MAISON HOTJEL. immrmn8. MALADIE DES YEUX. GRAND JARDIN HOTEL 01 LA TÈTE D0R,_ ANNONCES. A LOUER, A CÉDER DE SUITE HUIS IN TWEE W00NSTEN ÉTAT-CIVIL D'YPRES, Mr Thiebault - Ferricx. MEDEGAENDE LAAD, S'adresser au Bureau de celte feuille. Avantageusement connu dans le pays et C étranger, tenu par le propriétaire Pour les conditions s adresser au Notaire LAMBIN, Ypres. M. FIERENS, Donne des consultations COUKTRAI, tous les Lundis, l'hôtel des firmes de France, rue de Lille. Les autres jours de la semaine, a l'exception du Mercredi, a GAND. "Yiiii isiRasianj t On écrit de Moos que cette prétendue é»asion ri'est qu'une mystification, aucun des prévenus de |a bande d'Entre-Sambre-et-Meuse n'étant in carcéré en cette ville. Une ordonnance royale'publiée le 23 juillet Introduit un impôt sur les chiens en Suède. PRUSSE. On lit dans la Gazette, entomologique de Stettio Les vastes prairies situées sur le bord de l'Oder ont naturellement déterminé beaucoup de cultivateurs li avoir des abeilles; mais ces insec tes n'ont pas tardé se procurer leur nourriture, tout en renonçant aux excursions lointaines. Il existe, en effet, daus la même contrée,deux grandes raffineries de sucre, qui, dans le temps, raffinaient du sucre colonial, mais qui, par soite des dernières lois douanières, se livrent uniquement au raffinage du sucre de betterave. Les abeilles ont trouvé plus commode de prendre leur sucre dans ces établisse ments que d'aller le prendre sur les fleurs. Depuis des années on était babitoé dans les raffineries voir aux mois de juillet et d'août des bandes 3'abeilles envahir les fabriques et gêner beaucoup les ouvriers. Mais enfin on s'est aperçu que cette exportation illicite de sucre prenait des proportions considérables. On sut qu'un grand sombre de propriétaires des environs avaient dix fois, vingt fois plus de ruches qu'auparavant et que même ils avaient cooclu des contrats avec des éleveurs du dehors et qu'ils prenaient des abeilles en pension. n On organisa alors une chasse régulière dans les raffineries. On laisse eotrer les abeilles, mais quand les salles en sont remplies on ferme portes et volets en laissant arriver la lumière par une seule fenêtre fermée. Tontes les abeilles s'y préci pitent pour sortir, mais là un ouvrier les arrose d'eau bouillante et les fait tomber daus des vannes, d'où elles passent dans les chaudières de raffinage. On a compté qu'on tuait ainsi par an 11 mil lions d'abeilles dont on extrait pour environ 1,200 fr. de sucre. Malheureusement, on ne parvient guère qu'à prendre le quart de celles qui entrent, de manière que la perte est toujours assez grande. v II est remarqnablç que, do temps où l'on raffinait du sucre colonial, les abeilles se jetaient sur toute espèce de sucre, même sur la mélasse. Depuis que l'on ne raffine que le sucre indigène, elles n'attaquent que le sucre raffiné. Elles respec tent parfaitement les qualités inférieures et tout ce qui conserve encore l'odeur pénétrante de la plante. AUTRICHE. Dimanche après midi a éclaté sur Vienne et les environs un ouragao quia fait d'immenses ravages. Il a emporté les foins et ies blés fauchés qui cou vraient les champs, fait tomber tous les fruits des pommiers, brisé Vieuue plus de 4o,ooo vitres, enlevé les toiles et les ardoises des toits, dont plu sieurs personnes ont été blessées, déraciné des ar- ibres, fait crouler des cabanes, retardé tous les con vois des chemins de fer et interrompu les commu nications télégraphiques par la rupture des fils. Beaucoup de vitriers de Vienne ont dû refuser, faute de verre, la réparation des fenêtres, et un seul couvreur en tuiles avait reçu dès le lendemain 200 commandes de réparations de toits. Le canal de Vienne;Neustadt était si encombré de blé apporté par l'ouragan, qu'il a fallu faire repêcher tout cela. De petites boutiques de jouets et de bonbons installées sur ies glacis l'occasion d'une fête ont été complètement détruites, et le toit d'un théâtre entièrement dégarni. TURQUIE. Une correspondance de Constantinople donne statistique suivante de la famille du Sultan qui vient de mourir. Le soltan Abdul-Medjid a laissé après lui t5 enfants, 7 fils et 8 filles. Les 7 fils sont 1. Mehmed-Mourad-Effendiâgé de 21 aus; 2. Abdul Haelb-Effendi, 19 ans; 3. Mehraed- Bechid- Effendi17 ans; 4. Ahhmed Kemal- Eddin-Effendii4 ans; 5. Mehmed-Berhan- Eddin-Effendi, 12 ans; 6. Nour-Eddin-Effendi, 10 ans; 7. Sooleïmao-Effendi, 1 an. Les filles sont 1. La sultane Fatmé, âgée de 21 ans, mariée en premières noces Ali-Galib-Pacha, fils de feu Rescbid-Pacha; elle est actuellement une des épouses de Nourri-Pacha; 2. La sultane Réfié, 19 ans, mariée Elim- Pache, fils du ministre de la marine et récemment promu au poste de préfet du palais; 3. La sultaue Djemilé18 ans, mariée Mahmoud - Pacha; 4. La sultane Minuré, 17 ans, mariée en pre mières noces Ilami-Pacha, fils de feu Abbas- Pacha, vice-roi d'Egypte. Après la mort de sou premier mari, elle a épousé Ibrahim-Pacha, fils de Riza-Pacha, ministre tout-puissant sous Abdul- Medjid, et qu'Abdul-Azis s'est hâté de destituer et de mettre en jugement dès sou avènement au trôue. 5. La sultane Behidje, i5 ans. 6. La sultaue Semis, in ans. 7. La Sultane Fechila, 9 ans. 8. La sultane Chehill, 5 aus. Le défunt Sultan avait donc quatre gendres. De plus, il y a uue fille du Sultan Mahmoud, sœur du sultan régnant; c'est la sultane Adilé, âgée de 3i ans. Elle est mariée Mehmed-Ali, capitarr pacha ou ministre de la marine, qui semble destiné exercer sous le régime actuel une influeuce aussi grande que celle que Riza-Pacha a exercée sous le règue précédent. Beau-frère du Sultan actuel, Mehmed-Ali est père d'Elim - Pachagendre d'Abdul-Medjid. AVEC SITUÉE RUE DE LILLE, le bel SITUÉ AU CENTRE DE LA met, staende en gelegen DU 2 7 JUILLET AU 2 AOUT INCLUS. Naissances i5. Sexe masc. 9, id. fém. 6. Mariages 6. Soeneo, Auguste, juge de paix, et Van den Broele, Sophie, sans profession. Desmet, Emile, journalier, et Mallet, Liévine, dentellière. Fagel Auguste, casquettier, et Candeel, Sylvie, dentellière.-Odeut, Joseph, scieur, et Gesquiere, Catherine, journalière. Vaoacker, Louis, garde champêtre, et Deroubai^, Mêlante, domestique. François, Léopold, poë- lier, et Goudemée, Isabelle, couturière. Décès 5. Recq, Charles, 22 aus, casquettier, célibataire, rue de Meuin. Lievens, Marie, 5g ans, deutellière, veuve de François Desmet, rue de Menin. Dehouck, Séraphin, 47 ans, préposé des douanes, célibataire, S'-Pierre lez Ypres. Landerwyo, Anne, 85 ans, sans profession, veuve de Charles Mahieu, rue de Lille. Rosoor, Thé rèse, 75 aus, deutellière, veuve de Jacques Ver- meuleo, rue de Dixmude. Enfants au-dessous de 7 ans 5. - Sexe mas. 2, sexe fém. 1. Chevalier de l'Ordre de l.copold, Decteur cm Chirurgie, Médeeln-Occullste des hospices d'Auvers, LES INDIGENTS SONT TRAITÉS GRATIS. v openbaerlyk TE ROOPEN TT-PKR, ilïet gratin non Jnstrl pemtink. Eenigen Koop. Een HUIS in twee woningen waer van de eene gebruikt is len diensle van Herberg genaemd Sint-Hubertus, en den nomber van i4 aren, 28 centiaren Grond en Hoving bekend op cadaster sectie B nummers 114". 115* en 11 51'. staer.de en gelegen binnen de gemeente van Brie/en, ter plaets. palende oosl aen den sleenweg van Yper op Veurne, zuid aen den Vlamertinghe weg, west aen land der hojslede van de famillie De Longin en noord aen de weide van M. den brouwer Liehaert, gebruikt door de weduwe Patou. De Herberg met de heljt van het Land is gebruikt. zonder pacht, door Louis Knockaert aen 7 francs te maende, boven de conlributien en de zuidersche (Voonsl met de wederheljl van het Land is gebruikt, 00k zonder pacht, door Jean Segers aen 7 francs te maende, vry van impositien. De Verkooping zal geschieden teri overslaen van M. den Vrederegler van het t"* canton der stad Yper, by gestaen van zynen Greffier. Den INSTEL zal plaets hebben in de her berg genaemd de 3 broeders Calotjens, t'Yper, buiten de Meenenpoorl, den Wornsdag 2 ra Oogst 1861, ten 4 uren namiddag. En de DEFINITIVE TOEfVYZING ter zelve plaets tn uer, den Wobnsdag 4*" Sep tember daer na. De veil voorwaerden en eigendoms titelen berusten ten kantoor van den Nolaris LAMBIN, t'Yper, met dete Verkooping belast. (1) Dat men het voorts zegge.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Propagateur (1818-1871) | 1861 | | pagina 3