GOEDEN HOVENIERHOF
EIKEN B00MEN.
jtijsjta Mium,
00GZIEKTEN.
T.E l^OlSilIsCï
De Notaris DELAVIE,
INSTEL Donderdag 13en
Maerte 1862, ter herberg den Haen.
bewoond door sieur Louis Versaevel, le
Poelcapelle plaets, om 2 ure namiddag.
De Nota ris DELAVIE,
7» KOOPEN
POELES ET FOYERS
PRUSSE.
POLOGNE.
ALLEMAGNE.
AMÉRIQUE.
OPENBARE VERKOOPING
te Langemarck, zal overeenkorastig de wet
van 12" Juny 4816, openbaerlyk Ver-
koopen het volgende Goed afkomslig der
nalatenschappen van de echtgenooten
Geldof-Bailleul.
Eenen goeden HOVENIERHOFomringd
met Doornhagen (de hacg (en ooslkante
hier niet medegaende) scheidende rondom
op half dyk, gelegen te Langemarck in
Poelcapelle-plaets, gekadaslreerd onder
n° 140 van den wyk I), voor eene opper-
vlakkige grooite van 33 aren 50 cenliaren,
aenpalende zuid de behuisde erven van
Marie Thereze Pauwelyn, Pieter Vandaele
en de kinders Depoorlere, west en noord
eenen openbaren weg en oost de weduwe
van Petrus Vandermeersch.
Gebruikt geweest door de wed' van Filip
Geldof.
Ingebruiktreding met de belaling van
den koopprys.
te Langemarck, zal op MAENDAG 17"
M A EUT 1862, om 1 ure namiddag, te
Langemarck, ten aenzoeke van Mynheeren
Elleboudt. grondeigenaren aldaer, in bel
openbaer Verkoopen
byzonderlyk dienende voorhrug l'un nier-,
kuip- en waler werken, alsook voor aile
andere werken; zy slaen in hel Vrybuscli
te Langemarck, nahy de Poltedreef achter
het huis van den buschhewaerder Hendrik
Descamps, die belast is de liefhebhers de
koopen aen te toonen.
Vergadering 1er herberg bewoond door
gezegden Descamps.
HENRI VAN LERBERGHE,
Heefi de eer het Publiek kenbaer te
maken dal men hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets,
N* 3, le Korlryk.
De armen worden gratis gemeeslerd.
COFFRES-FORTS BREVETÉS.
LITS EN FER,
Brevetés pour tous genres de lits.
MATHYS-DECLERCK, fournisseur de
S. M. le Roide S. A. R. Mgr. le duc de
Brabanl et des chemins de fer de l'Etat.
Médaille de la grande Exposition. Breveté
de S. M. l'Empereur des Français.
A BRUXELLES, RUE DE FLANDRE, <21.
Succursale Anvers, Courte rue de
l'Hôpital, 27.
lurent pas être en contact avec l'exécuteur des
hautes œuvres, et l'on dut l'éloigner.
Sa folie était empreinte de douceur; il passait
toute la journée k chanter. L'emploi qu'il remplis
sait était héréditaire.
On a volé k l'église catholique de Kreuznach
un Christ en bois brup sculpté, qui est une œuvre
d'art remarquable, el ou l'a reiupiacé par un autre
sans valeur, sans doute pour dissimuler le vol le
plus longtemps possible.
Oq mande de Berlin, 28 février Un vol
très-considérable a eu lieu ces jours derniers dans
la rue Sous les Tilleuls ch^z une riche dame.
Des voleurs jr ont forcé le cnffie-fort et ont em
porté les valeurs qui s'y trouvaient et qui s'élèvent
k la somme de 90,000 thalers (54o,ooo.). Jusqu'
ici on n'est pas encore sur la trace des voleurs,
mais toutes les mesures de précautions ont été
prises, notamment les numéros de titres au por
teur, d'obligations el d'actions volées ont été im
médiatement communiqués aux maisons de banque
et aux changeursnon seulement de notre place,
mais aussi k l'étranger.
D'après des lettres de Varsovie du 19 février,
le nouvel archevêque n'avait encore fait paraître
aucun mandement, aucune lettre pastorale. Les
églises étaient fréqneotées depuis leur réouverture,
et tout s'y passait dans le plus graod ordre.
La position de Mgr. Felinski est très-difficile. Il
parle de conciliationde paix au nom d'où pou
voir dont (es actes sont en désaccord avec ses
paroles. Il s'est rendo chez le général Luders, pour
lai demander la grâce de quelques condamnés,
notamment des frères Krajewski et Tokajerski.
Monseigneur n'a pu rieo obtenir. A ses instances,
le général a répondu que, dans lenr intérêt même,
il fallait éloigner de Varsovie ces condamnés si on
les y laissait, a-t-il ajouté, ils ne manqueraient
pas de se compromettre et de s'exposer k quelque
peine beaucoup plus grave.
MM. Krajewski et Tokajerski sont déportés k
Kialka. M. Ehrenenberg, malade en ce moment,
aura le même sort, aussitôt qu'il sera (établi. Cette
condamnation contre des hommes déjà éprouvés
par un long exil, a causé une vive impression dans
le public. Tout le monde sait qu'ils n'ont rien fait
pour motiver de telles rigueors el que, malgré les
perquisitions les plus muoitieuseson n'a rien
tronvé chez eux qni les compromette.
Alexaodre Krajewski laisse une vieille mère,
dont il était le seul soutien. Henri est séparé de sa
digne et intéressante femme, sa fiancée lorsqu'il fat
envoyé en Sibérie, et qui voulut alors partager son
exil,dorant lequel elle l'époosa. Tels sont les hom
mes ponr qui l'archevêque n'a pu rien obtenir.
Le prélat a cependant trouvé le moyen de
prouver .par des faits ses bonnes intentions et sa
fermeté. Il a, malgré l'opposition du général Lu-
derschoisi poor premier vicaire-général le cha
noine Rzewuskik qui le gouvernement a refusé
tout récemment l'autorisation d'aller au devaot de
lui sur la route de Saint-Pétersbourg, et cette no-
mioation a prodoit un très-bon effet.
On écrit du Banal, le 24 février, b la Gazelle
tïAugsbourg: Depuis 1780, où nne sorcière fat
brûlée en Suisse, pareille barbarie ne s'était plus
renouvelée. Elle vient de l'être au village de
Starikor, près Neusatz. Une jeune fille y fut frappée
d'aliénation mentale et devint muette. Le peuple ne
voolot pas croire que cela fût arrivé naturellement,
et, pour s'en assurer, il soumit la jeune fille k une
épreuve digne des peaux-rouges. On la tint au
dessus d'uu brasier. L'autorité fait nue enquête,
mais la pauvre fille a succombé k la suite de
ce supplice.
On lit dans le Courrier des États Unis la
scèoe conjugale snivante
Je voudrais bien aller aux bains, dit tout-
k-conp Mm* Waspish k son mari. Tu n'ira pas.
Je dis que j'irai. Noos verrons bien. Je
vais mettre mon chapeau. Je l'eu empêcherai
bien. Et Ik dessus, Mm" Waspish se lève et
prend soo chapeau. M. Waspish se lève k son tour
et tire k lui le chapeau. Tiré en sens contraire,
le chapeau se déchire. «J'irai aux bains nu-tête,
dit Mm" Waspish. Mm* Waspish se met en tra
vers de la porte. Je sortirai par la fenêtre, s'écrie
Mm» Waspish. Et elle ouvre la croisée.
M. Waspish, furieux, la tire par sa robe, l'em
poigne k bras le corps, et plonge sa femme la tête la
première dans nne enve d'eau froide qni se tronvait
dans la chambre. Ah! ta1»enx aller anx bains, et
bien, iras-tu encore? exclamait le mari en trem
pant sa femme dans l'ean glacée.
Oui, hurlait M"* Waspish ehaqne fois
qu'elle avait la tête hors de IVan, oui, j'irai an*
bains, je te dis que j'irai, a Enfin les paroles dé
Mm* Waspish deviennent entrecoupées bientôt
elle n'articule pins aocun son, et son mari s'aper
çoit qn'il la nnye.
Celte agréable scène de ménage s'est passée k
Greenbnrg, dans l'Illinois. Waspish a été arrêté,
pois relâché moyennant canlion de 200 dnllards.
Il exense son action en disant que sa femme l'avait
poussé k bont. Le jnge loi fait observer que s'il
avait en une salle de bains dans sa maison, il n'an-
raït pas empêché sa femme de sortir ponr aller
baigner, et qne t«ot cela ne serait pas arrivé.
Waspish en convient et se contente de remarquer
k ses amis qne loat cela n'est qu'on petit mal
heur.
DOOR STERFGEVAL.
van eenen
GELEGEN
B Y BRT DORP.
fiïiT'g^gTîwi
instel penningen te winnen.
groote en zwake
Cedekoreerd door Z. H. de Konlng
der llelgen,
HEEL- EN 00GMEESTER DER Bl'RGERLYRE GODSHUIZEN
DER STAD KORTRYK,
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec nn bon
heur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purga
tive. a l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bons aliments et des
boissons fortiliantes. Il ne manque pBS
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlitz et d'autres purga
tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force ues in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilites le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure el le repas qui lui Conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgalion étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimeiition pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent qne
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous "pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, el lorsque le mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'antres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgalion régulière el long
temps réitérée, voir le Manuel de la médication purgative au
docteur Dehaut, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' IK-haut, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. el 2 fr. 50 cent.
Déposé la Pharmacie de FRYSOl1 - VANOOTKIVE
rue de Dixmuile, 35, Ypres.
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d T© BM FEU,