HOFSTEDEKEN irnrn m OOGZIEKTEN. ÉTAT-CIVIL D'YPRES, HENRI VAN LERBERGHE, allemagne. hongrie. russie. pologne. OVERSLAG op langemarck, op passciiendaele. Den Notaris CHRISTIAEN, zal op WOENSDAG 26°" MAERT 1862, ten 3 uren namiddag, ter herberg Vlaenderen, te Passcbendaele, in het dorp, overgaen tôt den OVERSLAG van ALAAGEMARCK, Maer ingesteld frs 9,500. B. PASSCHENDAELE. H. 12-38-80, ZAEILAND, BOOM- PLANTSOEN- en SPAKKEBUSCH, ver deeld in 21 koopen. Maer ingesteld, begrepen de katheilen frs 22,500. De koopers zullen van het meeste deel dezer Goederen aenslonds in het gehruik treden. De voorwaerden by dito Notaris, ook aile inlichlingen te bekomen by den Notaris te Iseghem. Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dat men hein aile dagen kan raed- plegen ter zyner wooning, Statie Plaets, N° 3, te Korlryk. De armen worden gratis gemeesterd. bomnihus de Berlio. Soudain l'une des dames s'agit sur sou siège, pâlit et fait des contorsions tels que ses couipagnous de route la prieDt de leur dire ce qui lui manque. La dame rougit et déclare qu'elle éprouve une vive douleur k la jambe comme si quelque chose la mordait. L'autre dame s'offre rechercher la cause du mal, et tandis que les messieurs tournent le dos, elle découvre sous les jupes de sa compagne deux sangsues qui suçaient le sang de la partie do corps laquelle elles s'étaient furtivement appliquées. On ioterroge le conducteur. Il balbutie quelques mois et relire de dessous la banquette un pot contenant des sangsues, dont le couvercle mal appliqué avait valu la pauvre dame une saignée si malencon treuse. Le consul géoéral de Grèce Francfort a com muniqué aux journaux de celle ville la notification officielle du département de la marine au sujet du blocus d'une partie du golfe d'Argos. On lit dans le Lloyd, de Pesih Le 6 de ce mois, on a arrêté ici le faox monnayeur Louis Nagy. C'est un bel homme, d'une trentaine d'années, ancien échappé de prison, où il avait été enfermé pour vol avec effraction. Celte fois, la police a été mise sur ses traces par la découverte d'une lettre où il engageait ses complices k se réunir k Peslh pour recevoir de nouveaox billets de sa fabrication. On a constaté que depuis longtemps déjà il habitait avec sa coucobioe, Julie Apagyi,uue maison d'Ofen. Ou y a découvert les presses qui servaient b créer des billets de cent et de cinq florins; on a même trouvé cent billets de cent florins et plusieurs de cioq entièrement achevés. La police de Vienne avait déjà mis antérieurement la main sur une autre de leurs presses. Nagy avoue aussi avoir imité et mis eo circulation des billets de mille florins. On a arrêté avec loi cioq de ses complices, dont trois femmes. La trompette, instrument dont peu de personnes savent tirer parti, est devenue chez les Russes un instrument de concert. Le célèbre Baillot, se trou vant b Moscou, fut conduit par le prince Potemkio dans une galerie obscure, où devait avoir lieu un coocert de trompettes, a Que pensez-vous de cela? demanda le prince au virtuose, après l'exécution du morceau. Cela ne ressemble b rien de ce que j'ai jamais entendu c'est la musique d'un autre monde, et il m'est impossible de deviner par quels moyens de tels effets sont prodoits. On apporta des torches, Baillot aperçut, rangés sur une seule ligne, deux cents soldats, tenant chacun une trompette dont la forme était b peu près celle d'un éteignoir, et dont la dimension variait de vingt pieds b un pouce de longueur. Chaque trompette ne donnait qu'une seule note; il en fallait deux cents pour exécuter le concerto de Haydn, et les deux cents instruments avaient si bien joué leur note, si bien respecté la mesure, que l'exécution avait été parfaite, supérieure même b ce qu'on pouvait attendre de musiciens consommés. On lit dans l'Écho de Bruxelles Nos lettres de Varsovie vont jusqu'au 3 mars; b cette date, la situation était toujours la mêmeles journées du 27 février et du 2 mars s'étaient passées sans dé sordre et sans manifestation extéiieure, malgré les craintes de l'autorité. Le 27 février es? un des jours où l'année der nière les troupes russes, faisant usage de leurs armes contre un rassemblement tout b fait inoffensif et désarmé, tuèrent plusieurs personnes et en blessèrent on plus grand nombre. On s'attendait, dans les régions officielles, b une manifestation qu'on se tenait prêt b réprimer avec énergie. Le général Luders s'est trouvé malade fort b propos pour n'avoir b s'occuper de rien et pour laisser toute la responsabilité au gouverneur militaire, !e général Krujanowski. Dès le matin, des patrouilles de cosaques plus fortes et plus nombreuses qn'b l'ordinaire, parcouraient la ville dans tous les sens, et la plus grande partie de la garnison était sur pied. Les troupes avaient ordre de ne pas pénétrer, sous aucun prétexte, dans les églises, mais d'arrêter b la moindre démonstration ayant un caractère politique, tous ceux qui en sortiraient ou se mon treraient dans les rues, pour être, en vertu de l'état de siège, immédiatement enrôlés ou déportés dans quelque forteresse. La journée s'est passée de la manière la plus calme malgré ces préparatifs et ces dispositions. Un grand nombre de personnes sont allées prier dans les églises, mais isolément, sans aucune ap parence de manifestation concertée. L'autorité n'a trouvé l'occasion de sévir snr aucun point. Le lendemain de cette journée de deuil natiooal, un grand bal costumé avait lieu au châ teau, et le général Luders, complètement remis, en faisait les honneurs aux femmes des officiers et fonctionnaires russes. Le 2 mars était l'anniversaire do jonr où forent enterrées, il y a nn an, les victimes de la soirée du 27. Ce jour-lb les patrouilles ont encore été plus nombreuses et plus fortes que trois jours auparavant. On a reçu b Varsovie de tristes nouvelles d'un grand nombre de déportés. Les personnes qui les ont vus au-delb de la frontière font, de leur étatune peinture déplorable. La plupart ont eu la figure, les pieds ou les mains gelés, et, an lieu de les employer aux travaux auxquels sont as treints d'babitude les condamnés, il a faliu les envoyer b l'hôpital. Ces faits ont été constatés dans un rapport adressé b l'Empereur. On parle toujours de modifications imminen tes dans l'administration supérieure du royaume, mais il n'y a encore b cet égard que des bruits vagues et sans consistance. Il est impossible cepen dant, on ne saurait trop le répéter, que les choses restent comme elles soot. Le général Luders n'a accepté qu'à titre provisoire le litre de narniestnick. Il a déclaré lui-même b l'Empereur qu'il connais sait trop peu l'administratioo en général, et parti culièrement les lois polonaises, pour pouvoir rem plir des fonctions aussi délicates, et il a d'avance décliné a cet égard toute responsabilité. Depuis les derniers jours d'octobre, le gou vernement tout entier est entre les mains d'un triumvirat auquel manque depuis un mois, M. Platonow. Le général Kryzanowski, gouverneur militaire, président des commissions d'enquête, et M. Krusenstern, directeur de la commission de l'intérieur, exercent dans tout le royaume un pou voir absolu, une véritable dictature. DU 8 MARS AU fi INCLUS. Naissances 9. Sexe masc., 3; id. fera. 6. Un mort-né du sexe masculin. Décès 4. Vollebout, Jean, 5o ans, journa lier, époux de Tbéièse Deckmyn, rue des Riches Claires. D'hellem, Catherine, 68 ans, dentel lière, veuve de Jacques Depledt, rue de Menin. KJinckeroaillie, Jean, 27 ans, domestique, céliba taire, rue de Menin. Angillis, Stéphanie, 20 ans, dentellière, célibataire, rue des Pauvres Filles. Enfants au dessous de 7 ans 4. - Sexe mas. 2, sexe fétu. 2. VAN EEN ALSMEDE ZCID-OOST NIET VERRE VAN HET DORP. Een zeer goed HOFSTEDEKEN, groot in Erve H. 3-51-76. Verdeeld in 5 koopen. Gedekoreerd door z. u, de Kmilng der Belge, HEEL- EN OOGMEESTER DER BURGERLYKE GODSIILIZEN DER STAD KORTRYK Cette combinaison nouvelle, basée sur des principes non connus des mé decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes les coudilioug du problème de la médication purga tive. A l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est pris avec de très bons aliments et des boissons fortifiantes. Il ue manque pas sou effet, comme cela arrive souvent l'eau de Sedlilz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen, ne rencontrent plus de malades hésilant se purger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on n'est plus retenu par la crainte d'èlre obligé de renoncer avant ja Ijn. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du docteur Dehaut, volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du D' Dehaut, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de FRYSOU-VANOUTKIYE rue de Dixmude, 35, Ypres.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 3