe en
linderen van Vergonius Descamps.
Ingebruiktreding met de betaling der koop-
som en onkosten.
1 p. ,j° voor den hoogsten Instel.
INSTEL, Donderdag i5en c oc
OVERSLAG, Vrydag 3o9° September 1809
om 3 ure namiddag, te Poelcapelle, ter herberg
den Os, bewoond door Frans Pype.
Voor nadere inlichtingen, vervoege men zich
ter studie van gemelden Notarié DELAV1E
ne neivro.\THE
A CYLINDRE ET A ANCRE,
TOUTES GARANTIES,
©!n]!Ei: P. LÛPPiEtM.
Den Zaterdag 24"° September 1859, len 2
uren, in den Olifant, l'Yper, zal plaets hebben
de DEFINITIVE TOEWYZ1NG, zonder
uitslel, der volgende patrimoniëele Goederen,
te weten
1° - Den nomber van 11 heclaren, 28 aren,
92 c" Zaeiland en fVeide, gebruikt door J.-B"
Seys Adam.
Irigesteld in masse 27,710 fraDcs.
Zeer leeg irigesteld 27,000 francs.
3* - Een Uakbosch groot 58 aren, 90 c",
niet verpacht.
Maer irigesteld 720 francs.
4* - Een idem groot 1 hectare, 90 aren, 80
c", 00k niet verpacht.
5° - Een Hakbosch groot 2 heclaren, o3
aren, 4o cn, niet verpacht.
De n*9 4 ent5 in masse staen maer op 5,000 fr.