VETTEGARS
BB BAEIGARS,
D'EXCELLENTES TERRES A LABOUR,
OOGZIEKTEN.
HENRI VAN LERBERGHE,
OPENBARE VERKOOPING
ET PRAIRIES,
COFFRES-FORTS BREVETÉS.
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amérique.
Heeft de eer hel Publiek kenbaer le
maken dal raen hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets,
N* 3, te Kortryk.
De armen worden gratis geraeesterd.
OVERSLAG Zateidag 12»
April 1862, om 3 uren namiddag,
in hel Hôtel Rosimont, te Brugge, Steen-
straet.
te Wulveringhem, (arrondissement Veurne),
by kadaster sectie D, N" 201, 202, 203 en
204.
Gebruikt door Pieler Cornille, lot ilta
November 1863, mils 1,050 francs 's jaers.
Ingesleld 37,000 francs.
En 2e - H. G-43 44 C. MAE1GARS, te
Reninghe, (arrondissement Yperen), S*E
N" 177, 182 en 215. By affiche verdeeld
in 3 koopen.
Gebruikt door den eigenaer.
Tezameningesteld 16,500fr.
De titels, plans en kondilien by den
Notaris DE BUSSCHERE, le Brugge,
Wollestraet.
Étude de IHtrc AIMÉ BLOEME, Notaire Ilazebrouck,
COMMUNE DE WATOU (Belgique,)
Le long du pavé de Poperinghe Steenvoorde,
II HECTARES 12 ARES 28 CENTIARES
Dont une grande partie convertie en magnifique Houblonnière,
a vendre définitivement et par parties.
Le SAMEDI 26 AVRIL 1862, 2 heures de relevée, en la Mairie de Steenvoorde, par le
ministère de M1" 3IiC2î£3, Notaire Hazebrouck.
Ces Biens étaient occupés par la De Amélie Boucquey
veuve du sieur François Mostaert, aujourd'hui décédée, et
l'acquéreur en aura la jouissance effective partir du Ier
Octobre prochain.
Pour le détail des Biens voir les affiches.
Et pour tous autres renseignements, s'adresser au dit M"* BLOEME.
POELES ET FOYERS
LITS LIN FER,
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Brevetés pour tous genres de lits.
matmts-declerck, fournisseur de
S. M. le Roi, de S. A. R. Mgr. le duc de
Brabanl et des chemins de fer de l'Etal.
Médaille de la grande Exposition. Breveté
de S. M. l'Empereur des Français.
Succursale Anvers, Courte rue de
l'Hôpital, 27.
chablecneot gaulé, il se présentait aux statiros le
soir, lorsque la recette était il peu près terminée,
de manière fa être certain que les cochers avaient
sur eux une certaine somme. Il était porteur d'une
petite cassette recouverte de papier goudronné; en
montant en voiture, il la doDnait h tenir au cocher
et lui disait Prenez garde, ue la remuez pas, il
y a Ifa dedans des montres.
Le filou se faisait conduire b deux ou trois en-
droits. Chaque fois après avoir recommandé au
cocher d'avoir l'œil sur la précieuse cassette qu'il
laissait dans la voiture, il entrait daos une maison
où il feignait d'avoir affaire. A la deuxième ou a la
troisième halteil revenait au bout de quelques
instants vers l'automédoo et lui disait Mon cher
amije suis 'obligé de faire un payement que je
u'avais pas prévu; il me manque eoviroo 25 fr.,
si vous les avez, prêtez-les moi, je vous paierai
cela avec vos courses quand vous m'aurez ramené
mon domicile.
Séduit par les manières de l'individu, le cocher,
se voyant d'ailleurs garanti par la caisse restée dans
la voiture, n'hésitait pas fa prêter la somme deman-
de'e. L'aventurier rentrait dans la maison, et le
cocher, après l'avoir attendu en vain, finissait par
s'apercevoir que cette maison avait une double
issue et qu'il venait d'être dope d'un fripon. La
précieuse cassette était en bois blanc et ne conte
nait que des pierres et du foio.
Suivant la Gazette cl'Augsbourg, le départ de
Rome de M. de Lavalette est une victoire do parti
de la droite du Sénat français. Au marquis a été
adjoint comme premier secrétaire de légation le
duc de Bellune, catholique inébranlable, qui refu
serait l'obéissance ses chefs et donnerait sa dé
mission plutôt que de parler et d'agir contre sa
coovictioo. M. de Lavalette a donc été rappelé
afin que le duc se trouve chargé des affaires de la
légation et les conduise d'accord avec le géuéral
de Goyoo, très catholique aussi, et le pape.
On mande de Rome, le 25
On ne parle eu ce moment que du départ du
marquis de Lavalette et l'on fait courir fa ce sujet
mille bruits difléreots. Il est certain que l'ambassa
deur s'est rendu fa Paris sur l'invitation expresse de
l'empereur. Avant de partir il a eu nue longue
conférence avec le Saint Siège et une plus longue
encore avec le cardinal Antnnelli. C'est samedi
qu'il a été reçu par le Saint-Père, et je puis vous
assurer que Pie IX a été très-satisfait de l'entretien,
puisqu'il a dit après l'audience: Je me seus
mieux. Voulant exprimer ainsi qu'il avait entiè
rement ouvert son tœur ao représentant de la
France. La veille, le marquis de Lavalette avait vu
le cardinal Antonelli et avait appuyé sur la néces
sité pour le Saint-Siège de sortir de celte situation
anormale. Le cardinal répondit que le Pape ne
pouvait pas sortir de la situation actuelle, vu qu'il
n'avait pas la force de reprendre les provinces
perdues, qu'il se résignait au statu quo, en atten
dant que la Providence le rétablit dans le domaine
de l'Église. Sou Eminence déclara ao marquis qoe
le Pape était décidé fa partir plotôt que de voir
Rome occupée par un gouvernement révolution
naire. D'après les personnes qui se croient bien
informées, l'ambassadeur de France aurait insisté
pour que le Pape reconnût les faits accomplis daos
les Romagnes, les Marches et l'Ombrie, en assurant
que l'empereur lui garantirait Rome et les pro
vinces du patrimoine de S' Pierre, de Maritime et
de Campagna. Comme il fallait s'y attendre, cette
proposition aurait été rejelée.
Ce matin, le Saint-Père s'est rendu fa l'église de
Saiute- Marie délia Minerva pour assister aux
cérémonies de l'Annonciation de la Sainte-Vierge.
Après la messe, il a passé dans la sacristie où, en
présence des cardinaux, il a publié le décret relatif
fa la canonisation des tnar'yrs du Japon. Sa Sainteté
a prononcé fa celte occasion un discours digne d'être
signtle'. Il a parlé d'abord d'une lettre dans laquelle
un prêtre de Milan le priait de ne pas faire du
pouvoir temporel un acte de foi. Il a ajouté que les
papes avaient toujours défendu le pouvoir temporel
parce qu'ils le croyaient nécessairefa l'indépendance
du pontife dans l'exercice de sa puissance spiri
tuelle, mais qu'il n'avait jamais pensé fa en faire un
dogme. Il a terminé en déclarant qu'il regardait le
pouvoir temporel comme indispensable dans l'état
actuel de la société.
Eu se rendaot fa l'église delta Minerva, comme
aussi fa son retour, le Pape a été chaleureusement
acclamé par une foule immense accourue sur son
passage. Il est complètement rétabli.
La tentative si malheureusement échouée de
relier par le télégraphe électriqoe l'Ancien et le
Nouveau-Monde, semble devoir être prochaine
ment reprise. M. Cyrus Field est arrivé d'Amérique
fa Londres la semaine dernière, porteur d'une
dépêche de M. Seward fa M. Adaros, portant que le
gouvernement de M. Lincoln est piêt fa garantir 2
pour cent sur uo capital de 5 millions et demi de
dollars (17,500,000 fr.), si le gouvernement
anglais se porte garant d'une part d'iniérêtel égal.
Les principaux promoteurs du télégraphe atlanti
que ont soumis cette offre ao gouvernemeot dont
on attend la décision.
Geëekoreerd door Z. M. de koning
der IKflgen,
HEEL* EN OOGMEESTER DER BIRGERLYkE G0DSI1UIZEN
DER STAD KORTRYK,
VAN ALLERBESTE
TE
WULVERINGIIEM EN RENINGIIE.
1° H. 5 48 80 C. TSÀTTaO'AB.a,
met behoud van accumulat1e en 1û/o
instelpenning.
HAMEAU DE CALCANES,
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé>
decins anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les conditions
I du problème de la médication purga
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bons aliments et des
boissons fortifiantes. 11 ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlilz cl d'autres purga
tifs. La dosa est facile régler selon l'ige ou la force Jes in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difliculte. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mienv, selon
ses occupations habituelles. I.a fatigue de la purgation étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moven,
ne rencontrent plus de malades hésitant a se purger, sous "pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon-
gueor du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être oblige de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative Su
docteur Déliant, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' Dehaut, et dans toutes las bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
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