ANNONCES. ZAEILAND M MEËRSCH 3 ©P P&iiÛIKlEGSfl.MIlLI, PASSCHENDAELE, west by iiet doiip. h élargir son cercle d'action et b rendre ainsi de nouveaux services. Il est bieo évident que si l'on parvient h rendre la cavalerie plus mobile, plus légère de façon b ce qu'elle ait raoios a redouter les effets meurtriers des modernes perfectionne ments du tir que si, en un mot, on peut la mettre même de lutter isolément avec les autres armes, on aura fait beaucoup pour son maintien et son avenir. C'est de cette question, actuellement débattne dans toos les pays, que le comité consultatif aura a se préoccuper. Parmi les points qu'il aura b résou dre, figure au premier rang celui de l'utilité du maintien de trois espèces de cavalerie grosse cavalerie, cavalerie de ligoe et cavalerie légère. Si, comme tout autorise b le penser, le comité estime qu'il serait plus avantageux de n'avoir qu'une seule espèce de cavalerie, il devra ensuite se prononcer sur le mode d'organisation du corps d'après le nouveau système, ainsi que sur les détails d'armement et d'équipement qui en seront la conséquence. Indépendance Nous apprenons, dit le Journal de Liège, qu'il ne sera plus accordé ultérieurement de dé coration commémorative, les délais accordés aux ayants-droit étant expirés. De mémoire d'homme, les sinistres maritimes n'avaient été aussi nombreux qu'en 1859 il a péri 2,320 navires. Sur les côtes d'Aogleterre seule ment, 1,645 personnes ont trouvé la mort dans ces naufrages, et ils représentent pour la France, une perte matérielle de trente b quarante millions. L'éclipsé de soleil annoncée pour l'année 1860 aura lieu le 18 juillet prochain. Non-seule ment cette éclipse sera totale, non-seulement elle durera trois grandes et précieuses minutesmais encore les principales planètes de notre système, Vénus, Mercure, Jupiter, Saturne, constellées au tour du soleil, viendroot prendre part a la fête. Bien des ceotaioes d'années s'écouleront avant que les nombres par qui les astres sont gouvernés re produisent une combinaison si rare et permettent h nos descendants un si magnifique spectacle. En Belgique, le phénomène ue passera pas complète ment inaperçu, mais malheureusement l'éclipsé ne sera que partielle, et elle n'offrira pas plus d'inté rêt que celles que nous avons déjà vues h diffé rentes époques. FRANCE. On écrit de Paris, 25 avril Voici une belle anecdote, dont je vous garantis la parfaite authenticité, et que je tiens b vous Cela ne l'a pas empêché de conspirer contre l'État, ajouta un des trois. C'est bien impossible! depuis qu'elle est aveugle on ne peut même plus lui faire rien com prendre elle ne s'occupe tout le long do jour qu'b prier Dieu comme nous. Eh bien, dit un des juges, puisqu'elle ne peut se justifier elle-même et que son crime est évident, mettez qu'elles conspiré sourdement et qu'elle est condamnée b la peine capitale, elle et ses compagnes que voilà. Il y eut dans l'auditoire un murmure faible et prolongé. Les trois juges, jetant un regard sombre autour d'eux, firent taire les consciences prêtes b se révolter d'horreur. Chacun trembla pour soiet tout rentra dans le silence. L'abbesse et ses compagnes furent conduites le jour même b l'échafaud. Ou les entendit chanter des cantiques et réciter des prières. Jeanne de Montmorency fut b la mort croyant aller dans son lit on fut obligé de l'y porter, et elle se trouva au ciel sans avoir compris la mort. Les religieuses suivirent une b uoe, tremblantes et courageuses b la fois, craignant le supplice et le désirant. Dix minutes étaient a peine écoulées, que leurs âmes se reposaient déjà dans un monde meilleuret tout combat était terminé. [Pour être continué). Ce mol est bistorique. raconter un des jours de la semaine dernière S. A. R. madame la duchesse régente de Parme reçut b l'hôtel Baoè'r une lettre datée de Genève et portant la signature du générai de I.amoricière après en avoir pris connaissance elle fit immédiatement appeler le duc Robert et voici le colloque qui s'établit eotre la mère et le fils Mon fils, connaissez-vous le général de Lamoricière? Oui, Maman, j'en ai beaocoup entendu parler. C'est un des plus nobles et des plus valeureux soldats de l'armée française. Le géoéral, qui se rend b Rome pour y défendre la cause du Pape, m'écrit pour savoir si nous voulons lui céder les armes que nous avoos en dépôt dans la citadelle de Mantoue. 0 Cela vous regarde, mon fils. Voulez-vous vendre ces armes au général? Les vendre, maman! Il faut les lui donner. Elles ne peuvent servir pour une cause plus sainte et plus légitime! Très-bien, Robert, très-bien! c'est préci- sèment ce que je voulais vous entendre dire. Il est probable, cerlaio même, qu'b l'heure présente le dépôt parmesan de la citadelle de Mantoue est mis b la disposition du commandant en chef des troupes pontificales. Je ne crois pas que les organes les plus envenimés de la révolution, lors qu'ils connaîtront celte scène de l'hôtel Bauër, puissent faire autre chose que de l'admirer. On lit dans l'Osl-Deutsche-Post Un bruit singulier court b Paris depuis quelques jours. Oo sait que le prince impérial était caporal; il vient, paraît-il, d'être dégradé et n'est plus que simple soldat. Uo jour il avait été fort méchant et avait battu jusqu'à l'Impératrice sa mère. Aussitôt on réunit aux Tuileries un conseil de guerre et on jugea le petit coupable, qui fut condamné b la dégradation et b la privation pour quinze jours de la musique de midi dans la cour des Tuileries. Un vieux caporal fut appelé pour venir lui enlever ses galons, ce qu'il fit avec toute la gravité requise. Mais le prince, qui ne paraissait avoir conscience ni de la gravité de la faute ni de celle du châtiment, riait peodant la (liste cérémonie. Le Moniteur fait couuaître le résultat défi nitif du vole de la Savoie coucernant son aonexion b la France. Ce résultat fait voir une fois de plus quels singuliers tours de force on peut faire opérer au suffrage universel Il y avait,selon le Moniteur, i3o,839 votants: i3o,533 ont dit ouf, et 335seulement, non; 70 ont été nuls et 4,610 u'ont pas volé.Nous ne com prenons réellement point comment avec un pareil enthousiasme pour être réunie b la France, la Savoie ait tardé si longtemps de se prononcer. ITALIE. Le Roi Victor- Emmanuel est loin de recevoir en Toscane l'accueil dont parleut les journaux. A Livoorne, il y a eu une sorted'enlhousiasme factice. En débarquant, Sa Majesté, dont le visage était fort empourpré, a négligé de saluer les consuls; ce qui a produit un assez mauvais effet. A Florence, il y avait beaucoup de peuple rassemblé; mais la curio sité l'avait amené. Partout où est allé le Roi, les mêmes cris poussés par les mêmes voix, ont retenti b tel point qu'il n'a pu cacher sa mauvaise humeur. Il a dit même crûment ce qu'il pensait de cette manœuvre de police. Le clergé est allé par ordre b la cathédrale, la faiblesse de l'archevêque est blâ mée par tout le monde et le gouvernement est si assuré du genre d'accueil qui serait fait qu'il a été d'avance déclaré que le Roi ne visiterait point les églises des autres villes. A Pise, l'accueil a été plus que froid. Bref, on assure, j'ai de la peine b le croire, que Victor-Emmanuel, en proie b des terreurs secrètes, que les observations de son cousin Cari- goan ont encore plus excitées, n'ira pas b Bologne. (Corresp. de la Gaz. de Liège.) Voici le texte de l'ordre do jour publié par Mgr. de Mérode Rome, 24 avril. Sa Sainteté le Pape Pie IX a daigné me con- fier la direction du miuistère des armes b ce moment solennel où, non-seulement l'Italie, mais la chrétieuté entière s'est émue des daogers qui entourent le patrimoine de Saint-Pierre, et répond avec enthousiasme a la voix du Vicaire de Jésus-Christ. Un grand devoir m'est imposé, celui de veiller sur les intérêts et les besoios de l'armée pontificale; je m'efforcerai de l'accomplir avec la plus tendre véoération pour le Saint-Père, avec la plus ardente sollicitude pour ses géné- reux eofants dont la fidélité, tant de fois prou- vée, est une garantie de sécurité pour l'avenir. Le pro-minislre des armes, Severio de Mérode. Sa Sainteté a nommé M. de Mérode prélat; il n'était encore que monseigneurquoiqu'il fût attaché au service particulier du Pape. BY HET DORP OPES B AER TE KOOPES. ig «Ti Van wege de eigenaers slelt men met het liouden van 2 zitlingen, openbaer te koop de volgende onroerende Goederengelegen op Eersten koop. - Een driehoetig perceel Zaei- land, grool 1 1 aren 90 cenliaren; palende oost scherp en zuid de oude Osselstraet, west het land der kinderen Desmedl en noord den meersch van M. Comyn. Tweeden koop. - Ten westhoeke aen den voorigen koop, eene party Zaeiland, grool 52 aren 90 cenliaren, palende oost den meersch van M. Comyn, en koop 1, zuid het land der kinderen Desmedl, west den vo/genden koop en noord het land der kerk van Passchendaele en het geen van S' De/orclie. Derden koop. - fPest aen den voorgaenden koop, eene party Zaeiland, met wat meersch ten noordkanle, te zamen grool 44 aren 60 cenliaren, palende oost den voorigen koop, zuid het land der kinderen Desmedl, west den grond van 7" Preneel en den volgenden koop, noord het land van S' De/orche en hetgeen van den No taris Chrisliaen. Vierdeo koop. - Ten noord-wesllweke aen den voorgaenden koop, een perceel Meersch, g root i5 aren 4o cenliaren, palende oost den voorigen koop, zuid den grond van JPreneel, west het bosch der erfgenamen Pan Craeye- linghe en noord den grond van Jean Verhelle en dengenen van M. Spillebout. De vier koopen te zamen grool h. i-o4-8o, worden gebruikt door verscheide mils fr. 97 5o, met pacht tôt ien October 1860. De ziltingen voor de Verkooping zullen plaets hebben, ten dorpe van Passchendaele, te weten Den INSTELop Dy'ssendag »5eo Mei 1860, ter herberg de Zon, bewoond by Blanckaert, en de VOLSTREKTE TOEkPYZING op Dys sendag 29e11 derzeljde maendter herberg bewoond by S' Pieter De Pacht, l't/kens ten 4 uren namiddag. De voorwaerden der Verkooping beruslen, ten kantoore van den Nolaris CHRISTIAEN, te Passchendaele. (1) Instel penningen te wionen. -

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1860 | | pagina 3