HOFSTEDE
B O O >1 E N
HOLLEBEKE.
BOSCHTAILLIE
EN PLANTSOENEN,
SCHOONE EN GOEDE
OOSTNIEUWKEBKE,
OPENBAER TE KOOPEN.
Den Notaris CHRISTIAEN, te Passchen-
daele, zal krachlens vonnis en ten over-
staen van deij heer Vrederegterin 2
zittingen, die zullen plaets hebben, ten
dorpe van Ooslnieuwkerke, de eerste voor
den INSTEL op Woensdag 17° December
1862, ter herberg van Francis Vanlauwe
en de tweede voor den OVERSLAG den
31° derzelfde maend, 1er herberg het
Gemeente Huis, bewoond by Leonaerd Gril-
let, t'elkens ten 3 uren namiddag, over-
gaen tôt de openbare Verkooping van
1° Eene goede HOFSTEDE, groot in
Erve H. 14-02 54, gelegen op Oostnieuvv-
kerke, zuid by hel dorp, by plakschrift
verdeeld in 21 koopen, gebruikt door de
weduwe van Anionius Moerman en zoon
naits fr. 1,270 00, boven de lasten, by de
jare, met pacht toi 1° October 1866.
En 2° - Een klein HOFSTEDEKEN,
groot in Erve H. 0 77-3100k op Oost»
nieuwkerke, west by het dorp, verdeeld in
2 koopen. Ora aenstonds in het ge-
bruik te komen.
De voorwaerden by dito Notaris.
Eigendommen toebehorende aen de Gemeente
en aen het Armbestuer van
Op maendag8en december
1862, wezend O.-L.-V. Onbevlekte Ontvan-
genisse, ten 1 ure precies namiddag, ter
herberg bewoond door S Pieter Ghesquiere,
op Holtebeke, tegen de plaetse, zal er door
den Notaris LAMBIN, te Ypren reside-
rende, voortsgevaren worden toi de open
bare Verkooping
A. Van de Boschlaillie, Plantsoenen en
Boomen, zich bevindende op de nabeschreven
Goederen behorende aen het Armgeslicht
van Hollebeke, te weten
1° De weinige Taillie met getee-
kende Plantsoenen, staende op eene
partie Bosch, groot 13 aren 12 centiaren,
gelegen te Hollebeke, langst de straete
leedende naer het Elein Zillebeke of de
Vodde, palende noord en oost aen land van
M. Guichard-Evrard, zuid aen 't bosch der
kerke, west aen land van M. Goeman.
2° 12 koopen Eeken Boomen, staende
in hel zelve Bosch.
3° 14koopen Eeken, Abeelen, Esschen
en Keirselaren Boomen, staende op eene
partie Bosch, in pacht gehouden door M.
Pyssonnier, gelegen te Hollebeke, langst
de dreve leedende van de plaetse naer het
Speelgoed van M. De Neckere.
4" 2 koopen Wilgen, Karenten en
Linde Boomen staende op eene partie
Land gebruikt door Francis Alleman,
gelegen ter gemeente van VVytschaete, niet
verre van de plaetse van Hollebeke.
5° 2 koopen Eeken Boomen, staende
op eene partie Bosch gelegen te Voorme-
zeele, langst de Waterslraele leedende van
de Wambeke naer het Duivelskasteel.
En B. Van de Taillie oud 7 jaeren,
staende op twee perceelkens Bosch, toebe
horende aen de gemeente van Hollebeke,
te zamen groot volgens cadaster sectie B,
N°'210 en 211, den nomber van 22 aren
10 centiaren, gelegen 1er zelfde Hollebeke,
langst de Klylgatslraete, palende van zui-
den aen 't bosch van M. de Ranchicourt*
Joannes de Deurwaerder, zal de Boomen
en de Boschlaillie aentoonen.
'Kr* De lie(hebbers zyn aenzocht de te
verkoopen Taillie, Plantsoenen en Boomen
voor den dag der Verkooping te gaen bezig-
ligen.
De Verkooping zal geschieden met tyd
van belaling, mits slellende goede en wel-
bekende medekoopers of borgen, en gereed
betalende den 10°° pennink voor de kosten.
Dat men het voorts zegge.
s'est empressé de meure «ne barrière entre son
adversaire et lui. Le président l'a mandé près de
lui et il a préféré se rendre en prison plutôt que
d'affronter le taureau. Des murmures se sont élevés
aussitôt dans l'assemblée.
a II était facile de voir que la tempête populaire
qui grondait sourdement allait éclater. L'autorité a
donné l'ordre de commencer le combat des chiens
qui était annoncé sur le programme. Les spectateurs
sont devenus furieux un cri épouvantable, uni
versel, a retenti; l'œuvre de la dévastation et de la
démolition des barrières a commencé. Le agents de
l'autorité qui étaient en petit nombre ont été
insultés et maltraités.
Les gens paisibles se sont esquivés. De nom
breux groupes se sont formés autour de la place,
jetant des pierres aux municipaux et gardes urbai
nes tout fait inoffeusifs. Plusieurs ool été blessés;
trois le sont grièvement. A la première nouvelle de
ces désordres, le gouverneur civil, plusieurs adjoints
de l'alcade et le colonel commandant de la marine
soQt arrivés; ce dernier a été très-exposé.
S'il avait fait usage des armes feu, nous
aurions déplorer de grands malheurs.
La troupe do quartier de la Barceloneta s'est
mise sous les armes; mais, quand on a demandé des
services, il a été répondu qu'elle ne pouvait pas
marcher sans ordre écrit de l'autorité militaire.
Des rassemblements plus menaçants se sont
formés dans les environs de la place du Palais et
devant la Douane. Peu peu, ces rassemblements,
cédant aux invitations pressantes qui leur étaient
faites, se sont dissipés. Heureusement, cet événe
ment n'a pas eu, que nous sachions, d'autres
conséquences.
ITALIE.
Turin, 22 novembre. Les bruits les plus
étranges ne cessent de courir; il n'est plus permis
de douter que nous ne soyions la veille d'une
crise ministérielle, et chacun l'euvisage a sou point
de vue.
AUTRICHE.
Un conseil des ministres a été tenu samedi sous
la présidence de l'Empereur, au sujet de la réor
ganisation du ministère de la marine. L'Empereur
s'est prononcé pour la plus grande économie
possible, poussée même plus loin quene le demande
la commission des finances de la Chambre des
députés.
HONGRIE.
On écrit de Peslh, i5 novembre: Ainsi que
a lieu chaque année, a l'époque actuelle, l'empe
reur François-Joseph vient de recevoir, Vienne,
en audience particulière, une députation de la
communauté israélite de Pestb, qui lui a présenté,
sur de grands plats d'argent, deux magnifiques
oies, ornées de rubans aux couleurs autrichiennes
et hongroises. Cet osage remonte plus d'un
siècle. Pendant la fameuse guerre de succession qui
éclata au commencement du règne de Marie-
Thérèse, l'Autriche fut envahie par des armées
étrangères, sa capitale fut cernée, et un grand
besoin de vivres s'y faisait sentir.
A cette époque, quelques négociants Israélites
de Pesth, pour que rien ne manquât a la table de
l'impératrice, bravèrent beaucoup de dangers en
passaut les lignes ennemies, et parvinrent, b force
de ruses et d'argent, b faire parvenir au palais im
périal de Vienne tout ce qu'ils pouvaient trouver
de meilleur en fait de comestibles. L'impératrice
gardait surtout un souvenir de ces oies que les
Israélites savent si bien engraisser. Ces derniers ont
offert depuis deux oies grasses de choix s l'impé
ratrice chaque année. Marie-Thérèse statua même,
sur leur demande, que chacun de ses successeurs
devrait recevoir eu audience particulière, dans
la seconde semaine de novembre, une députation
des israélites de Pesih avec leur offrande de deux
oies grasses.
ALLEMAGNE.
Dresde, 17 novembre. La foire de Saint-
Michel a Leipzig, qui vient de se lermiuer, n'a pas
été meilleure que celle de Pâques, et c'est aux
mêmes causes, c'est b-dire surtout b la crise
américaine, qu'il faut attribuer la faiblesse du
marché. L'iodusirie colonnière dans le Zollverein
emploie un capital de i5o millions de thalers
(552,5oo,ooo francs) et occupe au moins 3oo,ooo
ouvriers. Eu calculant les approvisionnements en
coton qui subsiste encore et les quantités que l'on
pourra exporter des Indes, de l'Egypte et de
l'Amérique du Sud, on suppose que les apports
disponibles pour tonte l'Europe ne s'élèveront pas
pendant l'auoée 1862-1863 b plus de 6 millions
de quintaux, environ les 2|â de la consommation
d'une année ordinaire. L'Allemagne n'aura cer
tainement pas la plus forte part sur ces 6 millions
de quintanx. Or, si les fabricants ne peuvent se
procurer la matière première eu quantité suffisante,
ni laisser la marchandise b vil prix, ils seront
obligés de suspendre les travaux sur une vaste
échelle, et alors que feront-ils de leur 5oo,ooo
ouvriers? Il y a de sérieuses causes d'inquiétude et
l'opinion publique s'en préoccupe b juste titre.
(Journal de Francfort.)
La cour de Bavière, c'est a dire le roi Louis
et la presque totalité de la famille royale, se mon
trerait peu disposée b revendiquer pour un fils du
priuce Luitpold la succession du prince dépossédé.
Il est vrai que le roi Maximilien se prononce en
faveur du maintien des droits de sa dynastie; mais
il se trouve presque seul b le soutenir, et cela avec
d'autaol moins de probabilité de succès que les
Grecs n'accepteront jamais un prince bavarois, s'il
ne leur est imposé par la force. (Idem.)
AFRIQUE.
Une dépêched'Alger, arrivée b Toulon, annonce
que le duc de Brabant est parti de cette ville,
b bord de la corvette b vapeur le Tanger, qui a
été mise b sa disposition par le gouverneur géné
ral; ce uavir, commandé par M. Leblanc, capitaine
de frégate, restera aux ordres do prince, qui
se reud b Alexandrie avec l'intention de visiter
toute la haute Egypte.
alsmlide
op
instel penningen te winnen.
OPENBARE ERKOOPING
van
staende op de nàgemelde
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