MOIS DE MARIE,
maend van maria,
lettresTe gage
OOGrZIEKTEN.
CHEZ LAMBIN-LAMBIN,
HENRI VAN LERBERGHE,
COFFRES-FORTS BREVETÉS.
Heeft de eer het Ptibliek kenbaer te
makett dat m en hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Slatie Plaets,
SJtooxuom nsnvrïrA
De armen wordèn gratis gemeeslerd,
BANQUE HYPOTHÉCAIRE BELGE
(OBLIGATIONS FONCIÈRES),
Produisant, suivant leur durée, 4 ou 41/2 p. c.
d'intérêt, payable par semestre,
le 1er Mai et le 1er Novembre,
"sp Soit la Caisse de la Banque,
Soit chez ses Agents.
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Brevetés pour toits genres de lits.
JSATHYS-DECLERCK, fournisseur de
S. M. le Roi, de S. A. R. Mgr. le duc de
Brabant et des chemins de fer de l'État.
Médaille de la grande,Exposition. Breveté
de S. M. l'Empereur des Français.
A BRUXELLES, RUE DE FLANDRE, 181,
Succursale Anvers, Courte rue de
l'Hôpital, 27.
GRÈCE.
Athènes, le 10 avril.
Naoplie tient loojonrs, et l'on croit ici que ie roi
Olhon en viendra pins facilement a bout au mpjen
de la pondrç d'or qu'aveç,|A poudre canon.
Les insurgés ne semblent pas encore .disposés
se rendre. Les canons de la marine grecque et ceux
do général Halm peuvent atteindre la ville, mais
ils sont impuissants contreles frtfts de Palainèdeet
d'Istchalé. Depuis quelque temps, les canons res
tent mnets dé part et d'antre.
Ce n'est donc pas de la force ouverte qu'il faut
attendre une issue b la situation actuelle. C'est par
la ruse, c'est en prodiguant les promesses d'argent
et de futures récompenses que la cour espère
vaincre. Ses partisans disent que 4a division, est
déjb entre les iosorgés de Naaplie et du Palamède.
Il est difficile de savoir ce qu'il y de Vrai au fotfd
de tout cela. Cependant,la garnison insurgée paraît
avoir su se préserver de la cOrfbpiièh et de la
discorde, en même temps qu'elle a conservé une
discipline parfaite Tout ce qui a été' pris pour son
compte chez les marchands de Nauplie a été régu
lièrement payé; et l'on n'a b signaler aucun d,e cep
actes de violence qui, se produisent habituellement
dans des circonstances pareilles. -, Vvtvuvtv
Quelqnes riches habitants de Nauplie, éyaut
exprimé le désir de quitter la ville, l'autarisatiàn
leur en a été donnée h la condition de payer une
taxe dont j'ignore le chiffre. Tousse sont empres
sés d'y satisfaire. Les journaux du gouvernement
(les seuls qui paraissent) ont crié au pillage et a
l'infamie ^personne De s'est ému de leurs tléelatua-
tions et l'on a même trouvé naturel que les insurgés
voulussent se procurer des moyens d'existence et de
défense, lont le monde sachant d'ailleurs qu'ils
l'ont fait dans la mesure du raisonoable et du
possible. ,snvv»Y lÉâywon
Les insurgés ont engagé les femmes, les enfants
et tous les gens timides sortir de la place.
En attendant, les caisses de l'État sont pins
vides que jamais. Les efforts de la cour pour semer
la division parmi les défenseurs de Nanplie, n'ont
pas peu contribné i ce résultat. S.eropt-ils couron
nés de succès? Nous le saurons, sans doute bientôt;
mais s'il o'est pas impossible que Nauplie se rende,
i! convient de ne croire h cet événement que
lorsque les assurances des partisans de la cour
aurout reçu la confirmation de témoignages plus
sérieux.
S c i
Quoi qu'il en soit, la conr continue h dédaigner
les conseils des grandes puissances pour s'en tenir
uniquement h ceux que prodiguent Vienne et
Munich. Une personne dévouée au roi me disait
encore récemment qn'une des espérances de S. M.
était de voir un jour la Grèce faire partie de là
Confédération germanique. Ceci a tout l'air
d'ooe plaisanterie, et cependant la ebosè est sé-r
rieuse. Le roi Otbon y a songé et y songe peut être
encore. Cela vous donne h ïa fois la mesuré de sa
portée politique et de la confiance que les Grecs
intelligents peuvent avoir dans son gouvernement:
PERSEV^™ «k
La Gazelle du Danube emprunte b une lettre
particulière de Téhéran, du 27 février, la narration
qui suit de l'horrible exécution de TurcomaDS
prisonniers
Le 2 5 février au soir, il arriva un convoi de
Tnrcomans prisonniers qui avaient été pris dans la
dernière attaque tentée sur Miscfaed, et qui, épuisés
par une marche de six semaines, fureot renfermés
dans la prison où se trouvaient déjb depuis quelque
temps On certain nombre de leuis compatriotes.
Les haines séculaires qui existent contre les
populations de l'ïrah et les .hordes touraniennes,
entre les schistes fanatiques de la Perse et les
•Tnrcomans immiles, faisaient prévoir îôrt ter
rible réservé ces malheureux. 'r3V'\
Le lendemain l'ancien ministre résidant
Dools«Merzn-Dseha'fér->Kbab', essaya Vainement
d'adoucir le shah, en lui exposant le mauvais effet
qu£ l'exécutiou projetée, exercerai (en Europe. Le
roi répoodil U faut qu'ils meurent tous, et
ainsi fut prononcée la sentence de mort contre
cinquante-sept individus dont l'exécution fut or
donnée pour le lendemain, afin de prévenir toute
intervention possible des consuls européens.
Ce matin; donc, les portes de la prison s'ou
vrirent, et une masse d'hommes attachés ensemble
par des cordes et conduits par des soldats, qoi por
taient an bout de leurs baïonnettes des peaux de
têtes humaines empaillées, s'avança vers la place
consacrée aux exercices militaires, qui avait été
çhoisie pour l'exécution.
Les prisonniers étaient divisés en deux bandes;
c'étaient des hommes forts, athlétiques, mais Brisés
par la faim, les fatigues et: le frftid, et couverts b
peine de quelques haillrns. Un jeune homme de
dix-sept ansaidé d'un autre no peu plus âgé,
traînait b la boucherie commune on vieillard b
cheveux blancs, probablement leur père b tons
Le Ipng mnr d'une caserne d'infanterie for
mait un des côtés de la place, sur laquelle avaient
été rangés quatre régiments d'infanterie et nne
batterie d'artillerie. Les prisonniers furent attachés
no b un, au moyen de clous en bois et de cordes, le
long de ce mur, les bras étendus, le pied gauche
de chacun étant relevée! rattaché au pied droit de
son voisin de manière qu'ils ne pouvaient se tenir
que sur un pied. Celte opération dura one heure.
Alors on fit avancer des pelotons d'ipfanteriç
b 60 pas, et on commanda le fen. Mais aucun
coup ne porta, les balles entrèrent dans le mur au-
dessus des prisonniers. Lessoldats, qnimurmuraient
qu'on leur fît faire un service de bourreaux, avaient
tiré trop haut. Le colonel rengaina a»ec; indigna
tion son épée, se plaignapl tout hant d'être deveno
le chef d'une bande d'exécuteurs des hautes œuvres.
Il fallut haranguer la troupe pour continoer
l'exécution.
Le peloton avança alors b 4o pas et fit nne
.seconde décharge, qui ne fit que blesser quelques
prisonniers aux pieds. Après la troisième décharge,
quatre prisonniers de l'aile droite tombaient mor
tellement blessés, mais aucun de ceux de. l'aile
gatiche ne fut touché.
a Ce tir affreux sur des êtres humains dura nne
heure et demie; pendant ce temps, les pelotons
furent changés huit fois chacun était de cent
hommes, qui firent trois décharges; 011 tira donc
2,4oo coups sur 57 hommes attachés, et majgré
cela trois prisonniers encore restèrent sans être
blessés. Ils étaient parvenus b se débarrasser de
leurs liens et étaient tombés b terre; lorsqne les
bourreaux survinrent, ils leurs coupèrent la tête.
Ils coupèrent de même les têtes de tous les
cadavres, les fixèrent,.ainsi que les bras droits, sur
des lances et les portèrent en triomphe dans la
ville; les corps furent attachés,b des queties d'ânes
par les pieds, et conduits b une fosse creosée derrière
la caserne, en même tetops quë les régiments ren
traient en ville, musique en tête.
en vimi:
RUE DE LILLE, 10, YPRES
(DIFFÉRENTS ACTEURS).
,91X90900 ^ERSCHILyGE SCHRYVERS).
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Gedekoreerd door Z. M. de Koniug
der Itclgen,
REEL- EN OÛGMEESTER DER BURGERLYKE GODSHClZEN
DER STAD KORTRYK,
ÉTABLIE A BRUXELLES, RUE ROYALE, 28.
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Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decin! anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les condition!
du problème de la médication purga
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqujil est
pris avec de très'bons aliments et dés
boissqns forti liantes. Il ne rqanqye pas
son effet, comme'cela arrive souvent
Pèaà'de Sedlifz et d'autdes ptirga-
tïfS. La dpse est facile régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus -dé
bilités, le supportent sans dilHcutté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le. mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la pu'rgatirin étant
complètement annulée par l'effet de le bonne aliineption pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire, |,es médèrins qui emploient iiKiven,
ne rencontrent plus de iftal^des hésitant se purger, sous "pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La Ion-
gueor dh traitement n'est pfns im obstacle, et lorsque le mai-
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
n est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la fjo.Ces avarttages deviennent fcièn plus précieux, quand -
il s agit de maiqdieS sérjeusgs, telles que lumçms.enyorgenienls,
a/fections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qni cédbnt i une pitrgbïion bégélière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médiaitwu purgative du
docteur Déliassé, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' Mehaut, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fç. 50 cent.
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