UN TRÈS JOLI CHEVAL
lettrèsTe gage
OOGZIEKTEN.
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POELES et FOYEKS
HENRI VAN LERBERGHE,
âgé de cinq ans,
S'adresser pour le voir, l'hôtel de la
TÈTE D'OR, Ypres.
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maken dat men hem aile dagen kan raed-
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N* 3, te Kortryk.
De armen worden gratis gemeesterd.
chemins de fer
ID2 ILÛ •jxjinana-DRc-jipaïrjAiia.
- 4
volonté de M. Haut mer, il remit celui-ci daos les
maïus des soldats, qui l'emmenèrent. En même
temps, il saisit tout ce qui restait:d,'srgeut sous la
main environ 3,s5o dollars, et les mit dans sa
poche. Il sortit, alors avec le plus grand calme, au
milieu de la foule amassée, et chacun s'empressa de
le laisser passer. j. .«i'Y
Pendant que cette scène avait lieu dans les
bureaux de la Banque, us des associés de M.
H a mener courait chez le grand-prévôt, qui fut fort
étoooé de l'arrestation du banquier. Il n'eo savait
pas le premier mot, et ce n'était,pas lui qui avait
délivré le mandat. Pu interrogea tout le monde;
on avait peine b croire qu'il y eût dans toute celte
affaire autre chose qu'une erreur enfin, il fallut
bien se rendre h d'évidence, et comprendre qu'il
s'agissait d'on vol audacieux, conduit avec autant
.d'intelligeoce que de saog-froid. Il va sans dire
que la police fqt mise immédiatement sur pied, et
le déoooement ne se fit pas longtemps atteddre.
Rediuan a été arrêté dans la soirée et mis sons les
verronx. Il faut convenir que c'est là un homme
dont la carrière commence sons de brillants aus
pices et que de si merveilleuses qualités étaient
dignes d'être mise* an service d'une meilleure
canse. a
On s'iogénie, dans le Sud des États-Unis, b
créer de nouveaux engins de guerre; on fait beau
coup de bruit d'on bateau construit par Hollins, et
nommé tantôt le Manassartantôt la TortueCe
bateau a 100 pieds de long au-dessns de la ligne
de flottaison, il a la forme d'un œof; il est entière-
ment cuirassé. Il a deux cheminées qu on peot
descendre pendant l'action. Il n'a qu'ub seul canon,
qui laoce des boulets de 68- livres. Ce bateau se
trouve maintenant dans l'île q* 10, et doit entrer
en lutte avec la flottille des canonnières fédérales.
On attend avec nne bien graode impatience des
nouvelles du Bas-Missîssipila flottille, envoyée
contre la Nouvelle-Orléans, se compose de plus
de 200 vaisseaux; le général Butler a un corps
d'armée important pour opérer par terre, et le
capitaine Parker, avec ses mortiers et ses frégates,
a déjà passé la barre do fleuve. Les confédérés se
vantent de pouvoir résister b toutes les attaques.
La NouvellerOrléans est b 100 milles de l'em
bouchure, et ses rives ont été fortifiées 09 a élevé
des forts, armés de puissants canons; fait des bar
rages artificiels en face de ces forts; on parle, en
outre, de deux batteries flottantes blindées, armées
de puissants canons; ènfio nne garnison de 32,000
hommes occupe la Nouvelle-Orléans. Oo peot
donc s'attendre Ib b une vigoureuse actioo navale
et militaire.
Si les fédéraux peuvent vaincre les obstacles
accumulés sur le fleuve, leur flottille peut arriver
devant les quais même de la Nouvelle-Otléans
par terre, on pent suivre un bras qui conduit b six
milles de la ville. Une opération combinée du
général Boiter et du capitaine Parker, semble dooe
devoir mettre la Nouvelle-Orléans dans le plus
grand péril. M
Le Courrier des États Unis nous donne les
détails suivants sur un singulier cas de divorce:
Mm* Thivaiter est la femme d'un dentiste de
Chirago, et il paraît, d'après sa disposition, que si
les cordonniers sont les plus mal chaussés, les
femmes des dentistes jouissent des plus mauvais
râteliers. M. Thivaiter a, sons des prétextes falla
cieux, arraché seize dents sa femme; elle prétend
même que n'étaient les seules bonnes qu'elle eut
dans la bouche, et toutes b la mâchoire supe'rieme,
si bien qne l'appareil inférieur ne rencontre plus
que les gencives et est complètement impuissant b
mastiquer les aliments.
Mml Thivaiter, l'ingénue! croyait naïvement
qne son nrari voulait lui prouver son amour en
faisant un chef-d'œovre b son intention èt qu'il
l'exhiberait ensuite pour attirer les clients. Or,
Mm' Thivaiter ne manque pas de coquetterie,
et nourrissait l'espoir intime qne cette exhibition
!nî pincurerait en même temps l'occasion de faire
valoir ses charmes. Par malheur, le dentiste est
aussi jaloux qne sa femme est coquette, et aussi
perspicace que jaloux. Il a donc pénétré les seérets
desseins de sa moitié, et dès lors il a péremptoire
ment refusé de remplacer les deois qu'il avait
extraites.
a Bien plus, depuis qu'il a conçu sur l'inoocence
de sa femme des soupçons que celle-ci qualifie
d'injurieux, il o'est pas de tortures qu'il ue fasse
endurer b la malheureuse, et daus la fâcheuse
position où il l'a mise, il trouve les éléments d'no
supplice que o'oot jamais inventé les lourmenleurs
les plus raffinés. Il pousse la cruauté, le croirait-on
jusqu'à lui administrer uniquement des alimeots
qu'une mâchoire dés mieux moulées serait seule
capable de broyer, fi table, c'est lui qui découpe
et. qui sert, et, après s'être adjugé les meilleurs
morceaux, il a soin de lui donner les parties les plus
dures, les tendons, ces affreuses lanières coriaces et
indigestes qui résisieut b tous les efforts.
Tels sont les faits qu'articule Mra" Thivaiter b
l'appui d'une demaude en divorce, sur laquelle
aura prochainement b statuer le tribuuai civil
de Chicago. Il sera intéressant de connaître la suite
de cette curieuse affaire.
Oo écrit de New-York, le 5 avril, b \'A-
gence ttavas
Le général Mac-Clellan se distingue par soit
activité infatigable. Vendredi soir, au retour des
cootses les plus fatigantes, il a adressé une allocu
tion an g5* régiment de la Pensylvanie, qoi lui
avait donné nue sérénade b Fairfax- Court-House.
Les soldats,auxquels il demandait s'ils sacrifieraient
leur vie sans regret pour aller b leur but ont sans
hésiter répondu Oui, oui! Des cris enthousiastes
ont salué le jeoue commandant au moment où il se
retirait. M"" Mac Clellan était présente et semblait
fort émue de l'ovation qui était faite b soo mari.
Cbarleslon, d'après les dernières nouvelles, est
environné d'uoe double ligne de forts retranche
ments. Les habitants s'attendent b être attaqués par
terre et par mer vers le t5 avril. Les dames
ont donné leurs bijoux, leur argenterie, leurs
montres et leur argent, pour contribuer b la con
struction de canonnières. On fond des boulets avec
tous les matériaux possibles: avec des rails de
chemins de fer et des doubinres de boîtes b thé.
Certaius vivres y abondent, mais plusieurs denrées
y sont rares et fo.M chères. Un sac de sel vaut t5
dollars, la livre de thé, 4 d. 5o. Les chaïubons, si
petits qu'ils soient, se payent 10 dollars. Une
paire de boites a été vendue jusqu'à 5o dollars.
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Y BON LA MONTURE COMME A L'ATELAGE,
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Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec un bon-
hèur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purga
tive. l'opposé des antres purgatifs.
I celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bons aliments et des
boissons fortifiantes. H ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau- de Sedlitz et d'autres purga-l
tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté.Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimenlion pres
crite, un se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire.Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple,-qu'on se purge Vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer ayant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long
temps réitérée. Voir Je Manuel de la médication purgative du
docteur lXcbaut, volume de 264 pages, donné gratuitement,
l'aris, pharmacie du D' Itehaut, ei dans toutes les bonnes
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D'Isrghem
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De Courtrai
7 3o, ii 20,
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