ANNONCES.
OO&Z EKTEN.
HENRI VAN LERBER&HE,
•ooffni ifotijM m onxfs.rmcijusoUv,
Den DONDKKDAG 5° EEBKUARY I8G3,
's middagszal den Notarîs LAMBIN,
t'Yper verblyvende, voortsvaren op het
Kasteel van llollçbeke lot de openln-ye
Verkooping van zeer achoone EIKEN van
eene huitcngevvoane lengle en dikle.
Heeft clo ecr het Piibliek kenbaer te
maken dat rnert hem aile dagen kan raed-
plegen ter zyner wooning, Statie Plaets,
N° 5, te Korlryk.
De armen worden gratis gemeeslerd.
Le comité central des délégués des com-
b'altanls de 1830, a fait parvenir l'Admi-
nislratiou locale, une pétition destinée
être adressée la Chambre et tendant
obtenir la décoration de la Croix de fer
pour ceux, qui lors de la création de l'or
dre, n'ont pu, par une circonstance indé
pendante de leur volonté, produire en
temps utile leurs titres justificatifs.
Les personnes de la Ville qui auraient
intérêt la réuskite de cette démarche,
sont priées de se présenter Yllôtel fie
Ville (cabinet de l'un des membres1 du
collège),afin de prendre connaissance de
la pétition.
Fait l'Hôtel de Ville le i 5 Janvier 1863.
fil* de Joseph Verne», te célèbre peintre de marine
el arrière peîi'-fils d'Antoioe Vernet, peiniré de
geore qui «i«ait a la fin do >7" siècle. Horace
Vernel a élé sans contredit le plus grand peintre
de batailles du 19* siècle; il a été aussi daDS tons
les geores le talent le plus fécond et le pins facjle
de sou époque. Tons les souverains de l'Europe,
oui successivement fait appel sob pinceau pour
fixer sur la toile le souvenir des faits contemporains
qui ioréressaient le plus leur gloire.
Par décrets impériaux du t4 janvier A été
promu au grade d'officier dans l'ordre impérial de
la Légion d'honneur; S. A. le prince Murât, chef
d'escadron an régiment des gnides;
M. le général de brigade Douaycommandaot
provisoirement une division au Mexique,'a été
nommé général de division.
On lit dans VOpihion nationale que dont
Ferdinando, père du roi dom Luis de Portugal a
répondu par un troisième refus, relativement aux
mêmes offres, la démarche tentée aupiès de lui
par le roi Lénpold.
Ou lit dans la Patrie Si nous sommes
bien informésdes mesures seraient prises et des
ordres donnés par le département de la marine,
pour que les ouvrages de fortifications, les maga
sins, les arsenaux, etc., de nos pofts, soient revêtus
d'un blindage semblable a celui qui est en usage
pour les navires cuirassés. D'expériences qui ont
élé faites Rpchefort, en présence d'une commis
sion'd'officiers de marine et d'artillerie, il résulte
rait en effet que le cuirassement est le meilleur
système d«f«#se '<t f,
On lit dans la Patrie
On nous transmet de finir», en date du i4
janvier, un fait iuteressaiit. La Semaine dernière,
M. Phocton Roque, chargé d'affaires du gouverue-
rtieut de Grèce auprès de ht cour de Turin,
m demandé verbalement au comté Pasolini, minis
tre des affaires étrangères, si le gouvernement
italien consentirait a laisser poser la candidature
d'un urt'tifcè de Savoie an liône hellénique!
n r I
Le cuiiite Pasolini, apies avoir longuement
discuté la question avec ses collègues, aurait
répondu au lepréseutant du gouvernement d'Athè
nes que quelque j flatteuse que pût- étie pour
|a dynastie de Victor-Emmanuel Ig proposition de
M. Roque, le cabinçl de Tuiin sç weriail fotcé de
décliner oetle candidature,. l'élection d'uu filsde
Victor Emmanuel au noue- de Gièce pouvant
altérerdeS bons rapports du gouvernement italien
avec ses alliés. 1 l'.ulii Il
Cette ré'pouàe, donnée d'une manière catégo
rique et définitive, aurait été coinm.uuiquée aux
représentants des giau tes pmssa.vces aucitéilitées
Turin, ainsi qu'aux agents diplomaiiqoes |1« gou
vernement italien a l'étranger.
Ou lit dans le Temps
Un journal du soir annonce que le duc Ernest
de Saxe Cobotirg-Gotha a refusé la couronne
de Grèce. Nous n'en savons rien; mais ce que nous
croyons savoir, c'est que la reine Victoria a écrit
elle-même h sort pareût, pour l'engager accepter.
Le gouvernement français, officieusement consulté,
n'aurait point élevé d'objections, déclarant toute
fois vonioir s'abstetiir désormais de toutes démar
ches actives an sujet des candidatures grecques. 0
On lit dans le Monde On nous écrit de
Rome qu'un ami du malheureux comte de Chrtsteo
a reçu une lettre du jeune prisonnier, où il lui an-
oooee que I exécution de la sentence prononcée
cootre lui et ses compagnons d'in fortune a été sus -
peadae, et qu au Ijeu d'être transportés immédia
tement au bagne de l'île d'Elbe pour expier leur
condamnation an milieu de toutes sortes de crimi
nels, ils resteront dans la prison de Santa-Maria-
Apparente josqu'ë nouvel ordre. R paraîtrait,
d'après ce que l'on dit, qu'il faudrait attribuer ce
con' e ordre l'intervention de M. Drooyn de
Lhuys en faveur des prisonniers. Espérons que
cette nouvelle sp confirmera.
a En attendant, le gouvernement de Turin a
dp'ptéipjqnp prmrUs condamnés politiques, ce qui
veut dire les légitimistes, j| ne ..doit plos exister
aucune distinction de peine ni de prison; ils doi
vent être tiaités comme des ci iminçls, et ,1s sufii -
ront leur condamnation dans les bagnes comme de
vils assassins et des voleors. a
On a annoncé, d'après le Journal d' Amiens
que des fissures s'étaient produites dans la^vouie
de la nef de la cathédrale de cette ville. Cette
nouvelle est démentie par le Mémorial d'Amiens.
Un calé de plus vient de s'ouvrir Paris. Le
fait ne mériterait certes pas H'êire mentionné,
n'était cette petite particularité aggravante; lé nttu-
vegtLvenu paie cent vingt mille Jrancs de l'oser.
Il est établi b l'angle du boulevard des Capucines
et de la rne de Rouen, où il occupe une partie du
rez-de-chaussée du Grand Hôtel.
S'est on demandé quelquefois l'importance
de l'industrie a laquelle donne lieu la mode des
ctioolines? Les rapports du jury français a l'Ex
position de Londres contiennent b ce sujet îles
chiffres curieux. Les ressorts en acier pour jnpes
donnent lieu b nue production annuelle, qui ëst
TJJ i J r*. f ]ÔjP i
évaluée pour la France b 2,400,000 kilog., pour
l'Angleterre b 1,200.000 kii., et pour les auties
pays b 600,000 kilog., soit nn total «le 4,2,Q<Xiqoo
kilog. Ces aciers, couverts de fils de coton, se ren
dent en moyenne 2 fr. 5o c. le kilog., ce qui fait,
pour 4,2oo.OOO kilog., une valeur de to.ôooooo
fr. En estimant les aciers eo barre, en moyenne h
85 fr. les 1 fro kifog., on trftti*e hfté Valeur de
570,000 fr. Le' coton en laine nécessaire, pour
Couvrir les resso*f<i p'én| en temps ordioaii-e
s'élever b environ 3o fr.'pue toô kilog. acier, soit
pour 4,200,000 kil. 1,260,000' fr. Le tbtal de la
valeur première étant de 4,83o',!cWo fr., il Véste
annuellement pour la valeur de 'a main (l'œuvre
une somme de 5,070.000 t rnon comptas la
1 1 1
façon des jupes qui s e'eve encore a une somme
considérable. nobilU fi»;
Le télégraphe a transmis a.véc une grande
rapiditétdf Paris Rouen et Londres le dis
cours prononcé lundi par l'Empereur, l'ou
verture' de la session législative. Voici sur
celle quasi- instantanéité de la correspondance
télégraphique d'autres détails qqi offrent le
même intérêt. Commencé sur toutes 1rs lignes
une hçpxp 36 minutes, le discours impérial lui
était transmis Bdle (Suisse), 2 heures 3o
minutesBordeaux2 h.; Brtt.yellps, t /t. 5i
m Cologne, 3 h 45 m.';t Havre, 2 V»;:20 m
Lille, h 2 h Limoges, h. 1 mtp LaUclies,
1 h. 5o m L)on, 2 h.; Marseille. 2 h. 1 5 m
Mulhouse, 2 h. 3o m.; Nantes, 2 h Rouen, 2
h. 20 m-i Strasbourg, 2 h. i5 m.; Toulouse,
1 h. 55 m.; Tours, 2: h. t5 m.; Vienne (Autri
che), 3 h. |8 m Berlin, 5 A. 27 m
C'est dire que certaines villes avaient
reçu le discours a faut même la rentrée de
l'Empereur aux Tuileries, et qu'un document
composé de 1,324 mots était écrit, relu et
collationnê dans un laps de temps qui, pour
Bruxelles et Londres, n' a pas excédé 25 minutes.
On Ht dans le Nouvelliste de Marseille.'
S. M. la reine Marie Sophie est attendue
Marseille vers les derniers jours de la
semaine. L'ex. reine de Naples ne fera que
traverser notre ville pour se rendre a Nice,
qu elle doit habiter jusqu'à la findu Carême,
époque laquelle elle t etournera Rome,
ITALIE.
Il est plus sérieusement quês lion que jamais
de la prochaine arrivée'de U Impératrice Eu
génie avec son fils. Cette nouvelle si souvent
donnée, démentie et redonnéefinirait elle par
être vraieS II est positif qu'on prépare des
appartements au Quirinal.
TIRQUE.
Les nouvelles qu'wn rtcuit de Constanlinople
annoncent que le gouvernement turc, prenant une
attitude aussi ferme b Pextén'èirr qu'à l'intérieur,
agit comme s'il se iuép:.raii 'a guerre- L'Avs'e"
terre semble le ponssçi >lans oc te-«j oie.
••"i u /I o." i 7.
1
milJ ol.rmfui.^inae
Celte crmibin&fson nouvelle, basée snr
des pripeipes npn connus des mé
decins anciens, remplit avec nn bon
heur remarquable toutes.tes conditions
du problème de,la médication purga
tive. A l'opposé des autres purgatifs,
celui-ci n'opère bien qnc lorsqu'il est
pris arec de téès boqs aliments et ijes
boissons Tortillantes. Il ne manque pas
son effet, comme cela arrive-.souvent
l'eau de Sedlilz et d'autres purga
tifs. I.a dose est facile? régler selon l'Age on la force des in
dividus. Les enfants, les vieillards et les malades les plus dé
bilités te supportent sans difficulté. Chacun cbiiislt, pour se
purger, l'heure et le repas qnijui conviennent le mieux, selon
ses occupations habituelles. I.a fatigue de la purgatio» étant
complètement annulée par l'effet tléMa bonne Mimenlirm pres
crite, on se décidé facilement A rqcumnjeucor ausiji .souvent.que
cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moyen,
ne rencontrent plus de malades hésitant- h se purger, sons1 péé-
lexle de mauvais gpùt. ou par la crainte.de s'affaiblir. La lon
gueur du traitement h'eSt plus un obstacle, èl lorsque le njal
exige, par exemple, qu'on; se purge Vingt fois île soit». 011
n'est plus retenu par la crainte d'être obligé de renoncer ay.-pjt
la fin. Ces avanlsges deviennent bien jniis préfcîèhr'qnirrd
il s dgit de maladies sérieuses, telles que turaetirs,«rjorpemciUs.
affections cutané es, catarrhes et bien d'autres maux réputés in
curables, mais qui cèdent una purgalion régulière et long
temps réitérée. \oir le Manuel lté la médication purgative du
docteur Dciiaut, volume de 2Ù4 pages, donné gratuitement.
Paris; pharmacie du D' Dchaiit, et dans toutes les bonnes
pharmacies de l'Lur.ope. fr; et 2 fr. 50 cent.
.Ué|Mraé; a la P|iannaçie (le FH YSOL' - VA i\(;UTUIV I'.
rue de Oixma le, 15, A ifprej.
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(j k C», l dér' ISèlgen
liEEL- EN OOGIIFBSTER BEI! BL RGERLYKE GODSIfUZEN
BEH STAO KflBTRYK.
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LES BOURGMESTRE ET ÉCnEVINS,
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P*R ORDONNANCE i ZMV\\ Otô «SB
Seoréia»r«.i RM iaw
J.; DE COD I