HUIS EN LAND OOGZIEKTEN. VENDITIE VAN BOOMEN HENRI VAN LERBERGHE, Heeft de eer het Publiek kenbaer te maken dat men hein aile dagen kan raed- plegen 1er zyner wooning, Statie Plaets, N° 3, te Kortryk. De armen worden gratis gemeesterd. Op Maendag23" .M aeut 1865, tebeginnen len 1 ure nainiddag, zal deu Notaris CUBISTIAEN, by openbare venditie Ver- koopen, op Zonnebeke, zuid-west van de kerkin de Molebosschenlangs den keiweg 70koopen D00.ME1N, waeronderschoone Eiken, veel Lysteboomen en Plantsoenen alsmede Beuken, Abeelen en Populiereri. Op gewoone voorwaerden en tyd van betaling, niits goede borg stellende. De vergadering, in de dreef, by de hofstede van Sr Defevre. Van wege de eigenaers stelt men met het houden van 2 ziltingen openbaer te koop, het volgende onroerend &C33D, staende en gelegen op 1" koop. De westwoonst van een HUIS van twee woopingen, afhankelyk- heden en 4 aren 16 centiaren ERF, onder bebouwden Grond en Hovenier-Land palende oost koop 2,, zuid eenen uilweg, daerover bet larid van M'-Iweins, west de straet naer den nieuwen molen, en noord den steenweg. 2e" koop. De ooslwoonst van het zelfde HUIS, afhankelykheden en 3 aren 30 cen- tiaren ERE, onder bebouwden Grond en Hovenier-Land; palende oost koop 3, zuid eenen uitweg, west koop 1 en noord den sleenweg. 4" koop, Oost aen den voorgaenden koop, een perceel ZAEILAND ook groot 13 aren 50 centiaren, palende oost den bebouwden grond van Sr Depondt en bet land van Mr Iweins, zuid eenen uilweg, west op gemeene païen koop 3 en noord den steenweg. De 4 voorschreven koopen zyn gebruikt door Karolus Verschave en Karolus Winne, ten gezamentlyken pryze van fr' 110-00, be- grepen de lasten, met regt van pacht tôt den V October 1863. Dezelfde koopen zullen ook by zamenvoeging opgeroepen ivorden. De ziltingen voor de Verkooping zullen plaets hebben, ten dorpe. van Passcben- daele, ter herberg de Espérancebewoond by S' Saelen, leweten Den INSTEL op Dynsdag 51,° Maert 1865 en de VOLSTREKTE TOEWYZING Dyns dag 14oc April daerna, l'elkçns ten 4 uren namiddag. De voorwaerden berusten len kantoore van den Notaris CEtP.ISTIAEXT, te Passchendaele. Instel penningen te xvinnen. Si, en i83i, la Pologne succomba sans assis tance, ce fut beaucoup moins la faute de Loois- Philippe que celle de lord Palmerslou. M. Wa* lewski ne doit pas ignorer cela, lui qui, cette époque, fut envoyé b Londres pour sonder, au nom de la Pologne insurgée, les dispositions du cabinet de Saint-James. L'attitude que l'Autriche prend aujourd'hui, et qui étonne les personnes peu au courant de l'histoire contemporaine, était précisément celle que l'Autriche prit alors. Alots comme aujourd'hui, elle sentait de quels dangers la menaçaieut les progrès des Russes le long de la mer Noire et dans la direction de Conslautiuople. Alors comme au jourd'hui elle comprenait la nécessité d'une Pologne qui ser»î: de digue aux débordements de la Russie. Alors comme aujourd'hui, séparant sa cause de celle des deux puissances auxquelles l'avait liée le pacte impie d'une spoliation con sommée en coiuiuuu, elle se montrait disposée b tenir lêletde concert avec la France et l'Angle- terie, U Russie aidée par la Prusse, dût cette politique lui coûter la Gallioie; et même ce fut d'elle, oui d'elle, l'Autriche, que vint l'initiative des mesures b adopter pDUr empêcher la Pologne de pétir. Qui ruina ce projet? Louis-Philippe? Non. Quelque aveuglémeut dévoué que fût ce prince aux intérêts de la paix, il accepta les ouvertures de l'Autriche; mais l'adhésion d'un tiers était requise, et cette adhésion fut jefusée. Lotd Palmerslon déclara tout net que les relations de l'Angleterre avec la Russie étaient amicales, et qu'il n entendait pas y mettre fin. J'ai sous les yeux le texte de sa réponse b ta uote du prince de Talleyraud, b la date du 20 juiu i83 tRien de plus catégorique: S. M. Britannique se voit forcée de repousser les propositions qui lui ont été transmises par n S Êxc. le prince de Talleyrand, étant d'avis que le temps n'est pas encore venu de les adopter avec succès contre la volonté d'un souverain dont les droits sont incon- tbstables. Terribles fureut les suites de ce refus. L'Au triche, intimidée, se tut. La Pologne, après des prodiges de constance et de valeur, fut écrasée. Maintenant, que va t il arriver? Si je ne me trompe point dans tues observa tions sur le mouvement dont je vis comme enve loppé, ce que les Anglais en général désireut, c'est que, par nue intervention combinée, mais d'un caractère parement diplomatique, et présentée de manière b n'amener aucun violent conflit, on réussisse b obtenir du roi de Prosse une neutra lité stricte. L'intervention du roi de Prosse, voilb ce qui trouble les Anglais, voila ce qui les inquiète^ Et pourquoi,? Par celte raison bien simple qu'ils y voient, pour la France, une tentation d'intervenir b son tour eu poussaût les choses plus loin qu'ils ne veulent les pousser eux-mêmes. Une guerre, même avec la France pour alliée, les effraie. Et, d'un autre côté, il leur déplairait fort de voir l'empereur des Français s'engager seul contre la Prusse, dans une querelle où il aurait pour lui les sympathies des peuples, et où il ne serait pas impossible que, comme prix de l'appui prêté b une cause juste, il se fît donner par la victoire une position forte sur le Rhjû. Tenez pour certain qu'une gueare de la France avec la Prusse est une éventualité que oui Anglais n'envisage de sang-froid; et s'il m'était permis de dire toute ma pensée, je vous expliquerais pour quoi la possibilité d'uoe pareille guerre alarme suitout les amis de la liberté du côté de ce déttoit, quelles que soient, d'ailleurs, leurs sympathies pour la Pologne. Mais ce que les Anglais voudraient, ce serait une guerre entre la France et la Russie, la Prusse ne s'en mêlant pas, et eux-piêmes se ^bornant au rôle do singe qui mange les marrons que le chat a tirés Ju feu. En ceci, par exemple, ils ne verraient qu'avantages. La Russie n'a pas de bords du Rhin a laisser prendre^et l'entamer n'est pas facile, comme l'exemple «le Napoléon I", la trop prouvé. La lutte, telle qu'elle se peint dans l'esprit de l'Angleterre, aurait donc pour effet probable d'affaiblir considérablement une puis sance qu'elle redoute, sans mettre trop b la portée d'une puissance dont elle se défie des chances d'agrandissement territorial, sujet de son éternel souci. Telles sont, selon moi, les données du pro blème aujourd'hui posé devant l'Europe. L'attitude de l'Autriche, la conduite de l'Angle terre ne nous surprenueut pas; elles sont la rigou reuse confirmation de nos prévisions. Quel que soit le parti que prenne la Frauce, elle le prendra donc saus illusions, couséqueinmeni sans déceptions. Nous appelons particulièrement l'attention de nos Itcleurs sur une nouvelle combinaison au moyen de Inquelle on peut, pour 6 fr. recevoir, jusqu'au ai Mars s865, DEUX GRANDES PRIMES, savoir a"--Un numéro d'obligation du crédit foncier de France, donnant droit aux chances du tirage du 22 mars i363: 100,000, 50,000, 20,000 (r. b gagner b ce tirage. 2° Une belle carte coloriée du Mexique, permettant de suivre les;opérations militaires, plus un abon nement d'une aonée b une publication qui mérite toutes les sympathies et obtient en ce moment lé plus grand succès: I'Histoire populaire illustréeiiel'arméedii Mexique. 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L'exécu tion typographique, le choix des caractères et du papier, le soin apporté la rédaction et aux gravures, -- tous en un mot, fait de cette publication une oevre de luxe importante, digne, tous égards, de son but national et élevé. Huit livraisons ont déjà paru. Pour recevoir imuie'diatement et franco t* les deux primes (numéro du Crédit Foncier et la carte du Mexique; 2° les huit livraisons parues de l'Histoire populaire illustrée de l'armée du Mexique, et celles b paraître josqu'b concurrence de cinquante-deux, adresser de suite ponr la France, 6 fr. en mandat de poste ou timbres-poste et pour la Belgique, g fr,en timbres-poste, Belges, b MM. PIC et C% éditeurs, 6, rue de Hanovre, près le boulevard des Italiens, a Paris. Grdekorcerd iloor Z. VI. de Koning - der Helgen, HEEL- EN' OOGMEESTER DER BL'RGERLYRE GODSHCIZEN DER STAD KORTRYk, OP WNWREKE, IN DE MOLEBOSSCHBN. OP PASSCIIEUD AELE --acsag-» PASSCIIEADAELE, by uet Vosken. 3e" koop. Oost aen den voorgaenden koop, een perceel ZAEILAND, groot 13 aren 50 centiaren, palende oost op païen koop 4 zuid eenen uitweg, west koop 2 en noord den steenweg. I

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Le Propagateur (1818-1871) | 1863 | | pagina 3