A N NONC E S. D'HUITRES ANGLAISES, D'HUITRES ANGLAISES, ALfflANACHSJOUR 1861. 3 St-JAN EA YPRE. angleterre. france. italie. suisse. Maendag, 24» December 1800, Chez J.-J. Terrier-Deraedt, DÉPÔT marché au poisson, a ypres. 5 francs le cent. En vente chez LAMBIN MORTIERau chez ses maîtres, elle ne larda pas retomber malade. Les médecins qui oot été consultés n'ont pu reconnaître jusqu'ici la cause de celte maladie particulière. Les ustensiles de cuisine, les objets qui servent l'alimentation ont été examinés avec le plus grand soin e» oo n'y a rien découvert qui puisse mettre sur la trace du mal. En attendaot toute cette famille doit être nour rie absolument comme des enfants. Madrid, samedi, i" décembre. La Espana publie une lettre signée de nom breux habitants de la Biscaye qui protestent éner- giquemeot contre les projets annexionnistes dont se sont occupées diverses lettres publiées par le même journal. Voici ce que le Court-Journal dit au sujet du voyage de l'Impératrice des Français: La nature réelle du voyage de l'Impératrice Eugénie commence aujourd'hui àêtregénéralement comprise. L'absence absolue de tout membre de l'ambassade de France, soit pour recevoir S. M. son arrivée, soit même pour signaler la moindre attention était un fait assez significatif pour les initiés, pour rendre une confirmation nouvelle inutile. Les obstacles qui se sont produits pour empêcher l'Impératrice de visiter la parente de l'Empereur, la duchesse d'Hamilton, pen dant que S. M. Impériale pouvait visiter le duc d'Atboll, le marquis et la marquise de Breadalbaoe, en Ecossesont des preuves qu'il ne s'est pas produit de grands changements dans l'état premier des choses qui a causé ce voyage extraordinaire. Le voyage de S. M. h uotre cour est toujours quelque peu douteux; mais s'il se fait, la petite fugue sera expliquée très-diplomatiquement et sera très-volontiers acceptée. Nous n'avous absolument rien a signaler dans les autres journaux anglais, qui sont d'une nullité absoloe. On lit dans une correspondance parisienne Je ne vous ai parlé jusqu'ici du voyage de l'Im pératrice que sous forme de prétentioo mais j'ai réuni taot de renseignements, tous concluants, sur la cause principale de ce départ que je crois devoir vous les coinmuoiquer. Je dis la principale cause parce qu'il y a eo des causes concommitantes, et par exemple la santé de l'Impératrice Eugénie qui, se croyant menacée de la même maladie qui a em porté sa sœur, désirait consulter un médecin célè bre d'Ecosse. Mais il n'est pas douteux que l'Im pératrice qui, sans être de taille être comparée la Reine Blanche et la grande Isabelle, parallèle dont les discoureurs officiels oot abusé, a conservé les sentiments catholiques que n'abdique jamais une femme espagnole, s'est montrée très émue des malheurs du Saint-Père et de la politique suivie son égard par le cabinet des Tuileries, qui, malgré les termes de la fameuse dépêche, a toléré tous les attentats du Piémont contre le pouvoir temporel de Pie IX. Elle s'en est exprimée avec la dernière vivacité devant l'Empereur en disant que si l'on abandonnait ainsi aux violeuces du Piémont ce vénérable Pontife, parraiu de son enfant, cela lui porterait malheur, ainsi qu'à la mère et son père. C'est la suite de cette scène que l'Impératrice, n'obtenant aucune promesse ce sujet, a déclaré qu'elle voulait voyager. Du reste, toute la famille de l'Impératrice est dans ces sentiments, et la maréchale duchesse de Malakofî qui est, vous le savez, parente de l'Impératrice, s'est exprimée avec taot de vivacité cet égard que l'on attribue cette raison la nomination du maréchal au gouver nement de l'Algérie. C'est un éloigneraent, pres que un exil. Le maréchal, il est vrai, n'est person nellement pas bien en cour depuis qu'il a parlé avec beaucoup de chaleur du général Lamoricière, eu s'étonnaut que les divisions françaises qui sont Rome restassent l'arme au bras peodant que les Piéraontais se ruaient lâchement sur le faible corps commandé par un général qui est une des gloires de l'armée française. On lit dans le Constitutionnel Samedi dernier, i" décembre, ont eu lieu, en présence de S. Exc. l'ambassadeur de la Sublime- Porte, entre M. G. Court, commissaire spécial du gouvernement ottoman, et M. J. Mirés, représen tant les contractants, l'échange des ratifications de l'emprunt. Le firman de S. M. I., approbatif de l'emprunt, a été remis M. J. Mirés par S. Exc. Ahraed- Wefyk-Effendi. Le comte de Cavour est sérieusement malade, il a été saigné plusieurs fois. Les médecins lui pres crivent de longues proraeuades. Son assiduité au travail, ses ooinbreuses occupations et bien plus les difficultés croissantes de sa position lui auraient occasionné un transport de sang la tête qui le fait souvent tomber en délire. Le correspondant de la Gazelta di Venezict donne des informations sur les offres faites par le Roi de Piémont au Saint-Père. Ainsi non-seule ment il s'agissait J'nne liste civile d'un million d'écus pour le Pape, de 10 mille écns trente-six cardinaux (poutquoi pas tous les cardinaux?) et de l'indépendance du périmètre du Vatican; il y aurait encore libre communication avec toutes les églises; le choix des évêques serait laissé au Pape sans Vexequatur ainsi que l'administration des biens ecclésiastiques. Mais le correspondant de la Gazelta ajoute que le Pape ne cédera, ni dans la prison ni dans l'exil. On lit dans le Chroniqueur de Fribourg La personne vraisemblablement ia plus âgée de la Suisse existe en ce moment Louèche. C'est une pauvre femme de i i5 ans, qui va encore de mai son en maison chercher sa subsistance. Dans un village voisin, vit également une femme âgée de gg ans, qui vaque encore du matin au soir aux travaux de la campagne. Les exemples de longé vité ne sont pas rares dans cette contrée. >-^ Le Receveur des Conlri- «sp^bulions directes en cette ville, a l'honneur d'inviter les contribuables qui ne se sont point libérés de leurs contributions dues pour l'exercice courant, les payer, avant le 15 de ce moisépoque laquelle il sera obligé d'adresser des sommations officiel- j les aux retardataires. (IN PLAETS VAN DEN WOENSDAG 26"), I Om 12 uren juist 's middags, zal den ISotaris VA ADERMEERSCHresiderende te Ypre, openbaerlgk Verkoopenop de landen der hofstede, gebruiki door Josephus Delrue, en op degene van Louis Gilles, te Wytschaete, gehuchle den Oostaverne, langst den sleemveg naer Waeslen, 89 koopen zeer schoone lepen, Wilgen, Popelieren en Esschen Boomen. 1 WOENSDAG 26" DECEMBER 1860, ten 12 uren precies zal er verkocht worden voor den Nolaris 1VEA.HI3TT, le Ypre, 72 KOOPEN SCHOONE IEPEN, ABEELEN, CANADAS EN WILGEN BOOM EN staende op het hofstedeken gebruikt door Pieter Roseeuw-Swingedouw te &-Jan en op weide te Ypre bu de Bryke, qebruikt door Wallaert.(i) PREMIÈRE QUALITÉ, MARCHÉ AUX POULETS, X" i, a tpres, AINSI QUE DES HOMARDS, SAUMONS, TURBOTS, ETC., <£n lut faisant la frcmanbc temps. STUDIE VAN DEN Aotaris LAMBIA, tYper. Den Donderdag 13" December 1860, ten h uren namiddag, in de afspanning de 5 Koningen, Groote Markt, t'Yper, zal den Notaris LAMBIN voorlsvaren toi de Définitive Toewyzing van een HUIS ten dienste van Brood- en Suikerbakkery, met deszelfs Grond en Erve, Meenenstraetn° 31, biunen gemetde slad; gebruikt door de gezusters Fagel met regl lot 3 muenden naer den Overslag. (2) Ingesteld 5,075 francs. 1 .1 1 T JTTZt a prendre fraiches tous les jours, CHEZ A LA CARPE, Diminution de prix de 50 centimes sur 100 Huîtres. bureau de cette feuilue ALMANACH Pittoresque. de Lille. de Liège. Matthieu Lœnsberg. Mignon. Toin Pouce. Recettes et Dépenses. Agenda belge ou Mémento journalier. Agenda ou Tablettes de poche. Choix de Calendriers. Almanach de cabinet et de bureau. Calendriers-Cartes. Praklizgns dagwyzer. Almanak van Milanen. De kluchlige Genlenaer. Nieuwe Gentsclie Almanak. JSieuwjaergift. Dixmudschen Almanak. Snoek's Almanak. Kabinet Almanak. Plak-Almanak.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1860 | | pagina 3