HOTEL.
GOEDEREN
TE PACHTEN,
HOTEL 01 LA TÈTE DOR,
A CÉDER DE SUITE
M»a»»
FRANCE.
ITALIE.
Te koopeii by den Notaris ÇIT2GA.
te Boesinglieaen den prys van facture veele
schoone LAEKE1SS, STOFFIEN, BROU-
KEGOEDenz,
Elk zcg het voorls.
Om in geniet te komen den Ie" Oogst
,1861, een sclwon, groot.en gerieflyk
HUIS met Bakkeuken, Pecrdeslal, Remise
en 22 aren, 05 centiareh Grond en Hoving,
staende en gelegen ter plaets van Zillebeke
thans gebruikt door M' den Onlvanger der
conlributien.
Voor de vooriijaerden zich te vervoegen by
den Burgmeester der gemelde gemeente. (i)
4
ni m
Avantageusement connu dans le pays et
l'étranger; tenu par le propriétaire
Pour les conditions s'adresser au Notaire
LAMBIN, Ypres. (t)
TE KOOPEN
1° Eene schoone en zeer goede
HOFSTEDE, gelegen te Pollinchove, by
het dorp, groot by tytel 8 h. 99 a. 15 c.;
gebruikt door de kinderen van sieur Fran
cisais Meersseman.
2° Eene partie MAEIGRAS, gelegen
te Merckem, by de Knocke, groot by tytel
1 h. 47 a. 99 c.; gebruikt door sieur Carolus
Leliouck.
5" Eeneschooneengoede HOFSTEDE,
gelegen le Zillebeke, by het dorp, groot by
tytel 9 h. 66 a. 66 c.; gebruikt door de
vveduwe van sieur Bertinus Pillaert.
4°Eene partieZAElLAN D, le Zillebeke,
groot 52aren 40 cent.; gebruikt door Pieter
Fret.
,5° Een HOFSTEDEKEN, 00k gelegen
te Zillebeke, groot by tytel 2 h. 57 a. 60 c.;
gebruikt door sieur Josephus Huyghe.
En 6° - Een HOFSTEDEKEN, gelegen
te Wytschaete, by de herberg de Sterkle,
groot 3 h. 96 a. 88 c.; gebruikt door
sieur Jean-Baptiste Vlaemynck.
Den INSTEL zal gebeuren binnen de
stad Ypre, in de estaminet den Sultan, op
de Groote Markt, Zaturdag 27° July 1861,
om 2 uren namiddag, ingevolge de voor-
waerdenberuslende ten kantoore van
den Notaris VANDEKMEERSCH, te Ypre.
On raconte qoe certaines difficultés se sont éle
vées entre M' Mathieu, l'un des avocats de M.
Mirés, et son client. M. Mathieu exige de M. Mirés
beaucoup de modération, et son intention qu'il n'a
point dissimulée, est de plaider dans le sens d'une
simple atténuation. M. Mirés au contraire est, dit-
od, disposé h casser les vitres, comme on dit vul
gairement. Il tient en réserve, dit-il, des révélations
de nature embarrasser singulièrement la justice,
et ces révélations, destinées, d'abord b l'impression,
il les promet pour one prochaine audience. C'est
alors qoe M" Mathieu se serait formellement refusé
b continuer la défense. On se serait adressé b M*
Crémieux qui a répondu par un refus, ne connais
sant point l'affaire, et n'ayant point le temps de
l'étudier.
Le bruit a couru b Marseille que l'Italien
arrêté avait pris la fuite. Il n'eo est rien. Ce qui a
donné lieu b ce bruitc'est la disparition d'un
étraoger, embarqué b Gênes par le consul géné
ral de France comme dangereux et qui a
profité d'un léger accident arrivé au navire qui
l'amenait pour débarquer clandestinement. Les
représentants de la France 'a l'étranger signalent
partout depuis quelque temps au gouvernement
dés individus ma! intentionnés, pour la plupart de
Gênes et de Malte. L'Italien arrêté ces jours der
niers est âgé de 28 ans, et se nomme d'Aquino. Le
sénateur l'a interrogé longuement le lendemain du
jour de son arrestation.
Les^ attentats contre les poudrières, pour par
ler comme l'Armonia, inspirent au correspon
dant turinois du Messager du Midi les réflexions
suivantes: a II est évident que ces faits, qui se
reproduisent depuis un mois dans toutes les prin
cipales villes de l'Etat, se rattachent b quelque
trame que le gouvernement n'a pas encore pu
réussir b éventer. Je vous dirai même là-dessus que
nos hommes politiques ne cachent pas leurs préoc
cupations b leurs intimes. Il y a des choses qu'il est
impossible de prouver, mais qui cependant sont
incontestables. Ainsi, il est certain que nous ap
prochons d'une crise redoutable, dont la nature et
l'origine sont difficiles b définir, mais qui ne sera
certainement pas évitée. Les indices se font voir de
tous les côtés, et tous les hommes importants avec
lesquels j'ai eu l'occasion d'en causer partagent
complètement cette impression. Donc VArmonia
avait raison, et les alarmes que font naître les pas
sions intraitables qui fermentent dans les bas- fonds
de la société piémontaise oe sont que trop justifiées.
Nous trouvons, dans un manifeste de Mazzini
que cite le Daily-News, la confirmation de tout
ce qui a été dit jusqu'à présent des progrès consi
dérables de la réaction.» Depuis six mois,
écrit le célèbre agitateur, nous avous perdu au lieu
de gagner du terrain... l'inertie nous détruit... et
l'unité elle-même est menacée par un mécontente-
ntent populaire qui b tout moment peut éclater en
mouvements locaux qui peovent aisément tourner
a l'avantage des ennemis de la liberté. Mazzini ne
•ou b ce mal qu'un remède c'est que le gouver
nement s'entoure des hommes les plus solides de
toutes les fiactioDS du parti national, et qu'il lève
tésolumerit la bannière de Rome et de Veuise.
^oil'a le programme de la révolution. Il est bien
aussi celui de M. Ricasoli; mais M. Rjcasoli, qui a
1 audace dans la théorie, voudra avoir dans la pra-
t'que la prudence, et la révolution ne le voudra.
Ee manifeste de Mazzini est un signe du temps.
- Une dépêche de Rome du 6 nous apprend
1°é la ville jouissait de la plus grande tranquillité.
santé du Saint-Père continuait b être bonne. M.
'e marquis de Cadore avait eu la veille une longue
c°nfe'rence avec le cardinal Aotonelli.
On écrit de Naples, 3o juin, b VAmi de la
Religion
L'agitation est extrême ici, et quoique les dépê
ches télégraphiques annoncent que la ville est
tranquille, je puis vous assurer que ce n'est point
exact. Si les garibaldiens se remuent, les royalistes
en font autant; ajoutez b cela le typhus, qui fait
des ravages énormes dans les quartiers de Chiaja,
de Pausilippe, les plus élevés de la ville; ajoutez-y
des assassinats journaliers, et vous aurez une idée
de notre situation. Dans une seule journée, deux
de nos principaux médecins ont été enlevés par le
typhus, et entre autres le professeur Joseph
Rosieilo, médecin en chef de la garde nationale,
professeur de chirurgie b l'Université des Etudes.
La consternation est partout; la garde nationale
elle-même est découragée. Coseuzce fameux
général Garibaldien, qui est arrivé ici précédé d'une
immense réputation n'a pas mieux fait que les
autres; Il a formé les colonnes mobiles de la garde
nationale, mais celle-ci ne veut plus marcher. On
la mène contre des bandes qu'elle ne peut jamais
rejoindre. Assaillie de coups de fusils, elle perd un
ou deux hommes, puis rentre b Naples en désordre.
M. di Sau-Martiuo a demandé 60 bataillons, on
lui envoie seulement neuf mille hommes.
Mais c'est surtout depuis quinze jours que la
réaction a fait de grands progrès dans la ville. Au
cours Victor-Emmanuel, au Pausilippe, et même
dans la rue del Mercato, la plus populeuse de
Naples; ou placarde sans opposition des procla
mations de Bosco et même celles de Chiavone, qui
prend le titre de commandant eu chef des armées
royales dans la Terre de Labour et de Molise.
Hier, ou a affiché une proclamation garibaldieuue
annonçant sa prochaine arrivée. Il y avait foule
autour, après quelque hésitation la police s'est
décidée b arracher ces affiches. Nos prisons se
vident; on achète les geôliers, qui parlent avec les
déteuus. Ou me cite uue petite ville, du côté de
Salerue où prisonniers, geôliers et gardes natio
naux chargés de garder la prison sont partis
ensemble. Il y a malheureusement, au milieu de
cela, des brigandages. Cent forçats, qui étaient
renfermés dans l'hôpital de Piedigrotta, se sont
évadés vers cinq heures du soir; une partie est
sortie par la giotte une autre par le Pausilippe
et le reste a gagné la mer sur des barques. La garde
nationale est accourue avec quelques soldats,
lorsque l'évasion était consommée.
Mais il y a plus le iendemaio, t5o hommes
armés se sont embusqués tranquillement sous nos
fenêtres b Mergellina sans qu'on ait même essayé
de les arrêter. Aux portes de Naples, des bandes
armées ont enlevé les caisses des stations de che
mins de fer.
Les garibaldien^ reviennent b Naples eu quan
tité; mais ils n'y restent pas, ils ne font que passer.
Ils se dirigent tous vers le lieu du rendez-vous
que j'igoore. Je crois que c'est vers Messine et
Reggio. L'agent français b Naples M. Aymé
d'Aquin, doit, dit-on, nous quitter prochainement,
et potùme on est fort content de ses services, on va
lui donner un poste important dans l'Italie centrale.
Le gouvernement français songe, dit-on, b accré
diter dans les priucipales villes des agents qui le
tiendront au courant des événements. Ils ne seront
ni secrétaires d'ambassade, ni consuls et auront,
dit-on, le caractère d'agents politiques.
DOOR F1TSCHEIDING VAN BEDRYF.
le bel
SITUÉ AU CENTRE DE LA
Mr Thiebault - Ferricx.
j.
PATRIMONIEELE
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2EÎI. (1)