VANDENBERGHE,:z,;: OOGZIEKTEN. 20 ANNÉES D'EXPÉRIENCE. HENRI VAN LERBERGHE, 5 FRANCS LA DENT ALLEMAGNE. AUTRICHE. POLOGNE. TURQUIE. Heeft de eer het Publiek kenbaer le maken dal men hem aile dagen kan raed- nleeren ter zvner wooning, Statie Plaets, N° 3, te Kortryk. De armen vvorden gratis gemeesterd. A consulter Ypres tous les Lundis de chaque semaine partir du Lundi 8 Sep tembre, YHôtel de la Tête d'Or. la commission médicale de Bruxelles et d'autres, avantageusement connu pour sa pose des dents et dentiers hygiéniques d'une simplicité de mécanisme qui n'exige aucune opération préalable et s'adoptant indistinctement avec grand succès sur toutes les gencives, même dans la bouche la plus délicate, ne couvrent pas la voûte palatine de la bouche d'une plaque mêla- lique, d'os ou caoutchouc; le goût, la mas tication et la prononciation se facilite par ce nouveau genre de dentiers. Tout ouvrage est garanti par écrit. Consultations, opérations, guérison des maux de dents, nettoyage, obturation des dents creuses, redressement et raccom modage de dents et dentiers. - S .-2 3 S a S o On lit dans la Gazette d'Augsbourg, k la date dn 5 septembre Notre ville a célébré hier une belle fête, destinée a réunir dans un banquet commémoratif les anciens élèves do lycée de Sainte-Anne, séparé eo deux depuis une trentaine d'années. Quatre cent cin quante personnes environ assistaient ce banquet. M. le docteur Hertel, président d'âge, a porté le premier toast au roi Maximilien, et ce toast a été expédié sur le champ par voie télégraphique. La veille, le docteur Hertel avait reçu une lettre autographe de l'Empereur Napoléon III, qui a été élève du lycée de 1831 1833. Cette lettre avait été précédée d'un avis du duc Tascher de la Pagerie au comte Raymond de Fegger, propriétaire actuel de la maison que le prince Napoléon habitait alors avec la reioe Hortense, et qui annonçait que l'empereur, pour témoigner de la part sympathique qu'il prenait la fête, envoyait cent bouteilles de Champagne aux convives et faisait ud don de 5,000 francs aux pauvres de la ville d'Augsbourg. Au banquet, le docteur Hertel a donné lecture de la lettre de l'empereur adressée M. le docteur Hertel, président du banquet des anciens élèves du gymnase d'Augsbourg (ce texte est donné en allemand par la Gazette d'Augsbourg) Saint-Clotid, 3o août 1862. Monsieur le président, J'ai appris avec le plus vif intérêt le projet d'une réunion des anciens élèves du gymnase d'Augsbourg, qui veulent célébrer par un banquet le souvenir d'aunéesantérieures d'études passées en commun, et je désire au moins, comme ancien condisciple, prendre part en peDsée cette heu reuse fête. Je n'ai jamais oublié le temps que j'ai passé en Allemagne, où ma mère a trouvé une noble hos pitalité et où j'ai goûté les premiers bienfaits de l'instruction. L'exil fournit des expériences tristes mais utiles; il appreod connaître les peuples étrangers, apprécier sans préjugés leurs bonnes qualités et leur valeur, et si l'on est assez benreux plus tard pour rentrer sur le sol de sa patrie, on garde néanmoins pour les cootrées dans lesquelles 00 a passé sa jeunesse, les souvenirs les plus agréables, qui restent vivants malgré le temps et la politique. Votre réunion me donne l'occasion de vous exprimer ces sentiments. Recevez-les comme une preuve de ma vive sympathie et de la considération avec laquelle je suis votre affectionné. NAPOLEON. Après cette lecture, le président a prononcé des paroles de gratitude bien senties pour l'empereur, et un toast de Vive Napoléon notre condisciple a été immédiatement transmis Saint-Cloud. Un touriste allemand raconte une scène assez comique, qui s'est passée au grand tir de Francfort. Il existe une chanson populaire du poète Arndt, adoptée depuis cinquante aGS par les patriotes allemands comme un chant de ralliement. A chaque strophe de cette chanson le chœur doit répéter le refrain O Allemand! ta patrie doit être plus grande Or, un tireur berlinois, démocrate bien connu, venait de tirer sur celle des cibles laquelle le comité du tir avait donné le nom Patrie. Mais il avait visé si mal, que sa balle allait tout en dehors de la cible. Alors un vieux Tyrolien, qui, appuyé sur sou fusil, attendait son tour derrière ce tireur maladroit, lui tapa amicalement sur l'épaule en s'écriaut Mou brave, ta patrie doit être plus grande. DANEMARK. S. A. R. la princesse Alexandra (Caroline- Marie) de Dauemark, fiancée du prince de Galles, est âgée de près de 18 ans. Elle est née le 1" décembre r844. La Gazette autrichienne rapporte le fait sui vant A Gyongas, un homme qui jouit de la considération générale, ayant rencontré chez lui on individu qui faisait la cour k sa femme, lui a cou pé une oreille, l'a mise dans sa poche et la porte maintenant sur lui. A Grtinberg, en Moravie, un jeune homme plaisantait avec une jeune fille de dix-huit ans, chez laquelle il se trouvait. Au moment de se retirer, il lui demanda son chapeau; comme elle ne le lui donnait pas après une prière réitérée, il saisit un fusil k la muraille et menaça de tirer sur elle, si elle n'apportait aussitôt son chapeau. Il lui demanda si l'arme était chargée; elle répliqua qu'elle l'ignorait, et au même moment le coup partit, l'atteignit k la poitrine et la toa roide. La mère de la jeune fille tomba sans connaissance k la vue de ce funeste événement, et son état est des plus graves. On écrit de Prague k la Correspondance constitutionnelle viennoise s Au jubilé de Tephitz, le prince Clary a fait éloigner un drapeau, noir, ronge et orange, que l'on avait placé devant sa maison, en disant Pensent-ils, parce qu'ils ont une association de gymnastes, qu'ils puissent déjà arborer des drapeaux révolutionnaires. A Eibenschitz on parle d'ime treille sur laquelle on a compté 4ooo grappes; cela promet une abondante récolte de vin. Une arrestation d'une grande importance est celle qui a eu lieu récemment k Varsovie, de l'on des chefs du comité révolutionnairele capitaine de Dabrowsky, chez qui l'on a trouvé les listes des conjurés, l'organisation de la conspiration et quel ques autres papiers importants. Depuis on a arrêté d'autres personnes, et parmi elles, dit-ou, l'indi vidu qui a blessé le général Loders. PORTUGAL. Le 4 septembre, les Cortès portugaises se sont réunies k Lisbonne pour donner leur approbation au contrat de mariage du roi de Portugal avec la princesse Marie (de Savoie). La célébration du mariage aura lieu k la fin de ce mois. Le marquis de Loulé, qui doit s'embarquer le y k Lisbonne pour aller chercher la jeune princesse k Turin, amène avec lui la duchesse de Terceira, en qualité de camarera mayor, trois caméristes, trois gen tilshommes et un médecin de chambre. La reioe ira en France par la voie de terre, s'arrêtera k Paris deux ou trois jours, et ira s'embarquer k Bordeaux, après avoir fait une visite k l'empereur et k la princesse Clotilde, sa sœur. Le nouveau ministre des finances de Turquie, Nevres-Pacha, vieni de découvrir dans les caves de son palais, a Constantinople, une grande quantité d'anciennes monnaies, parmi lesquelles les numis mates ont distingué des medines, des fundues et des Stamboulis. Leur valeur est estimée i5,5oo,ooo piastres (la piastre vaut 25, centimes.) Ceilekoreerd doo 2. M, de Konlng der Kelgen, HEEL-EN OOGMEESTER DER Ll'RGERLYRE GODSIIUIZEN DER STAD RORTRYR, ET AU-DESSUS DE 5 FRANCS. C/> CO H rt H en -a CC -a> n3 U3 03 W en - s <5 p ci <- c S S Oa, en - -S -© en -O s- 3 2 3 3 O"1 w ce O l—H S-I CO *3 O p - -co H 3 as o en en O O o o J-t -3 O eo eu S S-r en •3 .eo 3 i eo - M l-( ÇL, V—H I 03 a o O ES] 13 O to C! <D O M CO o H U en eo M t- «H 3 -1-1 O 3 P O C 3. 2 CO r- O s 3 Î3"1 S 3 CD 3 T3 3 S» 3 O 3. SU «5 "U) k •M SU su <0 "5! S O •tw s Cette combinaison nouvelle, basée ser des principes non connus des mé decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes les conditions du problème de la médication purga tive. A l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est Eris avec de très bons aliments et des oissons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent l'eau de Sedlitz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'âge on la force ues in dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgalion étant complètement annulée par l'effet de ia bonne alimention pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen, ne rencontrent plus de malades hésilant se purger, sous pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, qu'on se purge vingt fois de suite, on n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant la fin. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent une purgalion régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du docteur Dehaut, volume de 264 pages, donné graluilement. Paris, pharmacie du D' Déliant, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposa la Pharmacie de FRYSOD-VANOXiTillVE. rue de Dixmude, 35, Ypres. X.A.MBJX-a.ASîBI*, éditeur.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4