UN TRÈS JOLI CHEVAL lettrèsTe gage OOGZIEKTEN. A VENDRE. COFFBES-FOBTS BREVETÉS. POELES et FOYEKS HENRI VAN LERBERGHE, âgé de cinq ans, S'adresser pour le voir, l'hôtel de la TÈTE D'OR, Ypres. banque hypothécaire belge, (OBLIGATIONS FONCIÈRES) Produisant, suivant leur durée, 4 ou 41/3 p. c. d'intérêt, payable par semestre, le 1er Hlai et le 1er Novembre, j> Soit la Caisse de la Banque, Soit chez ses Agents. LITS EN FER, If I $3 Fil, Brevetés pour tous genres de lits. mathys-declerck., fournisseur de S. M, le Roi, de S. A. R. Mgr. le duc de Brabant et des chemins de fer de l'État. Médaille de la grande Exposition. Breveté de S. M. l'Empereur des Français. A BRUXELLES, RUE DE FLANDRE, 121. Succursale Anvers, Courte rue de l'Hôpital, 27. Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dat men hem aile dagen kan raed- plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets, N* 3, te Kortryk. De armen worden gratis gemeesterd. chemins de fer ID2 ILÛ •jxjinana-DRc-jipaïrjAiia. - 4 volonté de M. Haut mer, il remit celui-ci daos les maïus des soldats, qui l'emmenèrent. En même temps, il saisit tout ce qui restait:d,'srgeut sous la main environ 3,s5o dollars, et les mit dans sa poche. Il sortit, alors avec le plus grand calme, au milieu de la foule amassée, et chacun s'empressa de le laisser passer. j. .«i'Y Pendant que cette scène avait lieu dans les bureaux de la Banque, us des associés de M. H a mener courait chez le grand-prévôt, qui fut fort étoooé de l'arrestation du banquier. Il n'eo savait pas le premier mot, et ce n'était,pas lui qui avait délivré le mandat. Pu interrogea tout le monde; on avait peine b croire qu'il y eût dans toute celte affaire autre chose qu'une erreur enfin, il fallut bien se rendre h d'évidence, et comprendre qu'il s'agissait d'on vol audacieux, conduit avec autant .d'intelligeoce que de saog-froid. Il va sans dire que la police fqt mise immédiatement sur pied, et le déoooement ne se fit pas longtemps atteddre. Rediuan a été arrêté dans la soirée et mis sons les verronx. Il faut convenir que c'est là un homme dont la carrière commence sons de brillants aus pices et que de si merveilleuses qualités étaient dignes d'être mise* an service d'une meilleure canse. a On s'iogénie, dans le Sud des États-Unis, b créer de nouveaux engins de guerre; on fait beau coup de bruit d'on bateau construit par Hollins, et nommé tantôt le Manassartantôt la TortueCe bateau a 100 pieds de long au-dessns de la ligne de flottaison, il a la forme d'un œof; il est entière- ment cuirassé. Il a deux cheminées qu on peot descendre pendant l'action. Il n'a qu'ub seul canon, qui laoce des boulets de 68- livres. Ce bateau se trouve maintenant dans l'île q* 10, et doit entrer en lutte avec la flottille des canonnières fédérales. On attend avec nne bien graode impatience des nouvelles du Bas-Missîssipila flottille, envoyée contre la Nouvelle-Orléans, se compose de plus de 200 vaisseaux; le général Butler a un corps d'armée important pour opérer par terre, et le capitaine Parker, avec ses mortiers et ses frégates, a déjà passé la barre do fleuve. Les confédérés se vantent de pouvoir résister b toutes les attaques. La NouvellerOrléans est b 100 milles de l'em bouchure, et ses rives ont été fortifiées 09 a élevé des forts, armés de puissants canons; fait des bar rages artificiels en face de ces forts; on parle, en outre, de deux batteries flottantes blindées, armées de puissants canons; ènfio nne garnison de 32,000 hommes occupe la Nouvelle-Orléans. Oo peot donc s'attendre Ib b une vigoureuse actioo navale et militaire. Si les fédéraux peuvent vaincre les obstacles accumulés sur le fleuve, leur flottille peut arriver devant les quais même de la Nouvelle-Otléans par terre, on pent suivre un bras qui conduit b six milles de la ville. Une opération combinée du général Boiter et du capitaine Parker, semble dooe devoir mettre la Nouvelle-Orléans dans le plus grand péril. M Le Courrier des États Unis nous donne les détails suivants sur un singulier cas de divorce: Mm* Thivaiter est la femme d'un dentiste de Chirago, et il paraît, d'après sa disposition, que si les cordonniers sont les plus mal chaussés, les femmes des dentistes jouissent des plus mauvais râteliers. M. Thivaiter a, sons des prétextes falla cieux, arraché seize dents sa femme; elle prétend même que n'étaient les seules bonnes qu'elle eut dans la bouche, et toutes b la mâchoire supe'rieme, si bien qne l'appareil inférieur ne rencontre plus que les gencives et est complètement impuissant b mastiquer les aliments. Mml Thivaiter, l'ingénue! croyait naïvement qne son nrari voulait lui prouver son amour en faisant un chef-d'œovre b son intention èt qu'il l'exhiberait ensuite pour attirer les clients. Or, Mm' Thivaiter ne manque pas de coquetterie, et nourrissait l'espoir intime qne cette exhibition !nî pincurerait en même temps l'occasion de faire valoir ses charmes. Par malheur, le dentiste est aussi jaloux qne sa femme est coquette, et aussi perspicace que jaloux. Il a donc pénétré les seérets desseins de sa moitié, et dès lors il a péremptoire ment refusé de remplacer les deois qu'il avait extraites. a Bien plus, depuis qu'il a conçu sur l'inoocence de sa femme des soupçons que celle-ci qualifie d'injurieux, il o'est pas de tortures qu'il ue fasse endurer b la malheureuse, et daus la fâcheuse position où il l'a mise, il trouve les éléments d'no supplice que o'oot jamais inventé les lourmenleurs les plus raffinés. Il pousse la cruauté, le croirait-on jusqu'à lui administrer uniquement des alimeots qu'une mâchoire dés mieux moulées serait seule capable de broyer, fi table, c'est lui qui découpe et. qui sert, et, après s'être adjugé les meilleurs morceaux, il a soin de lui donner les parties les plus dures, les tendons, ces affreuses lanières coriaces et indigestes qui résisieut b tous les efforts. Tels sont les faits qu'articule Mra" Thivaiter b l'appui d'une demaude en divorce, sur laquelle aura prochainement b statuer le tribuuai civil de Chicago. Il sera intéressant de connaître la suite de cette curieuse affaire. Oo écrit de New-York, le 5 avril, b \'A- gence ttavas Le général Mac-Clellan se distingue par soit activité infatigable. Vendredi soir, au retour des cootses les plus fatigantes, il a adressé une allocu tion an g5* régiment de la Pensylvanie, qoi lui avait donné nue sérénade b Fairfax- Court-House. Les soldats,auxquels il demandait s'ils sacrifieraient leur vie sans regret pour aller b leur but ont sans hésiter répondu Oui, oui! Des cris enthousiastes ont salué le jeoue commandant au moment où il se retirait. M"" Mac Clellan était présente et semblait fort émue de l'ovation qui était faite b soo mari. Cbarleslon, d'après les dernières nouvelles, est environné d'uoe double ligne de forts retranche ments. Les habitants s'attendent b être attaqués par terre et par mer vers le t5 avril. Les dames ont donné leurs bijoux, leur argenterie, leurs montres et leur argent, pour contribuer b la con struction de canonnières. On fond des boulets avec tous les matériaux possibles: avec des rails de chemins de fer et des doubinres de boîtes b thé. Certaius vivres y abondent, mais plusieurs denrées y sont rares et fo.M chères. Un sac de sel vaut t5 dollars, la livre de thé, 4 d. 5o. Les chaïubons, si petits qu'ils soient, se payent 10 dollars. Une paire de boites a été vendue jusqu'à 5o dollars. V - -SV ait» ,\m -MVVv Y BON LA MONTURE COMME A L'ATELAGE, Y 1 1 Cette combinaison nouvelle, basée sur des principes non connus des mé decins anciens, remplit avec un bon- hèur remarquable toutes les conditions du problème de la médication purga tive. l'opposé des antres purgatifs. I celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est pris avec de très bons aliments et des boissons fortifiantes. H ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent l'eau- de Sedlitz et d'autres purga-l tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté.Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant complètement annulée par l'effet de la bonne alimenlion pres crite, un se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire.Les médecins qui emploient ce moyen, ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple,-qu'on se purge Vingt fois de suite, on n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer ayant la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long temps réitérée. Voir Je Manuel de la médication purgative du docteur lXcbaut, volume de 264 pages, donné gratuitement, l'aris, pharmacie du D' Itehaut, ei dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. 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De Wervicq 6 3o, 1 35, 5 36. De Mriiiu G 4o, 11 5o, 5. 40 Arr. Courtrai 7 t0, 12 20, 6 00. Départs De Courtrai 7 3o, ii 20, t 10, 6 i 0. D'fngeliùunster 8 oo, 11 40, 1 40, b 3o. D'Iseghera 8 10, 12 oo, 2 1 u, G 4->l De Roulera. 8 3o, 12 3o, 2 3i>, G 5,5. De Lictllèrvelde 8 5o, oo, 3 00, 7 15. Ue Thouiout. 9 oo, 20, 3 3o, 7 aî. Arrivée Bruges. 9 35, a oo, 3 55, 7 55. L.mulXi-t,tMBI.V i éditeur. .SlJpfl

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4