MAISON BT MAGASIN,
HOFSTEDE
ÉTAT-CIVIL D'YPRES,
A LOUER
IN EÉNE ENKELE ZITTING,
00GZIEKTEN.
TE RENINGHE
HENRI VAN LERBERGHE,
COJ1MEKCE.
4
POLOGNE.
TURQUIE.
AMÉRIQUE.
S'adresser pour les conditions au pro
priétaire DÉSIRÉ DEBREU, demeurant
maison attenante.
OPENBAERLYK TE KOOPEN.
vastgesteld op DONDERDAG 21" AU-
GUSTY 1862, len 2 uren namiddag, in de
herberg de Pypegaele, ter gemeenle tfe-
ninghe, zal'er openbaerlyk Verkocht wor-
den eene schoone, goede en welbebouwde
patriraonieele H O F S T E DlË grool in
Lande 32 h. 30 a. 40 c. gelegen in de
gemeenle RENINGHE, verre zuid west
van deszelfs kerk en weinig noord oost
van den steenweg van Ypre naer Ooslvle-
teren, behalvens de Vette-Weide en de
Maeigarzen er van deelmakende, die
respectivelyk gelegen zyn achter de her
berg den Peereboom en langst den Boe-
singhe Gracht. In pagte gebruikt door
sieur Desiderius Louwnege.
Deze Verkooping zal gebeuren door het
ambt van den Notaris TA.1TD3^-
te Ypre, en men kan 00k
aile inlicbtingen bekomen by den Nolaris
PI3TE3.S te Reninghe.
Heeft de eer het Publiek kenbaer te
maken dat men bem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Statie Plaetg,
N* 3, te Korlryk.
De armen worden gratis gemeesterd.
MARCHÉ D'YPRES.
Oo écrit de Varsovie, le 18 juillet
Le général Luders est parti ce matin pour
Berlin poor y attendre sa complète guérison. Il
recevra 10,000 roubles de pension du trésor polo
nais, 10,000 de la Russie comme général et adju
dant, autant comme membre do conseil de l'empire.
Ajoute»-y 6,000 roubles, revenu de la seigneurie
de Ehelm, présent de l'Empereur; cela (ail 36,6oo
roubles de rente annuelle, a
RUSSIE.
Les journaux rnsses contiennent la première dé
pêche expédiée de Tiorneo en Sibérie par l'ingé
nieur militaire M. Romanoff, chef de la coostruc-
tiou des télégraphes dans la Sibérie orientale.
M. Romanoff, nous assure-1-on, a pris toutes les
dispositions pour terminer, vers la fin de i863, la
ligne jusqu'il Nicolaewisk. C'est ainsi qae l'océan
Pacifique se tronveta eu quelques minutes en
communication avec l'Europe.
On lit dans une correspondance de Constantîno-
ple, adressée ao Constitutionnel, propos du
dernier incendie qui a ravagé cette ville
Lorsqu'on incendie se déclare, la nouvelle eo
est aussitôt portée àusoltan et au grand vizir, qui se
transportent en toute bâte sur les lieux. Leur
exemple est suivi par les aotres ministres. Dès qu'il
fot prévenu, Abdul Aziz monta b cheval, escorté
seulement de quatre hommes, qu'il laissa bientôt
derrière loi- par l'extrême rapidité de sa course sur
nn terrain des plus difficiles et des plus dangereux.
Arrivé a Kassim Pacha, il fut vite entouré de
malheureux invoquant sa compassion.«Soyez
sans alarmes, leor dit- il, j'aurai soiu de voos tons.
Et voyant que la caserne de marine de l'Arsenal
était déjb entamée par les flammes, il courut s'y
enfermer eo s'écriani: Maintenant, je suis sur
qu'on la sauvera. Et elle fut sauvée. De l'a, le
Sultan se rendit successivement partout où le
danger était plus grand, encourageant du geste et
de la voix les troupes et les pompiers luttant a«ec
un courage sans pareil. Je vous laisse penser
qoelles furent l'émotion et l'admiration de tous, en
voyant leur sruverain si empressé, si actif, si
intrépide au milieu de ces périls.
Pour être juste, il faut dire aussi que le grand
vizir et le ministre de la guerre payèrent noblement
de leurs personnes, car ce dernier, traversant nne
rue tout eo flammes, reçnt la tête une grave
blessnre qui lui fit perdre connaissance, et on dut
le transporter en chaise b porteurs dans une phar
macie de Péra, où les soins nécessaires loi furent
donnés. Depuis lors, sou état est des plus satis
faisants. Des souscriptions sont ouvertes, et tout
indique qu'elles seront abondantes.
On écrit de New-York, le 5 juillet Il y a
quelques jours, au moment d'enfermer poor la nuit
Ses déienus du pénitentier de l'Ohio, b Colombes,
l'un d'eux, on boni me de couleor, nommé Armeoius,
condamné le 27 novembre 1860 b cinq ans de
léclusion pour vols avec effraction, se refusa b
obéir aux règlements de la prison, et se mit en
révolte ouverte. Il saisit une hache et déclara avec
les plus horribles blasphèmes qu'il ne se laisserait
pas saisir vivant. Le warden, on directeur de
l'établissement, lui fil comprendre les conséquences
terribles que cet folle résistance aurait pour lui;
mais ses remontrances restèrent vaines. Le directeor
fit alors appeler la garde.
Quand elle fut ariivée, le warden somma de
nouveau le détenu de déposer son arme et de
rentrer dans le devoir. Loin d'obéir, il s'élanca dans
7
une ainbtasure de croisée, et, se découvrant la poi
trine, mit la garde au défi de tirer sur lui.
Tout espoir de soumission de sa part s'étant
évanoui, le warden donna ordre b l'on des gardes
de tirer, rnaisde façon seulement b blesser le révolte.
La balle porta dans les chairs, et le prisonnier n'en
devint que plus furieux. Les deuxième, troisième et
quatrième coups de feu eurent les mêmes résultats;
tous causèrent des blessures légères au détenu,
sans faire flécbir sa détermination insensée.
An cinquième coup, il sauta de la croisée et
prit position b l'entrée d'une cellule, de façon b se
trouver presque entièrement masqué par le cham
branle de la porte, ce qui força la garde b se rap
procher de lui.
a La sixième balle atteignit le prisonnier b l'é
paule et exerça sur lui une influence plus décisive.
Il jeta sa hache et tomba évaooni. On le transporta
b l'infirmerie, et le chirurgien reconnut qu'aucune
des six blessures qui avaient sillonné le corps du
détenu n'était mortelle, et qu'il n'était épuisé que
par la perte de sang.
Quand Àrmesius l'indigne homooyroe do
farouche destructeur des légions de Varns eut
repris connaissance, il se montra extrêmement
docile et témoigna un vif repentir de s'être refusé b
obéir au wrardeo. Se convalescence sera longue
mais, en considération do sang qu'il a perdu, il ue
sera pas poursuivi pour sa rébellion.
DU 19 JUILLET AU 35 INCLUS.
Naissances 4. m* Sexe masc. 2, idem fém. 2.
DÉCÈS 4. Cyloor, Isabelle, 68 ansden
tellière, veuve de Jean Slagmulder, rue de
Menin. SchelleJoséphine62 ans, dentel
lièreépouse de Jean Baptiste Demey, rue des
Trèfles. Decroix. Marie, 60 ans. dentellière,
épouse Alexis Ponfoort, rue de Menin.
Beeuwe. Louis, by ans, négociant, célibataire,
rue au Beurre.
Enfants au-dessous de 7 ans 2. - Sexe
mas. 1, sexe fém. 1.
pour entrer en jouissance immédiate
-tTNF V4QTP
SITUÉS Rl'E DE DIXMCDE, N° 49
A YPRES,
pouvant servira touteespècedeCommerce,
précédemment occupée par le S' Decappe-
rtiaeker Debreu, alors épicier.
gelegen
Gfdek«refrd door M. de Konlag
der Kelgen,
BEEL- EN OOGMEESTER DER Rl'RGERLYKE GODSHUIZEN
DER STAD KORTRYK,
Cette combinaison nouvelle, basée sur
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit a>ec un bon-
heur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purga-
live. a l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci u'opère bien que lorsqu'il est
pris avec de très bons alimenta et îles
boissons Tortillantes. Il ne manque pas
son ellel, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlitz et d'autres purga
tifs. La dose est lacils régler selon l'Age ou la force des in.
dividus. Les enfanta, les vieillards et Us malades Us plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La Taligne île In purgalinn étant
complètement annulée par l'effet de ta bonne aliineuliou pres
crite, on se décide facilementà recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui eni|>l*ii'iil ce moyen,
ne rencontrent pins de malades hésitant se purger, sons pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'allaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, qn'on se purge vingl fois de s'uite. c n
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
(a fin.Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs, tnjorurn^nls,
affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais oui cèdent A nue purgntion régulière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgutiec du
docteur Oehaut, volume de 264 page», donné gratuitement.
Paris, pharmacie du I)' Itrbaul. et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe, 5 fr. el*2 fr. 50 cent.
Déposé la Pharmacie de FR VSOU - V A NOUTUIVE
l ue de DixniuJc, 35, A Y pi es.
couhthai, ai juili.et.
Froment, prix moyeu par 1 tp hrct. fr.
Froment rouge.
Seigle-
Fèves.
Huile de colza, par 48 doubles litres. il.
Huile de (in
ROtJEKRS, JUIM.KT
Froment blanc, prix moyeu» par i ip hect. fr.
Froment rouge.
Seigle.
Huile de colza, par 48 doubles Klres, il.
Huile de liu.
FURNE»a3 JUIM.ËT.
Froment, par sac de iiJ5 litres, fr.
Seigle.
Escourgeon.
Avoine.
Ftves.
POPEniNOHE. a'» JUHXET.
Fromriit, prix moyeu par hectolitre fr.
Seigle id. id.
Avoine id. td.
Fèves id. id.
Pois id. id. n
Pommes de terre par 100 kilogr.
Beurre par kilogr.
Houblou les 5o kilogrammes. 110-00.
ÉTAT Indiquant le. quantité* et le pris moyen
de* Grains, Fourrage* et autre* produit* agri
cole*, vendus le te JUILLET au marché
do cette ville s
4>i-5o.
38-oo:
a6-5o.
31-no.
60-1
56-1.5
4'l-00.
36-r.o.
•j5 5o
58-63
6» o5.
36-63
06-00.
ao o 1.
5 00.
a5-i3
•.26-07.
16-»5
8-75.
19 75.
ao-a5.
7-:5-
a-3o.
-
•NATURE
DBS
Grain* et Denrées.
QUANTITÉS
VESDtiES.
Kilogrammes.
prix
NO V EN
par 100
kilogrammes.
u S
le-
0 C
S Z
b
T5 JZ
a -
1 -■!
Froment
32,000
34-25
77 60
3,200
24-00
73 60
Avoine
4oo
20-00
46
3oo
26-00
80
Féveroles.
i,4oo
24- 5o
80
Pommes de terre.
4,000
6-00
Paille.
Beurre
21^-00
LtKBIt-L.tHlilS, éditeur.