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A consulter Ypres tous les Lundis de chaque semaine partir du Lundi 8 Sep tembre, YHôtel de la Tête d'Or. la commission médicale de Bruxelles et d'autres, avantageusement connu pour sa pose des dents et dentiers hygiéniques d'une simplicité de mécanisme qui n'exige aucune opération préalable et s'adoptant indistinctement avec grand succès sur toutes les gencives, même dans la bouche la plus délicate, ne couvrent pas la voûte palatine de la bouche d'une plaque méta- lique, d'os ou caoutchouc; le goût, la mas tication et la prononciation se facilite par ce nouveau genre de dentiers. Tout ouvrage est garanti par écrit. Consultations, opérations, guérison des maux de dents, nettoyage, obturation des dents creuses, redressement et raccom modage de dents et dentiers. Le comte Rechberg et le ministre de !a guerre Degenfeld étant tombés d'accord de la possibilité d'one réduction de l'armée, on élabore an minis tère de la guerre an plan de réduction, et voilà pourquoi, dit on, le budget détaillé de l'armée pour i863 n'a pas encore été soumis au Reichsrath, le gouvernement se proposant de réduire le chiffre qu'il avait fixé primitivement. Un grand malheur est arrivé Stolberg, près d'Aix-la-Chapelle. On tirait des boîtes pour une fête quand nn tonneau de poudre fit explosion et blessa huit personnes. Trois sont mortes le lende main et les autres sont en grand danger. On dit qne la question d'établir Berlin une ambassade française s'agite sérieusement Paris. Quelques-uns prétendent même que M. de Latour d'Auvergne est l'ambassadeur déjà désigné. Gazelle de Cologne.) La Gazette de Cologne raconte le fait suivant Dernièrement dans une société de Cologne, on discutait sur la sincérité des proposi tions de mariage qui se publient par la voie des journaux. Les uns disaient que fort peu de femmes devaient y répondre, d'autres soutenaient le con traire. Ou fit un pari, une annonce très-séduisante fut rédigée et publiée. Il arriva en réponse une vingtaine de lettres, quelques-unes contenant les photographies de celles qui les écrivaient. Un plaisant proposa de dooner rendez-vous toutes ces dames dans un même endroit. Au grand amu sement de ces messieurs qui goettaient d'une mai son voisine, elles arrivèrent toutes l'une après l'autre avec le bouquet de roses la main et la mouche sur la joue gauche, signes de reconnaissance prescrits par les lettres. Quelle dut être leur sur prise de se trouver si nombreuses! Pas de doute qu'elles ne se liguent pour se venger de la mysti fication. L'incendie de Waldkirchen, a détruit en quel ques heures i4o maisoos. Le dégât est très-consi dérable, plus d'un million de florins, et les victimes sont dans un dénûmenl affreux. Le nombre constaté des victimes est déjà de dix, mais on craint qu'il ne soit plus élevé, plusieurs personnes manquant encore l'appel. Le 23 de ce mois, l'on a constaté la première gelée de la saison Cobourg. Le matin, au lever du soleil, l'eau présentait sa surface une couche de glace, et il avait gelé blanc dans tous les jardins. On vient d'abandonner de nouveau, dans l'armée, l'emploi du coton-poudre, et toutes les armes feu qui avaient été disposées pour ce coton- poudre vont être changées et réappropriées l'usage de la poudre ordinaire. Il est d'asage chaque été, Hambourg, que la ville donne une fête anx orphelins et aux or phelines élevés dans son hospice. Ces jours-là ces malheureux petits enfants, auxquels se réunissent les enfants trouvés, parcourent la ville dans leurs habits du dimanche, et ont le droit de frapper toutes les portes pour demander la part du bon Dieu, c'est-à-dire une offrande tous les enfants plus heureux et plus fortunés qu'eux. Après leur tournée faite, on les conduit dans un grand pré si tué hors la ville, an milieu duquel est placée une table couverte par un excellent repas, et servie par tous cenx des habitants de Hambourg qui se font nn devoir d'assister celte fête donnée l'enfance malheureuse. Or, cette année, la fête de bienfaisance ordinaire a été accompagnée d'un incident si étrange qu'il mérite d'être raconté. Lady W..., jeune et belle Anglaise, qui voya geait depuis deux ans pour rétablir sa sauté, ou plptôt sa raison fortement ébranlée la suite de la perte de sa fille, unique enfant, âgée de cioq ans, venait d'arriver Hambourg quand eut lieu la fête dont nous venons de parler. Comme sa folie est douce, inoffensive, et que les médecins ont recommandé de ne rien négliger de ce qui pouvait la distraire, lord W..., son mari, qui l'aime tendrement et qui la soigne d'une façon toute maternelle, voulut la conduire sur le pré où se donnait le repas, toujours accompagné de chant, de musique et de danse. A peine y fut-il, qu'il chercha entraîner loin de ce lieu sa jeune compagne, ayant apeiçu au milieu des enfants trouvés une petite fille qui res semblait si complètement au cher être qu'il avait perdu, qu'on aurait cru qu'il venait de descendre dn ciel sur la terre. Mais il était trop tard, la jeune femme l'avait aperçu, et, s'élançant vers l'eufant, qu'elle prit dans ses braselle s'écria en la cou vrant de baisers et de larmes: Ma fille! ma chère fille! Te voilà donc re venue enfin... Il y a bien longtempsque je l'attends, Mary mais tu ne me quitteras plus, maintenant. Et tout eu parlant ainsi, elle se dirigea vers la ville en serrant la petite fille contre sou coeur. Bref, les médecius ayant assuré que cette illusion pouvait sauver l'intéressante malade, lord W... vient d'adopter la jolie blondiue de Hambourg, et lady W—, qui se croit réellement sa mère, a re pris sa raison et sa santé. On écrit de S' Pétersbourg, le 20 septembre, la Bœrsenhalle Nous avons déjà dit, l'occasion de l'ukase modifiant l'organisation de l'armée, qu'il était loin d'en résulter une réduction de cette dernière. Le nouvel ukase ordonnant la reprise des levées de recrues suspendues depuis six ans est une preuve l'appui de ce que nous avancions. Ce recrutement, qui commeucera au milieu de janvier pour finir au milieu de février, aura lieu la fois dans les deux parties de l'empire, taudis qne jusqu'ici on ne pro cédait ces levées que par moitié, une année dans l'Orient, la suivante dans l'Occident de la Russie. Il sera de 5 soldats par 1,000 âmes de population c'est là un chiffre équivalent to hommes par 1,000 dans une seule moitié de l'empire, ce qui n'est arrivé qu'une fois, et pendant la guerre de Crimée. C'est donc, en définitive, une augmenta tion et la perspective d'une armée sur le pied de guerre pour le printemps 1863. Cette combinaison nouvelle, basée snv des principes non connus des mI decins anciens, remplit avec un bon heur remarquable toutes les condition! du problème de la médication purs», tive. A l'opposé des autres purgatifs celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est pris avec de très bons aliments et $ts boissons Tortillantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent A l'eau de Sedlitz et d'autres purs» tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in] dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé" bilités le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour J purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgation étant complètement annulée par l'effet de la bonne alimention près- crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce nioven ne rencontrent pins de malades hésitant se purger, sonsprél texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon. guenrdu traitement n'est plus un obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, ou'on se purge vingt fois de suite, on n'est pfus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer avant la '|n. Ces avantages deviennent bien plus précieux, quand il s'agit de maladies sérieuses, telles que tumeurs,engorgements, affections cutanées, catarrhes et bien d'autres maux réputés in! curables, mais qui cèdent une purgation régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgatise do docteur Hehaul, volume de 264 pages, donné gratuitement. Paris, pharmacie du D' Dehaut, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de FH YSOU - V ANOUTItlVE. rue de Dixmude, 35, Y pi es. CHEZ Gedekoreerd door Z. M. de Konlug der Belgen, HEEL- EN OOGMEESTER DER BURGERLYKE GODSIIUIZEN DER STAD KORTRYK, ET AU-DESSUS DE 5 FRANCS. Imp, de ldibi.v-uubix.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1862 | | pagina 4