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OOGZIEKTEN.
20 ANNÉES D'EXPÉRIENCE.
HENRI VAN LERBERGHE,
5 FRANCS LA DENT
ALLEMAGNE.
AUTRICHE.
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On lit dans la Gazette d'Augsbourg, k la date
dn 5 septembre
Notre ville a célébré hier une belle fête, destinée
a réunir dans un banquet commémoratif les anciens
élèves do lycée de Sainte-Anne, séparé eo deux
depuis une trentaine d'années. Quatre cent cin
quante personnes environ assistaient ce banquet.
M. le docteur Hertel, président d'âge, a porté le
premier toast au roi Maximilien, et ce toast a été
expédié sur le champ par voie télégraphique.
La veille, le docteur Hertel avait reçu une lettre
autographe de l'Empereur Napoléon III, qui a été
élève du lycée de 1831 1833. Cette lettre avait
été précédée d'un avis du duc Tascher de la
Pagerie au comte Raymond de Fegger, propriétaire
actuel de la maison que le prince Napoléon habitait
alors avec la reioe Hortense, et qui annonçait que
l'empereur, pour témoigner de la part sympathique
qu'il prenait la fête, envoyait cent bouteilles de
Champagne aux convives et faisait ud don de 5,000
francs aux pauvres de la ville d'Augsbourg. Au
banquet, le docteur Hertel a donné lecture de
la lettre de l'empereur adressée M. le docteur
Hertel, président du banquet des anciens élèves du
gymnase d'Augsbourg (ce texte est donné en
allemand par la Gazette d'Augsbourg)
Saint-Clotid, 3o août 1862.
Monsieur le président,
J'ai appris avec le plus vif intérêt le projet
d'une réunion des anciens élèves du gymnase
d'Augsbourg, qui veulent célébrer par un banquet
le souvenir d'aunéesantérieures d'études passées en
commun, et je désire au moins, comme ancien
condisciple, prendre part en peDsée cette heu
reuse fête.
Je n'ai jamais oublié le temps que j'ai passé en
Allemagne, où ma mère a trouvé une noble hos
pitalité et où j'ai goûté les premiers bienfaits
de l'instruction. L'exil fournit des expériences
tristes mais utiles; il appreod connaître les
peuples étrangers, apprécier sans préjugés leurs
bonnes qualités et leur valeur, et si l'on est assez
benreux plus tard pour rentrer sur le sol de sa
patrie, on garde néanmoins pour les cootrées dans
lesquelles 00 a passé sa jeunesse, les souvenirs les
plus agréables, qui restent vivants malgré le temps
et la politique.
Votre réunion me donne l'occasion de vous
exprimer ces sentiments. Recevez-les comme une
preuve de ma vive sympathie et de la considération
avec laquelle je suis votre affectionné.
NAPOLEON.
Après cette lecture, le président a prononcé des
paroles de gratitude bien senties pour l'empereur,
et un toast de Vive Napoléon notre condisciple
a été immédiatement transmis Saint-Cloud.
Un touriste allemand raconte une scène
assez comique, qui s'est passée au grand tir de
Francfort.
Il existe une chanson populaire du poète Arndt,
adoptée depuis cinquante aGS par les patriotes
allemands comme un chant de ralliement. A chaque
strophe de cette chanson le chœur doit répéter le
refrain O Allemand! ta patrie doit être plus
grande
Or, un tireur berlinois, démocrate bien connu,
venait de tirer sur celle des cibles laquelle le
comité du tir avait donné le nom Patrie. Mais
il avait visé si mal, que sa balle allait tout en
dehors de la cible. Alors un vieux Tyrolien, qui,
appuyé sur sou fusil, attendait son tour derrière ce
tireur maladroit, lui tapa amicalement sur l'épaule
en s'écriaut Mou brave, ta patrie doit être plus
grande.
DANEMARK.
S. A. R. la princesse Alexandra (Caroline-
Marie) de Dauemark, fiancée du prince de Galles,
est âgée de près de 18 ans. Elle est née le 1"
décembre r844.
La Gazette autrichienne rapporte le fait sui
vant A Gyongas, un homme qui jouit de la
considération générale, ayant rencontré chez lui on
individu qui faisait la cour k sa femme, lui a cou
pé une oreille, l'a mise dans sa poche et la porte
maintenant sur lui.
A Grtinberg, en Moravie, un jeune homme
plaisantait avec une jeune fille de dix-huit ans,
chez laquelle il se trouvait. Au moment de se
retirer, il lui demanda son chapeau; comme elle ne
le lui donnait pas après une prière réitérée, il
saisit un fusil k la muraille et menaça de tirer sur
elle, si elle n'apportait aussitôt son chapeau. Il lui
demanda si l'arme était chargée; elle répliqua
qu'elle l'ignorait, et au même moment le coup
partit, l'atteignit k la poitrine et la toa roide. La
mère de la jeune fille tomba sans connaissance k la
vue de ce funeste événement, et son état est des
plus graves.
On écrit de Prague k la Correspondance
constitutionnelle viennoise s Au jubilé de
Tephitz, le prince Clary a fait éloigner un drapeau,
noir, ronge et orange, que l'on avait placé devant
sa maison, en disant Pensent-ils, parce qu'ils
ont une association de gymnastes, qu'ils puissent
déjà arborer des drapeaux révolutionnaires.
A Eibenschitz on parle d'ime treille sur
laquelle on a compté 4ooo grappes; cela promet
une abondante récolte de vin.
Une arrestation d'une grande importance est
celle qui a eu lieu récemment k Varsovie, de l'on
des chefs du comité révolutionnairele capitaine
de Dabrowsky, chez qui l'on a trouvé les listes des
conjurés, l'organisation de la conspiration et quel
ques autres papiers importants. Depuis on a arrêté
d'autres personnes, et parmi elles, dit-ou, l'indi
vidu qui a blessé le général Loders.
PORTUGAL.
Le 4 septembre, les Cortès portugaises se sont
réunies k Lisbonne pour donner leur approbation
au contrat de mariage du roi de Portugal avec la
princesse Marie (de Savoie). La célébration du
mariage aura lieu k la fin de ce mois. Le marquis
de Loulé, qui doit s'embarquer le y k Lisbonne
pour aller chercher la jeune princesse k Turin,
amène avec lui la duchesse de Terceira, en qualité
de camarera mayor, trois caméristes, trois gen
tilshommes et un médecin de chambre. La reioe ira
en France par la voie de terre, s'arrêtera k Paris
deux ou trois jours, et ira s'embarquer k Bordeaux,
après avoir fait une visite k l'empereur et k la
princesse Clotilde, sa sœur.
Le nouveau ministre des finances de Turquie,
Nevres-Pacha, vieni de découvrir dans les caves de
son palais, a Constantinople, une grande quantité
d'anciennes monnaies, parmi lesquelles les numis
mates ont distingué des medines, des fundues et
des Stamboulis. Leur valeur est estimée i5,5oo,ooo
piastres (la piastre vaut 25, centimes.)
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der Kelgen,
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DER STAD RORTRYR,
ET AU-DESSUS DE 5 FRANCS.
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Cette combinaison nouvelle, basée ser
des principes non connus des mé
decins anciens, remplit avec un bon
heur remarquable toutes les conditions
du problème de la médication purga
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est
Eris avec de très bons aliments et des
oissons fortifiantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive souvent
l'eau de Sedlitz et d'autres purga
tifs. La dose est facile régler selon l'âge on la force ues in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se
purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. La fatigue de la purgalion étant
complètement annulée par l'effet de ia bonne alimention pres
crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésilant se purger, sous pré
texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal
exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant
la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand
il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements,
affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent une purgalion régulière et long
temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du
docteur Dehaut, volume de 264 pages, donné graluilement.
Paris, pharmacie du D' Déliant, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent.
Déposa la Pharmacie de FRYSOD-VANOXiTillVE.
rue de Dixmude, 35, Ypres.
X.A.MBJX-a.ASîBI*, éditeur.