FONDS DE MARBRIER.
DEUX MAISONS,
oogziektënT^
GRANGE ET STABLES,
VENTE PUBLIQUE,
PLOEGSTEERT,
HENRI VAN LERBERGHE,
AflÉRIQUE.
EN LA VILLE D'TPRÉS,
D'UN
Le LUNDI 28 JUILLET 1862 et jours
suivants, 10 heures du matin et 2
heures de relevée, le Notaire LAMBIN
procédera devant la maison située
Ypres, rue de la Bouche, n° 9W% la Vente
publique et eu détail des MARCHANDISES
faisant partie du Fonds de Commerce de
M'"' ANGELIQUE MENE, Marchande
patentée en ladite ville, lesquelles consis
tent principalement en
33 BELLES CHEMINÉES EN MARBRE,
grandes et petites Consoles; 7 MONU
MENTS FUNERAIRES, COLONNES
Cannelures; BLOCS de Marbre et d'Êcaus-
sines; PIERRES pour Balcons avec Mou
lures; TABLETTES de Tables et BÉNI
TIERS eu Granit; TABLETTES d'appui de
Fenêtres; SEUILS de Portes; DALLES et
CARREAUX en Marbre blanc; ECAUSSI-
NES et BASÈCLES; EVIERS; COUVER
CLES de Puisards; AUGES eu Pierre de
Tournai et des Ecaussines BORNES
et PIÈGES pour Bordure, etc.
La Vente se fera au comptant.
FONDS BATIS ET TERRE A LABOUR,
$Jrca lo ternir île iRr Boulet-Desmedt.
Le Notaire ÂCIAMESITS Warnêlon,
ce commis par le Tribunal d'Ypres,
Vendra publiquement, en présence de M.
le Juge de Paix du canton de Messines,
conformément la loi du 12 Juin 1816,
les BIENS dont la désignation suit
2 MAISONS, avec Grange, Etable, et 36
ares 58 centiares de Fonds bâtis et Terre
Labour, le tout connus au cadastre, sec
tion D, N0' 513% 316% 318% 318b pour 33
ares 90 centiares, situés Ploegsteert, te
nant du levant la terre, maison et fonds de
Desprtnger, séparant sur deux bornes de
pierre, et double cheminée, du midi la terre
de M. Polteau d'Hancardrie, occupation
Mattelin de couchant la terre du même,
occupation d'Hinderick, et de nord la terre
de Monsieur Delanger d'Armenlières, oc-
"cupée par la veuve Sébastien Verbeke,
séparant sur fossé. Divisé comme suit
Pour par l'acquéreur en jouir de suite.
2°" lot. La MAISON, avec son Fonds
bâti, au coin nord ouest, N' 318% séparer
du midi avec le premier marché, sur
l'égoût du toit, occupée par Pierre Lemould,
sans droit de bail, trente francs par anj
échéant chaque 1" Octobre.
Les 3 lots seront exposés en masse.
gain de mise a prix l/f p. 0/0.
La Vente aura lieu Ploegsteert, au
cabaret occupé par la veuve Mouret,
La MISE A PRIX, se fera le Jeudi 17
Juillet 1862.
Et ('ADJUDICATION DÉFINITIVE, le
Jeudi 31 du même mois, chaque fois 4
heures de relevée.
Le Notaire IIO HMENS, Warnêlon, est
chargé de cette Vente.
Gedckoreerd door Z. M. de Itonlag
der Helgen,
HEEL- EN OOGMEESTER DER BiJRGERLYKE GODSHL'IZKN
BER STAfi KORTRYR
Heeft de eer hel Publiek kenbaer te
maken dat men hem aile dagen kan raed-
plegen 1er zyner wooning, Statie Plaets,
N* 3, le Korlryk.
De armen wqrden gratis gemeesterd.
Den Notaris LàÈl/EBllTt'Yper, zal
op MAENDAG 21° JULY 1862, ten 1 uer
precies, openbaerlyk Verkoopen ter hof-
stede gebruikt door de kinderen van wylen
Sr Engel Gryson, le Dickebusch en Re-
ninghelst, by de herberg S? Hubrecht
1° De volgcnde seboone te velde
slaende Vrucbten
6 hect. 14aren Koorn; 2 hecl. 19 aren
Boonen 88 aren Haver en 65 aren
Erweten.
2° Twee schoone en goede Ruin-
peerdenhet een oud 4 jaren en het
ander oud 30 maenden.
Met tyd van betaling mils stellendegoede
en welbekende borg.
L mUN-LAARil, ediifNT. i
sang répandu. Néanmoins, les six militaires forent
fosilles la citadelle dans l'après-midi. Le lende
main matin. 27, une main ioconnne tira an général
Loders on coup de pistolet.
On écrit de Saint-Pétersbonrg, fin juin, la
Gazette de Cologne
D'après an broit émanant de la coor, il paraîtra
le 26, jour du jubilé de mille ans de la fondation
de l'empire rosse, un manifeste sur la convocation
d'un conseil de l'empite et la transformation du
conseil impérial en un sénat de boyards. Il sera
précédé le i4 d'une ordonnance abolissant les
peines corporelles.
une jolie fortune. M.-C. Tucker, de
Précator est, dit- 00, sur le point d'eotrer en posses
sion de l'héritage de M. Lawrence, déposé h la
Banque d'Angleterre, et qui se monte h cinquante
millions de livre» sterling, ou environ douze
cent cinquante million» de franc». Cette affaire
est en litige depuis quinze aos, et il paraît que
toutes les justifications requises sont aujourd'hui
téonies. M. Lyman Lawrence de Mattawan, frère
de la femme de M. Tucker, était l'héritier légitime;
mais il a cédé tous ses droits celui-ci, qui devien
dra ainsi seul propriétaire de cette immense for
tune. Si, comme il y a lieu de le croire, ses droits
sont pleinement établis, M. Tucker sera l'homme le
plus riche de l'Améiique, et même probablement
du monde entier.
•m x1L'L- m-
MEXIQUE,
On écrit de Hambourg, le 2 juillet, an Journal
de Francfort
Noua avons ici des lettres en date du t,T juin,
apportées de Vera-Cruz en Europe par le dernier
paquebot de l'Amérique du Sud.
Ces lettres, dont il m'a été permis de prendre
communication, désignent malheureusement la
situation de la petite armée française comme extrê
mement critique. Les pertes éprouvées, tant de>ant
Puebla que dans la retraite du corps du général
Lorencez jusqu'à Orizaba, s'élèvent, en tués et
blessés, 1,000 et quelques hommes.
Si l'expédition y avait eu lieu sans le concours
et la présence au càmp français des généraux Al-
monte et Marquez, sur lesquels, en même temps
que sur M. Dubois de Saligny, se concentre la
haine nationale, elle aurait peut- être été couronnée
de succès; aujourd'hui, d'après les lettres dont je
vous parle, nue levée eu masse de tous les hommes
valides se prépare d'un bout l'autre du Mexique,
et tous les Européens étabds dans les différents
ports sont d'accord pour croire qu'il faudra des
forces militaires très considérables et pourvues d'un
puissant matériel de guerre, pour pouvoir, au
milieu d'une population euuemie et eu armes,
marcher sut Mexico.
Les prisonniers français qui ont pu s'échapper
des mains des Mexicains et arriver par des détours
et des chemins affreux jusqu'à Vera-Cruz, se louent
beaucoup des bons traitements dont ils ont été
l'objet pendaot leur captivité.
Au départ du courrier, le commerce se plaignait
beaucoup de la fraude qui se faisait Vera-Cruz
sous la protection des autorités françaises, maîtres
ses de la douane. Tons les jours, on introduisait,
sans acquit de droits, des masses de vins, d'huiles,
de spiritueux et de marchandises de toute nature;
les consuls anglais et américains avaient déjà fait
des représentations sérieuses, mais sans succès, au
commaodaul frauçais de Vera-Cruz.
Un détail encore; la fièvre jaune sévit avec une
violence extrême. Les étrangers succombent par
centaines.
POUR CAUSE DE
CESSATION DE COMMERCE.
1 n
VENTE PAR LICITATION
DE
AVEC
SITUÉS
V'mm**
Premier lot. La MAISON avec Grange,
Etable et Fonds bâti et Terre Labour,
d'environ 55 ares, tenant du nord aux 2
lots suivants, séparant aveG l'égoût du toit.
Dernièrement occupée par la veuve Fran
çois Tancréet une partie de la Terre par
LcrnouUl.
Et 3™ lot. Le Fonds d'une maison,
au coin nord estN" 318% tenant au cou
chant la maison sous le 2°" marché et
séparer du midi avec le premier marché,
sur l'égoût du toitoccupé par la veuve
Sébastien Verbeke, qui la maison y exis
tante appartient, 10 francs l'an, échéant
chaque année le 1" Octobre.
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins «nciens, remplit avec un bon
heur remarquable tontes les conditions
du problème de la médication purga
tive. a l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien qne lorsqn'il est
pris arec de très bons alimenta et des
boissons forlilianles. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
h l'eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. La dose est facile h régler selon l'âge ou la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malade* les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun cbnîsit, pour se
purger, l'beure et le repas qui lai conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgàtion étant
complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi sonveiil que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce nioven,
ne rencontrent plus,de malades hésitant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. I.a lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, uu'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avaut
la fin. - Ces avantages deviennent bien plus prccieui, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs.engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'antres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgàtion régulière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative lia
docteur Debout, volume de 264 pages, donné gratuitement.
Paris, pharmacie du D' Debout, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposé a la Pharmacie de FRYSOU - VANOUTK1YE
rue de Dixmude, 35, Ypres.
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