MAISON AVEC SON FONDS ANNONCES. EENE H0FSTE0E, italie. STUDIE VAN DEN Notams C ASTELE1N, tria mBXHKii» Uel Lattd ingesteld 14,350 francs. En den Bosch raaer 4,000 het Canlynlje, en zeer naby den steenweg naer Yperèn, van 113 koopen schoone Eyken, Beuken, Popeliers, Sperren, Eyke Plant- soenen en Taillie. uerenVendilie in de Moeremoeye en in den Markinsbosch te Gheluwe, van 120 koopen EYKEN waeronder eenige van omtrent 2 melers dikle en schoone BEUKEN, reeds geleekend. Beyde onder het beleyd van den genoemden Nolaris CASTELEIN le Meenen. (2) ZATURDAG 25'° FEBRUARY 1860, om 2 uren namiddag, in de estaminet den Sultan, Groole Markt, te Ypre, van GELEGEN TE WATOU, xuid oost van de plaelse, langst de Capelle- slraet; groot, by lylel, 6 h. 81 a. 64 c., of daer omtrent, en volgens cadasler, macr 6 11. 36 a. 90 c., laelst gebruikt door Pieter Delà place, nu ledig. De tytels en conditien by den Notaris VANDERMEERSCH, le Ypre. I p. 7. cor 3itôtflprcnite. (2) UNE GRANDE ET BELLE L2TJZ 4.TJT3.3S 1££ISC1TS a VENDRE EN PARTIE OU EN MASSE Le Jeudi 1" Mars 1860, 2 heures de relevée, l'estaminet du Grand Cerf, sur la Place Messines, le Notaire THERRY résidant Neuve-Eglise, procédera l'ADJUDICATIONen une seule séance, des Biens repris au texte et dont la dési gnation suit plusieurs officiels supérieurs de son corps. Tout s'esi passé dans la plus complète cordialité. Le dernier toast a été porté b la prise de Tétouao. Les corps basques ont définitivement appareillé de Santander sur le vapeur Emperor pour leur destination. Vous avez appris sans doute que quatre- vingt-dix-sept roules avaieut récemmeot disparu du camp espagnol; l'enlèvement n'a pas eu lieu tout entier dans une ouit. Le vol a eu lieu b la manière des héros de Cooper. Les différentes tribus kabyles ont reçu de l'Empereur du Maroc l'ordre d'envoyer au camp leurs plus habiles voleurs et chasseurs de troupeaux. Ceux-ci se partageot en deux bandes; pendant que l'une se glisse sur le terrain jusqu'au point où sont les mules, l'autre fait une fausse alarme, tire quelques coups de fusil sur un point éloigné du camp, et quand tout le monde a l'attention fixée sur le point d'où sont partis les coups, les chasseurs pénètrent dans le lieu où se trouvent les bêtes de somme et disparaissent avec leur proie. Au reste, l'armée espagnole est désormais pourvue de vivres et de rations pour six mois, et les articles transportés commencent a constituer un immense dépôt. Les comestibles abondent sur le marché établi daos le camp, et tout y est b un prix raisonnable. Nous mangeons tous les jours, m'écrit un de mes aruis, des vivres et des légumes frais, et nous avons des œufs, du poisson, de la salade, du fromage de toutes espèces, des figues, des confitures, du jambon, des poules en abondance, doot chacune ne coûte pas plus de i4 réaux. On trouve b acheter du linge, du papier, de l'encre, des enveloppes; eu un mot tout ce que nous pouvons désirer. Le tabac ne manque pas et se donne b bas prix, parce qu'il est exempt de droits. Le camp espagnol est devenu, comme vous voyez, un vrai pays de Cocagne. J'espère vous adresser par le prochain courrier plus de choses intéressantes qu'aujourd'hui; mais, faute d'événements, j'ai peusé qu'il y aurait encore de l'intérêt pour vous danscette petite chronique. Madrid, 7 février. A six heures du matin, des salves d'artillerie ont annoncé a la population de Madrid la prise de Tétuan. Aussitôtcomme par enchantement, la ville s'est trouvée pavoisée; elle a revêtu ses habits de fête, et la population enthousiaste est sortie dans les rues pour acclamer la Reine toute la famille royale, l'armée espagnole, la comtesse de Lucena et le général Zabala. Sur la Place du Palais, un moment, 00 comptait plus de 4o,ooo personnes qui portaient le drapeau national. On jetait des fleurs aux troupes et les acclamations populaires couvraient ies fanfares de la musique militaire. A midila Reine Isabelle II a paru au balcon avec le prince Alphonse en uniforme de soldat de la ligne. L'enthousiasme alors est devenu un véritable délire. La Reine était en proie b une émotion profonde; plusieurs fois elle a essuyé avec son mouchoir des iarmes abondantes. La population n'était pas moins émue. Tous les cœurs s entendaient se confondaient dans un même sentiment de patriotisme et d'admiration pour la brave armée espagnole. Les drapeaux pris aux Marocains ont été placés sur une voiture et promenés dans les rues de Madrid. Les soldats de la garnison fraternisaient avec le peuple, exprimant le regret de n'avoir pas partagé les périls de leurs frères d'armes. Le corps diplomatique et les hauts dignitaires de l'État sont venus féliciter LL. MM. Le pèleri nage de la Reine Atocha a été une véritable ovation dont S. M. et la ville de Madrid se sou viendront longtemps. Notre armée b Tétuan a reçu les ordres les plus sévères quant au respect des personnes et des pro priétés. Ces ordres seront exécutés. La deroière dépêche du géuéral en chef en est un sûr garant. On lit daos une correspondance de Rome La cérémonie de la distribution des cierges par le Pape a eu lieu avec la pompe habituelle. On attendait dans l'assistance avec une certaine avidité le tour du duc de Gramont. Soit parce qu'il se savait sous le feu de tant de regards, soit parce que la plus simple convenance lui disait que son rôle actuel b la cour de Rome n'est pas des plus beaux, l'ambassadeur de Napoléon a traversé la nef dans un embarras extrême. C'était pénible b voir. Au reste le visage du Pape était impassible. Le soir Sa Sainteté, qui fait remettre b tons les ministres des Princes catholiques des cierges pour ces derniers et pour les membres de leur famille, a envoyé les cierges destinés aux Princes belges b M. Carolus, ministre de Belgique, et par un acte gracieux Sa Sainteté a voulu qu'on en remit un aussi b Madame Carolus. Deux journaux de Turin, l'Indipendente et le Corricre mercantile disent savoir de source certaiue que l'Autriche masse b Venise 100,000 hommes, et que de Vicencesera établi un camp de 3o mille hommes. On lit dans une correspondance de l'Union Les étudiants de Pavie viennent d'adresser une lettre b Garibaldi, le Nestor de l'indépen dance italienne (compliment qui doit sonner un peu mal b l'oreille d'un époux de fraîche date, et surtout d'un époux malheureux) le héros de Monte Video, de Rome et de Varèse, pour lui demander d'envoyer, avec la vitesse de l'éclair (nouveau style académique) deux mille fusils b Pavie. Pour motiver cette recommandation b leur Nestor, de se servir de la grande vitesse pour le transport de la marchandise, ces ardents acolytes rappellent b son attention, que le temps presse 'Autrichien grossit b la frontière (arc). Le clergé, ce Jarius deux faces, ce Cadmus caché, celte hydre b sept têtes (deux faces et sept tètes pour le clergé, il paraît que nos étudiants sont d'une force arith métique qui ne se laisse surpasser que par le bon goût et l'b-propos de leurs allusions mythologi ques) vomit sa bave pestifère sur ce que nous avons de plus beau, de plus pur et de plus sacré... L'heure de la lutte va sonner; la patrie est en danger! Il uous arrive de temps en temps de ces échos d'une autre révolution. Maendag 20'" February 1860, in het Brusselshof in de Bgssetslrael te Meenen, len 5 ueren namiddag, OVERSLAG van een (joeden SUE H HE BOSCH genaemd den Genlebosch, grool drie heclaren, gelegen op l'asscliendaele, bg d'herbercj de Vyf wegen of Grypt de Muys, onverpagt; alsmede van àndere Goederen waeronder cene alderbesle partije ZAE YLAND van 2 heclaren 63 aren, al gelegen le Meenen. Dynsdag 21° February 1860, Vasten- avond, te middag juyst, Vendilie in 3 bossclien gelegen by elkanderen te Zillebeke en Zandvoorde, digt van zuyden (Therberg Dynsdag 28'° February 1860, len etf IEUSTEL, IMMEUBLES PATRIMONIAUX. ET SIIVV&IBS il ULsasanas E.N UNE SEULE SÉANCE. l'i.vcr. i.'.t.vcicx cihktirrk. Article premier. TJne grande et belle MAISON ci Étage, avec Cour et un are 90 centiares de Fonds et Jardin, connus au cadas tre section A, numéros liy et 2ÔO, tenant de levant une rue conduisant l'Église, de midi la sortie du Marché aux Porcs, de couchant l'article suivant et la maison du sieur Louis Gruson et du nord le sieur J. Bl° Woslyn. Actuellement inoccupée, pour entrer en jouis sance de suite. ri.tncni'. aux porcs. Article deux. Une autre MAISON érigée sur 4o centiares de Jonc/s appartenant t In stitution Royale de Messines, connue au cadas tre, même section N249. tenant de levant l'article précédent, de midi audit marché et du couchant l'article suivant. Occupée sans bail par Pierre Lesage. Article trois. Une autre MAISON con struite sur 5o centiares de fonds ladite Institution, connue au cadastre section A, N" *248, tenant de levant a l'article précédent, de midi ledit marché, de couchantauditS' Gruson. - Occupée sans bail par Romain Descainps. Le cahier des charges est déposé en l'étude dudit Aolaire THERRY ou l'on pourra traiter avant le jour fixé pour la venir. 1

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Le Propagateur (1818-1871) | 1860 | | pagina 3