BERIGT GUANO VAN ANGAMOS ÉTAT-CIVIL D'YPRES, TE POPERINGHE. A EN i>e LANDBOEWERS. 30 francs per 100 kilos Door de beriglen nu onlvangen van de uilverkoopers uit binnenlandFrankrijk Duitschland en Zivitzertandis nu wederom bewezen dat deze Guano zoo goed gekeurd is als de beste van Peru, door meer dan 50 duizend landbouwers, op al de zomer vruchten. PLAKSCHRIFT Opgemaekt ingevolge art. 39 der wet van den 15" Augusty 1834, RUSSIE. Krachtens vonnis uilgesproken door de Regtbank van eersten aenleg te Yperen, in daten 31° July 1861, geregistreerd. Zal den Notaris BERTEN, ter residentie van Poperinghe, len overstaen v^n den heer Vrederechter van het kanton van Poperinghe, openbaerlyk Verkoopen by ge- dwongene onteigening. Een HUIS met ERVE, staende en ge- legen binnen de slad Poperinghe, in de Meessenstraet, arrondissement Yperen, bekend op het kadaster sectie F n° 369', palende noord de Meessenstraet, zuid de erfgenamen Spyns, Victor, te Dixmude, oost Jufvrouw de weduwe en kinderen Ferdinand Coulteel. te Poperinghe; en west d'heer Carolus Courtois, ook te Poperinghe; welk huis en erve gehragt is op, de matrice kadastral der slad Poperinghe, zelve sectie F, nummer 369 voor eenen inhoud van een are dry cen- tiaren en een belastbaçr inkomen van zeventig francs agi en twintig centimen, (70 fr. 28 c.) Bewoond en gebruikt door Joseph Unes- Vanderlynde en kinderen, mils 10 francs by de maende. De TOEWYZING zal geschiedeu in eene ziTUNc den Zaterdag 24° Augusty 1861, ten twee uren namiddag, in de estaminet ge- noemd het Zilveren Hoo/d, in de Yper- straet,'binnen de slad Poperinghe. Het kohier van lasten en voorwaerden, ingevolge de We* opgemaekt, berust ten kantoore van den Notaris BERTEN voor- noemd, by voorheroopen vonnis tôt doen der Verkooping aengesteld. AlJusopgesielddoor den onderschreven Notaris te Poperinghe, den tienden Au gusty agttien honderd een en zestig. 1ID DÛ IN ZAKKEN. A. SAPORTAS, EENIG AGENT, Kantoor Brilstrael n" 580 Ci) TE ANTWERPEN. ^1—T»^— OP DE GEDWOJÏGENE ONTEIGENINGEN. OPENBAER/TE KOOFEN pereur des Français el le Roi de Prusse aura lieu le 6 octobre Strasbourg. On lit dans la Patrie Le journal le Monde annonce, d'après une jeitre de Rouie,quele soldat pontifical dont l'affaire a donné lieu a de si vives discussions, vient d'être acquitté l'unanimité par le conseil de guerre français. (Cous apprenons, d'un autre côté, que le second incident du même genre, dont il a été parlé dans une dépêche réceote, n'avait donné lieu b aucune complication. ALLEMAGNE. On écrit de Francfort h la Nouvelle Gazette de Hanovre Aujourd'hui, dans notre ville, le comité institué dans ce but a résolu d'envoyer au Roi François II un bouclier d'honneur, au nom des partisans de la légitimité en Allemagne. Ce bouclier sera en argent massif et représentera au centre les figures du Roi et de la Reine. La Reine pose la main sur la tête d'un soldat pour le consoler et le bénir le Roi, levaot son épée repousse les hordes révolutionnaires. Le rocher sur lequel le couple royal se tient debout porte l'inscription: Gaëte; sur le crucifix contre lequel le Roi et la Reine s'appuient, on lit Dei gratia. Deox chérubins élèvent la couronne royale vers le ciel, les artuées célestes l'environneot et l'épée a la main attendent le moment, où du haut des cieux retentira l'ordre d'anéantir les hordes révolutionnaires. Le bord du bouclier est en or et enrichi de pierres fines, n On écrit de Carlsruhe b l'Handelsklad d'Amster dam: que Jud, l'assassin du président Poinsot, a été arrêté Erlerbad, près Achern. Il a été reconnu par un français qui l'a vu mendier. Jud avait pris la fuite mais a été ratrapé par la gendarmerie et a été arrêté par elle. Il est facile h reconnaître, par deux cicatrices dont une au front et l'autre au cou. Jud a été incarcéré b la prison d'Achern. AUTRICHE. Finances de l'Autriche. Daos les douze années qui se sont écoulées de 1848 b 1861 c'esl-b-dire depuis le commencement de i84g jusqu'à la fio de 1860, le gouvernement autrichien n'a pas dépensé pour l'eotretien de ses rfrmées moins de i,83i,g63,os8 florins, eu debçsa d'un revenu de 3,072,583,727 florins. En 1^57 la dépense a été de i25,o32,85g florins; en 858, to5,8o2,544 florins; en t85g, 286,810,20g fl.; en 1860, environ 12g,247,000. Un propriétaire de Debreczen (Autriche) a b ulé la cervelle b son propre fils, avec lequel il revenait en voiture de sa tanya la maisob, et il s'est immédiatement constitué prisonnier. Pendant le trajet, il avait fait des reproches b sou fils b canse de son libertinage, de ses dettes et de sa conduite brutale; il s'était engagé entre eux une discussion très-vive et le père, dans sa fureur, avait tué son fils. On écrit de Saint-Pétersbourg, i5 juillet, b Opinion nationale Oo s'entretient beaucoup ici de la décou verte d'où complot qui aurait eu pour but la mort de l'Empereur et de ses enfants. Beaucoup de peisoouages haut placés y auraient pris part. Voici les détails qui circulent sur cette affaire. Repuis quelque temps, la maison d'un fonctionnaire qui occupait uii poste important dans la chancel lerie impériale servait de lieu de réunioo uu grand nombre de personnes qoi s'y rassemblaient fré quemment sous divers prétextes: c'étaient laplupart des fonctionnaires, des ofl&oiers en disponibilité, des propriétaires fonciers mécontents des dernières réformes, enfin des geus appartenant de près 00 de loin aux différentes coteries de la cour. Ces réunions devinrent le foyer d'une conspira tion où i'on décida de faire périr l'Empereur et ses enfants, et de proclamer une constitution; la com plicité notoire de deux dames haut placées laisse facilement deviper quel devait être le successeur donné par les conjurés b l'Empereur actuel. Les conspirateurs avaient du reste Doué des relations avec quelques-uns des exilés les plus énergiques qui sont b l'étranger, et dont on avait gagné le concours par la promesse de la promul gation immédiate d'une constitution libérale. Lesépateur C..., que sa position mettait b l'abri du soupçon, se faisait l'intermédiaire des corres pondances échangées entre les conspirateurs. Ces réunions inaccoutumées dans la maison de C... attirèrent l'attention, et l'indiscrétion d'uu domestique de la maison mit la police sur les traces du complot. Toutefois, l'enquête ordonnée par l'Empereur eut lieu daus le plus grand secret et avec d'extrêmes précautions. Plosieurs des personnes qui fréquentaient la maisou perdirent subitement les places qu'elles occupaient. Ces destitutions soudaines éveillèrent les craintes des conspirateurs; quelques-uns essayèrent de se dérober aux recherches de la police; le sénateur C..., se voyant le plus compromis, perdit tout eoup la raison et devint complètement fou. Aussitôt l'Empereur ordonna au directeur de la police, M. Patkul, de se transporter au domicile du sénateur..., et d'y saisir tous ses papiers. Pendant que Nl. Paikul faisait les perquisitions voulnes, il vit arriver le colonel X..., secrétaire d'une des deux daines compromises, et son représentant le plus actif dans toutes les réunions tenues par les cou- spirnteurs. X... exhiba un ordre qui lui prescrivait d'enlever sur-le-champ la correspondance de C..., après une vive contestation, l'avantage resta au directeur de la police il fit main-basse sur tous les papiers, et le gouvernement y a trouvé toute la trame du complot. Les deux daines en question ont immédiatement quitté Pétersbourg, avec défense, dit-ou, d'y jamais rentrer. Quant aux autres, je ne sais ce qu'ils sont devenus. L'Empereur est parti pour Moscou, où l'Impé ratrice l'a conduit, pour remercier saint Serge de l'avoir sauvé du péril. Tous les détails que je vous donne proviennent d'une source digue de foi; od se les répète ici b l'oreille, parce que, malgré toutes les illusions que les publicistes étrangers se font sur les réformes radicales dont on nous gratifie, rien on presque rien n'est changé dans le système de mutisme et de compression qui a toujours régné b Pétersbourg; c'est, comme par le passé le régime du mystère et du sileoce, pour tout ce qui touche au gouverne ment. DU 5 AOUT AU 9 INCLUS. Naissances g. Sexe masc. 5, id. fém. 4. Mariages 5. Vandepiite, Léopold, journa lier, et Vermeulen, Marie, dentellière. Rauwel, François, journalier, et Vallaeys, Virginie, dentel lière. Fivée, Pierre, tailleur, et Derasse, Amélie, dentellière. Duruez, Cornil jardinier, et Swyngedouw, Léoniejardinière. Gaston, Louis, cliarpentier, et Ceroy, Thérèse, dentellière. DÉCÈS 5. Vandeubroele, Pierre, 60 ans, entrepreneur de travaux publics, célibataire, EspJauade. Scholaeri, Mai ie, 41 ans, dentellière, rue de Thourout. Deprez, Rosalie, 5o ans, dentellière, célibataire, rue S'-Nicolas. Enfants au-dessous de 7 ans 8. - Sexe nias, 4; sexe fém. 4. r. 222.Ï21T.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1861 | | pagina 3