BOSCHTAILLIE nmm m vettegras ANNONCES. Nous annonçons avec une jJfT^^salisfaction toute particu- lière, que M' Valintin, natif d'Ypres, dit VHomme la Poupée, premier Ventriloque de France, accompagné de M' Adrien, Physicien de la Cour Impériale de France et du Pré Catalan, de Paris donneront très prochainement une de leurs brillantes soirées dans la salle du Théâtre de cette ville. Les affiches donneront le programme de la représentation. Notaris VANDECASTEELE, gEs&SCESOESCEM TE POPEKINGHE, OPENBAER TE KOOPEN. Het Bestuer der Armen te Poperinghe, zal openbaerlyk Verkoopen 5 koopen Taillie met 599 Plantsoenen op 2-35 80 C. Boschland te Poperinghe in de Hel- Haeghebaerten Eeckhoeken, waer van een koop om blank te kappen. By dito Notaris VANDECASTEELE is er geld op bezet te bekomen. (t) VERKOOPING TE ZiyJYMfSMTi. Men bied te koopen c'est une grande privation pour lui. Il souffre, et je suis touchée de compassion. Deux années d'é preuve suffisent; nous alloos entrer dans notre troisième anoée de ménage, le temps des conces sions est venu. Lui offrir un cigare, c'est lui donner la permis sion de fumer. Je le délie de son engagement. Ce sont pour lui de belles étrennes, et les plus agréa bles qu'il pût souhaiter. Quelque riche cadeau qu'il me fasse, il ne se croira pas quitte envers moi, et se trouvera le mieux partagé. Le célèbre prestidigitateur Comte, qui est mort récemmentaimait redire lui-même une aventure qui date de la Restauratiou. Comte, qui était alors dans tout l'éclat de sa réputation fut mandé chez M. de Villèle, alors ministre. Inquiet des bruits qui avaient couru de soustractions consi dérables commises au jeu dans les salons les plus brillants de Paris, M. de Villèle voulait savoir s'il était possible, comme on le lui avait dit, d'amener a l'écarté, avec des cartes préparées, la retourne qu'on voulait,, et de choisir ses cartes. Comte l'én convainquit en faisant plusieurs tours devant lui. Le ministre, tout en causant, reconduisit jusqu'à la porte de son cabinet Comte, qui, avisant l'huis sier, dit M. de Villèle: Que votre Excellence me permette de lui dire qu'elle a un huissier bien négligent. Et comment cela? dit le ministre. Il n'a pas même eu le soin de mettre sa chaîne. L'huissier porta la fois ses yeux et ses mains sur sa poitrine, et demeura stupéfait en n'y retrouvant plus l'insigne de sa charge. Et je suis sûr que si votre Excellence loi demandait l'heure, il ne pour rait pas la lui dire. L'huissier porta la main son gousset, et n'y trouvant pas sa montre, devint très- pâle. n Allons, donnez-moi nne prise de tabac et nous retrouverons peut-être tout cela, continua Comte. La tabatière avait déserté commela montre. Avez-vous au moins de l'argent pour acheter du tabac? poursuivit Comte. L'huissier fouilla dans sa poche, plus de bourse. Il demeurait pâle, inter dit, confus, ne sachant s'il rêvait ou s'il veillait, lorsque Comte lui dit en lui indiquant un solliciteur qui attendait J'ai en idée que tout cela pourrait se trouver dans le chapeau de monsieur. Tout s'y trouva en effet, et, pendant que M. de Villèle riait de bon cœur, Comte sortit en répandant un déluge de billets dans le salon, et en répétant: Je suis monsieur Comte premier physicien du Roi et prestidigitateur de Leurs Altesses Royales les Infants d'Espagne, et la voix de fausset qui était sortie du cochon de Valençay répliquait aussitôt, comme un accompagnement nasillard C'est ce soir huit heures, huit heures bien précises, pre nez vos billets I FRANCE. On écrit de Ténériffe, le 28 décembre, que le transport mixte le Rhône, parti de Brest le 17 précédent, est arrivé le 27 Ténériffe. Cette traversée s'est effectuée dans les condi tions les plus favorables. L'état sanitaire des troupes qui sont bord n'a pas cessé un moment d'être très-bon. Le Rhône est un des transports qui emmènent des troupes en Chine. Il a reçu comme passagers le 2° bataillon de chasseurs pied. Il a dû quitter Ténériffe le 29 décembre pour se rendre au Cap, seconde relâche de son long voyage. Ces nouvelles du corps expéditionnaire de Chine, les premières reçues depuis qu'il a quitté la France, sont excellentes, et ne peuvent manquer d intéresser tiès-vivement les nombreuses familles de nos braves soldats. ITALIE. Les évêques de la Romagne, d'après un ordre de Farini, ne peuvent plus faire imprimer leurs lettres pastorales, sans les avoir soumises la révi sion des intendants. Aussi sont-ils forcés de trans mettre leurs instructions aux curés par voie de circulaire manuscrite. Voilà ou en sont réduits les pasteurs des églises! C'est ainsi que le cardinal Baluffi, archevêque d'Imola, a été obligé d'agir tout récemment, afin d'éviter la censure d'un intendant qui ne lui reconnaissait pas le droit de prohiber la lecture de certains écrits. Ce simple petit fait suffirait pour apprendre aux plus aveugles quelle serait la position spirituelle du Saint-Père, si, cessant d'être le souverain indépen dant de la Romagne, il devenait l'un des adminis trés de M. Farini et consorts. Ami de la Relig.) On écrit de Veuise une correspondance litbographiée de Vienne que les fouilles entreprises dans l'église S'-Marc a la recherche des trésors prétendûment enfouis par le doge Mariuo Faliéro, n'ont abouti rien. On n'a découvert, dit cette lettre, que quelques vieux ossements et beaucoup de oids de rats. AUTRICHE. A un bal masqué donné au théâtre de Pesth, il y avait tant de monde qu'on ne pouvait danser; mais l'orchestre jouait les danses. Lorsqu'à un air hongrois succéda une valse allemande, la musique fut couverte par des sifflets, des cris, des trépigne ments, enfin un vacarme effroyable, manifestation contre tout ce qui est allemand. Deux paysans de Peisca, eo Hongrie, peine adolescents (ils ne comptaient entre eux deux que 25 ans)ont assassiné leur frère âgé de 3o ans, parce qu'il les avait punis. Au moment où il se mettait au lit, ils l'ont attaqué tout coup, lui ont tranché la tête coups de bêche, puis ont enterré son corps dans le jardin. Cinq jours après, la mère, inquiète de n'avoir pas vu son fils aîné, se rendit la demeure de celui-ci et trouva les murailles ensanglantées et son fils disparu. Les deux enfants avouèrent leur crime et la mère les livra la justice. CHINE ET JAPON. Nos dernières nouvelles de Chine vont jusqu'au 24 novembre. Elles nous apprennent que le gou vernement des États-Uuis allaitconformément aux stipulations du traité intervenu entre la cour de Pékin et le cabinet de Washington, former un établissement Thaï-wan, port priucipal et chef- lieu de l'île Formose. Déjà le consul américain récemment nommé pour occuper ce poste venait d'acquérir un terrain où sera établi, sous la protec tion du pavillon des États Unis, le quartier améri cain. Les avis de Yeddo nous apprenneut que l'empe reur du Japon était tombé malade et que, pendant quelques jours, l'état de ce prince avait inspiré les plus vives inquiétudes. Aux dernières dates, sa santé s'était améliorée et il était hors de danger. Le souverain de ce pays, l'empereur Foëo-Tzigo, est un jeune homme de vingt-deux ans d'un esprit sage et modéré, et dont les idées politiques et commerciales sont intéressantes pour l'avenir des relations avec les autres puissauces. Patrie KANTOOR VAN I)EN en Vrydag 3" Ferruary 1860, om 2 uren (précis) te Poperinghe in het Groot S'-Jooris, op de Markl van GEMEENTE NOORHSCIIOTE. iste0 Koop. 5g aren 66 cenliaren ZAEI- LAAD deel van meerdere partie in het geheele groot 70 aren 60 cenliaren dics het overige onverdeeld is loebehoorende aen den disch van Noordschole gelegen ter gemeente van Noord- schole aboulerende in het geheele van oosten de landen van d'heer Ferricx en M. den advokaet Comyn te Yperen, zuid sieur Charles Tahon, west de Middelstraete en noord M. Deman. 2,n Koop. 0 h. 5g aren 37 cenliaren allerbeste VETTEGRAS, gelegen te Noord— schote, palcnde van noorden 't gras van M. Dhondtvan oosten 't gras van de kerke van Noordscholenog oost t gonne van sieur Jean Van Eecke le Elverdinghevan zuiden den disch van Noordschole en van westen aen de Ooststraete. RENINGIIE. 3en Koop. Eene andere partie allerbeste VETTEGRAS 1er groolte van 1 hectare 60 aren 22 centiaren gelegen le Reninghe verre oost van de kerke, paelende van zuiden en westen aen de Oude Peereboomslraelevan noorden de eigendummen M. Lochlenberg en van oosten aen den Landdilft. De voorschreven Goederen zyn gebruikt door Patricius Boudry, zonder pachtregt. Deze Verkooping zal gebeuren door hetambt van den Notaris TITECA le Boesinghe met het liouden van twee zildagen den eenen voor den JNSTEL bepaeld op Woensdag 1e0 Ff.brua- rius 1860 en den tweeden voor den DE FINI - TIEVEN OVERSLAG op Woensdag i5®q der zelve maend telkens ten twee uren des namiddags ter herberg bewoond door J.-Bu Leroy te Sleenstraele Zuydschole. Er zyn inligtingen te bekomen by den Nota ris LUCIEN te Reninghelst. Elk zeg het yoorls.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1860 | | pagina 3