DISSOLUTION DE SOCIETE 00GZIEKTEN. VENTE PAR LIQUIDATION AINSI QUE D'UNE IMMENSE QUANTITÉ DE GILETS, CRAVATES, FOULARDS, CORSETS, UIT ER HAND TE KOOPEN, HENRI VAN LERBERGHE, noiifi)n"rn; la «1 uiTjtu îoaànq 03 on iup..'( u'iuoi- ub rn 0 piiK >b aidoa POUR PANTALONS ET PALETOTS, >iID tliliWttl VllP A. CAZY ET RTE DE DIXftHJDE 37, Y PRES. FRANCE. r Mette DOUVERE, =3 2B.U3Œ0, A l'honneur d'informer les Dames qu'elle est établie la Foire avec uo grand assortiment de Qu'elle vend au prix le plus modéré. En 2" Een HUIS en Erve te Ypre, aen de noordzyde van de Lombaerd-slraet n" 18. De gegadigden zullen zich begeven by den N'otaris If.J-zLVZi'J te Ypre. Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dal men hem aile dagen kan raed- plegen ter zyner wooning, Stalie Plaets, N° 3, te Kortryk. De armen vvorden gratis geraeesterd. 112' ut no aajj t. I ioY .3,1 le» ogi't ci nV I A MYX\ U «UNE PARTIE CONSIDÉRABLE DE 'J© J3 (BaiYutats, 1 l(i VILLE DE VERV1ERS, rue de Dixmude37, Y près. Le sieur A. CAZY a l'honneur de faire part au public, que par suite de la dissolution de société pour le dépôt de la Maison d'Ypres, il fera vendre une quantité considérable de Draps pour Pantalons et Paletots, Etoffes pour Robes, Châles, Soiries noires, Mérinos, Flanelles, ainsi qu'une quantité d'autres articles dont le détail serait trop long. Toutes ces marchandises devront être vendues dans un très court délai, les prix en seront réduits en-dessous des prix de fabrique. Il est donc dans l'intérêt de chaque famille de ne pas laisser passer une occasion aussi favorable sans en profiler. En visitant les magasins, le public sera surpris du bas prix et de la belle qualité de ces marchandises, qui sont garanties de premier choix. Le sieur A. CAZI ne donne que quelques prix, afin de surprendre l'acheteur en visitant ses magasins 200 pièces Draps noirs et satins laine, de 2,50 15 fr. 150 pièces Nouveautés pour pantalons et costumes complets, de 2 12 fr. 300 Châles cachemire brochés garanti pure laine, genre riche, de 10 150 fr. 250 pièces Mérinos de France, Alpagas et Orléans, de 60 centimes fr. 3.75. ymni 'mi 9< i Oo lit dans la Patrie de Paris Nous avons été des preruiers a annoncer la mort, Ogrodziniec, d'un officier supérieur de l'armée russe, le colonel KoiiF, préférant faire le sacrifice volontaire de sa vie plutôt qu-1 d'exécuter les ordres irapimyi'les qu'il avait reçus, et t'Ços, dit-on, du général K.01 ff son pèreI Ce sont l'a de ces dévouements héroïques qui inspirent la fois la douleur et l'admiration. L'his toire retiendra, pour l'entourer d'uo impérissable sooveoir, le nom du colonel KoiiT. Elle flétrira en même temps,la conduite d'un gouvernement qui doune des ordres assez sanguinaires pour placer un homme entre sou honneur de soldat et le cti de sa conscience révoltée, pour le forcer étouffer eu lui jusqu'à la voix de la religion, qui coudatnue le suicide. Que dire d'un gouvernement qui fait entrer dans son plao de campagne contre ceux qu'il combat, fussent-ils même des iusorgés, le pillage, le massacie, l'incendie, et qui fait descendre ses officiers jnsqu'au rôle d'exécuteurs de ces violences implacables que désa«oueul les exigences même de la guerre? Nous empruntons *11 Nouvelliste de Rouen de curieux délai.s biographiques sur un jepne gentleman qui, sous le nom de Crokélt, exerce en ce moment Paris, la périlleuse profession de dompteur de lions Le nom de Crobelt, qui paraît une audacieuse ironie, ti'esr, comme on le pense bien, qu'nu pseudonyme destiné cacher le nom d'une hono rable famille du comité de Middlesex. l.yonel B... a eu une de ces existences aven tureuses que l'on retrouve seulement chez les cadets d'Angleterre, et qui sont uo des signes caractéiistiqnes de la race aiigln saxonue. Il a fait successivement la guerre la guerre de Crimée, où il a été blessé l'attaque du Redan j la guerre des 3 Iodes, où il fit coooaissance, quaod l'insurrection fut comprimée, avec le célèbre Hilberforce, qui, comme ou le sait, s'était arquis une grande répu tation par sa ménagerie, Lvonel devint bientôt son élève et fut initié par loi tous les secrets de cette délicate profession. g Avai t de venir en France, Lvonel, qui s'était formé une ménagerie, donna pendant uu an, Philadelphie, des représentations qui forent très- lucratives. Il fut même question pour lui un instant, sur la demande de quelques Yankees téméraires qui avaient formé par cotisation nn fonds de 20,000 dollar s, de donner une séance spéciale en plein air, sans cage, et enfin sans qu'aucune barrière séparât l'imprésario et ses terribles artistes de l'excentrique public convié ce dangereux spectacle. La police s'y opposa. -■ Celte combinaison nouvelle, basée sur des principes non connas des mé decins anciens, remplit avec nn bon heur remarquable toutes les conditions du problème de la médication purga tive. A l'opposé des autres purgatifs, celui-ci n'opère bien que lorsqu'il est Kis arec de très bons aliments et des rssons fortifiantes. Il ne manque pas son effet, comme cela arrive souvent l'ean de Sedlitz et d'autres purga tifs. La dose est facile régler selon l'âge ou la force des in dividus. Les enfanta, les vieillards et les malades les plus dé bilites le supportent sans difficulté. Chacun choisit, pour se purger, l'heure et le repas qui lui conviennent le mieux, selon ses occupations habituelles. La fatigue de la purgalion étant complètement annulée par l'effet de la bonne alimention pres crite, on se décide facilement recommencer aussi souvent que cela est nécessaire. Les médecins qui emploient ce moven, ne rencontrent plus de malades hésitant se purger, sous "pré texte de mauvais goût, ou par la crainte de s'affaiblir. La lon gueur du traitement n'est plus nn obstacle, et lorsque le mal exige, par exemple, ou'on se purge vingt fois de suite, on n est plus retenu par fa crainte d'être obligé de renoncer avant |a ®n-.— Ces avantages deviennent bien pins précieux, quand il s'agit de maladies sérieuset, telles que tumeurs,engorgement!, affections cutanéescatarrhes et bien a'autres maux réputés in curables, mais qui cèdent it une purgalion régulière et long temps réitérée. Voir le Manuel de la médication purgative du docteur IXrhaut, volume de 2S4 pages, donoe gratuitement. Pans, pharmacie du D' Helmut, et dans toutes les bonnes pharmacies de l'Europe. 5 fr. et 2 fr. 50 cent. Déposé la Pharmacie de t'KYSOUVANOUTU1VE, rue de DÎMuucJe, 35, "Xpres. CM SEFFLNS IN GEBRUlk TE TREDEN I" Een GKOOT HUIS en Erve te Ypre, aen de noordzyde van de Oude Kleêrmarkt, n" 22. Gfdekorerrd door Z. tl. de konlng der Beltfen, DEEL- EN OOGMEESTER DER Bl'RGERLYKE GODSHIÏZEN DER STAD KORTRYK, v\ buun ti! on icueiiès 1 nom DRAPS ET Entrée libre sana être teun de faire le moindre aebat.

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Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3