Den nomber van 4 hectaren31 aren,
10 c-, ZAEILAND, WEIDE en MEERSCH,
byna eenen blok uitinakende, gelegen te
Wytschaete, tusschen de Sterkte en den
Oosiaverne, tegen den steenweg van Yper
na VVaesten, in pacht gehouden door S'
Jacobus Gouwydaer by woonende.
Verdeeld in 5 koopen.
De verkoopingzal geschieden IN EENEN
ZITDAG bepaeld op Maendag8" Juny 1863,
ten 2 uren namiddag, ter herberg S1-
Hubrecht, bewoond door sieur Gbys, op de
plaets van Wytschaete.
De veilvoorwaerden, plan en eigendoms
titelen berusten ten kantoor van den
Notaris LAMBIN, t'Yper verblyvende, met
de Verkooping gelast.
Men gelieve hel ruchtbaer te maken.
dans tontes les églises le troisième dimanche après
Pâques. La somme s'élève i5o,ooo fraocs.
DÉPÊCHES TÉLÉGRAPHIQUES.
Londres, a5 mai. Oo a des nouvelles de
New-Yoik, du i3 mai et du i4 u>ai.
1,200 fédéraux ont occupé uo point de la rivière
d'York ils ont détruit les pools daos le voisinage
de M aison- Blanche.
On assure que le corps du général Grant a
enveloppé celui do géoéral Jacksoo, sur le Mis-
sissipi.
Les confédérés d*oot d'autre moyeu de sortir de
Wicksborg qu'en se frayant un chemio h travers
les fédéraux.
Le général Hooker ayant voulu avancer, en a été
empêché par le général Halleck.
Le bruit a couru que le général Lee avait l'in-
teotion de passer la rivière pour attaquer le général
Hooker avec une batterie auprès du pont de Was
hington.
Le président Lincoln a refusé d'accepter la
démission du général Mac Clellan.
Le général Van Dorn est mort.
Londres, 35 mai. L'Office Reuter a reçu
de New York les nouvelles suivaniesen date du 11.
Grant a rencontré i t.ooo confédérés au sud de
Port Gibson. La bataille a duré toute la journée.
Les confédérés ont été battus.
Trieste 21 mai, au soir. D'après des
lettres d'Athènes, uo nouveau ministère vient de
se constituer. Il est composé de la roaoière suivante:
MM. Rufos, président du conseil; Lendtdis, inté
rieur; Komuodurus, finances; Platis, justice; De-
lyaoni, affairesétrangères; Botzaris,guerre; Canaris,
marine; Califrenos, cultes.
L'Assemblée nationale a voté une Adresse aux
puissances protectrices, pour les remercier des
bienfaits qu'elles ont accordés jusqu'ici la Grèce.
ANGLETERRE.
La princesse de Galles aura décidément un
écrin bien garni; on n'a point fini encore de lui
offrir ses cadeaux de noces. Lundi encore, M™
Hare, femme do maire de B>istol, est venue k
Marlborough House lui présenter, au nom des
dames de B'istol, uo magnifique bijou Hulbein, en
forme de broche et d'un charmant dessio.
Ou écrit de Londres, le 22 mai, au Moniteur
universel
Londres ne s'est pas encore remis des décep
tions de la journée du Derby. Tout a concouru k
enlever la fête son.caractère ordioaire. Le temps
a été froid et pluvieux, le terrain était détrempé,
les paris sans animation et la course elle même n'a
été qu'un long désappointement.
A trois heures les chevaux étaieut prêts, et
pourtant ce n'est qu'à quatre heures que le départ
a eu lieu, grâce au tféleslatle caractère d'un cheval
appartenant un riche Hongrois, le comte Batihy-
aoy. Il y a eu trente deux faux départs. Quoique le
favori Lord Clifden n'ait pas gagné, ses partisans
conservent toute confiance eo lui et affirment que
sa défaite n'est que qu'à l'état du terrain et aux
fautes de son jockey.
Les agriculteurs anglais demandaient de la
piuie, c est 1 hiver qui leur a répondu. Le vent,
depuis uoe semaine, souffle de toos les poiuts de
I horizon; les chemius. sont défoncés, et intensité
du froid est telle, que I on réclame maintenant le
retour do temps sec.
Hier la Chambre des lords, fonctionnant dans
ses attributions judiciaires, a rendu uo arrêt dans
one question qu'on peut appeler un conflit histo
rique. Le fameux lord Clive a établi une fondation
en faveur des officiers âgés de l'armée de la Com-
P»gnte des Iodes et de leors veuves. Le capital est
de cinq lacs de roupies, et le but de l'institution
est d'attirer des officiers européens dans les rangs
de l'armée coloniale. La question se présentait de
savoir qui appartenait le legs de lord Clive,
inaintensnt que l'aimée de la Compagnie n'existe
plus. Le secrétaire d'Etat pour l'Inde l'avait reçu
son compte dans l'actif de la Compagnie, mais
l'héritier légal de lord Clive en réclamait la pro
priété. De lk un procès, que les tribunaux inférieurs
avaient tranché dans uu sens favorable l'Etat;
mais la Chambre des lords vient de doooer gain
de cause au représentant de lord Clive. La somme
k rembourser est de 80,000 livres sterling.
FRANCE.
Le correspondant du Nouvelliste de Marseille
cite le fait suivant, qui s'est passé il y a quelque
temps sur la plage des Vieux - Salins d'Hyères
et qui prouve la prodigieuse vitesse des pigeons
Un capitaine danois chargeait du sel et, dans
ses loisirs, il fréquentait un habitant du lieu, grand
amateur de pigeons. Le capitaine admirait la collec
tion. Devinaut uo désir sous cette admiratioo, le
propriétaire offrit ses pigeons. L'offre acceptée,
les pigeons embarqués, le oavire danois se mil eo
route.
Un mois plus tard, sur le colombier apparais
sait un vol de pigeons, qu'il était impossible de
méconnaître, c'étaient les pigeons du capitaine.
Une lettre arrive quelque temps après, et le pro
priétaire apprend que, profitant d'une négligence
de leur gardien, ses pigeons se sont envolés du
large la hauteur de Dunkerque.
La date de la fuite et celle du retour rappro
chées firent couuaîtie que les fugitifs avaient
b peine mis- 24 heures pour arriver de la mer
du Notd la Méditerranée, soit peu ptès mille
kilomètres eo ligue droite.
ALLEMAGNE.
Autriche. Les 3" batatllous de tous les
régiments d'infauterte stationnés eu Italie vont
être reuvoyés leurs dépôts. t
Les pourparleis et les négociations diploma
tique qui ont été poutsuivis sans relâche et avec
zèle eulie l'Angleterre, la France et l'Autriche,
depuis la répouse du prince Gorischaknff, oui eufiu
auieué deux lésultals assez considérables.
Une conférence où siégeraient les représentants
de toutes les puissances pourrait seule trouver pour
la questiou polonaise une solution pacifique,satis
faisante et durable. Cette idée a gagué beaucoup de
terraiu depuis quatre jouis. Les puissances sont,
l'heure qu'il est, foil disposées reconnaître le
catactèie d'opportunité et les garanties de succès
qu'ofirirait la réunion d'uneconféreuce européenne.
N'importe, le mot de conférence tépugne k la
plupart des cabinets, et il lai: même peur k quel
ques-uns.
Telle et telle puissance appréhendent, et non
sans raison, que, du moment où les représentants
des puissances se trouveront réunis, leur attention
et leur sollicitude ne soient appelées k s'exercer
sur d'autres questions encore que sur la question
polooaise. Ou se souvient que les ministres de
Victor-Emmanuel ont parfaitement réussi k intro
duire dans les débats du congrès de Paris, eo 1856,
les affaires de l'Italie, et que, dès lors, la guerre de
1859 était devenue presque une nécessité. On ne
souvieot aussi que M. le comte Walewski a tenté
de généreux efforts pour faire juger par ce même
congrès de i856 la triste et déplorable position
que le gouvernement du Czar s'est appliqué,
durant vingt ans d'oppression, créer k la Pologne.
Les cabinets sont, en ce moment, k rechercher
les moyeos d'avoir, par rapport k la question
polonaise, tous les avantages d'une conférence
européenne, moins le mot, Mais c'est lk an essai
qni ne préjudicie en aucune façon an projet de
convocation d'une conférence chaleureusement
recommandé par le gouvernement impérial de
France.
Dans tous les cas, les gouvernements anglais,
autrichien et français sont tombés d'accord sur un
point très-importaot il a été décidé que la der
nière rédaction des nouvelles propositions, cette
fois précise et péreroptoire, que l'Angleterre, la
France et l'Autriche adresseront k la cour de
Russie, sera faite k Londres. (jEurope.)
ESPAGNE.
L'infant don Sébastieo de Bourbon et de Bra-
gance vient d'acheter k Atmagosilla une maison où
fut jadis eofermé Cervaotès. C'est la prison où fut
composé le commencement de son Don Quichotte.
Il veut faire restaurer celte masure k laquelle se
rattachent de tels souvenirs. Déjà une industrie qui
dépend de la littérature s'était emparée de ce local;
un imprimeur y avait établi ses presses et ses
ouvriers pour y publier deux éditions du célèbre
roman, l'une de luxe, l'autre populaire.
Le prioce, en arrivant Armagosilla, a été reçu
avec enthousiasme par la population. Il s'est rendu,
par un chemio jonché de fleurs, la typographie
Ribadaneira, où il a tiré de sa main trois exemplaires
de la première feuille de l'édition de luxe, l'un
pour la reine d'Espagne, l'autre pour lui-même, le
troisième pour l'éditeur. Il a de plus chargé un
architecte de réparations qui transformeront le
bâtiment et commandé un peintre un tableau
dont le sujet sera tiré du Doti Quichotte et qui
doit orner l'ancieune geôle de l'illustre mutilé de
Lépaote.
AMÉRIQUE.
On par le beaucoup, Philadelphie, d'uoe que
relle survenue entre un banquier très-conno et un
officier supérieur de l'armée fédérale. Il paraît que
ce dernier, le colouel A..., aurait provoqué le
banquier en duel, et qu'il eo aurait reçu pour
répouse une lettre ainsi conçue
a Je ne puis accepter votre duel. Soit, en effet,
que je vous tue ou que vous me tuiez, le malheur
serait irréparable. Voici ce que je vous propose.
Allez daos le bois le plus voisin; vous y choisirez
un arbre de la même corpulence que moi, et vous
vousplacerezà ladistaoceconvenue. Si vous touchez
l'arbre, je conviendrai que j'ai eu tort, et je vous
ferai des excuses; si, au contraire, vous le manquez,
je recevrai les vôtres. L'affaire en est là.
PATRIMONIELE
gelegkv iv l>k
GEMEENTE VAN VY1TSCIIAETE,
ALDAER OPEXBAERLYk TE YERkOOPEX
IN EENE ZITTING.